- France.

.Bastien.

Elle refusa ma proposition de dessert. Comme elle veut. Elle avait peut être plus très faim après cette bonne plâtré de pâte. Je mangeai alors rapidement ma pomme. J'adore les pommes ! Ouai non, pas avec du nutella cette fois. Une fois ma pomme finis, j'aidai ma mère à finir de débarrasser la table. Puis je me tournai vers Alice, une fois le tout ranger et la table propre.

- Tu veux faire quelque chose en particulier ?

Alice.

Une fois que le rangement de la table se conclut, Bastien vint vers moi et me demandais si je voulais faire quelque chose en particulier.. A vrai dire je sais pas trop, vraiment. Je le regardais et souriais, ajoutant :

- Je sais pas. A toi de voir.

Je venais donc de répondre à Elisabeth, et disais à Bastien :

- Je parle avec Elisa' par sms, et elle vient de me dire qu'elle est avec Connor.

.Bastien.

Ca sent quelque chose de fort entre eux deux. C'est vrai, Elisabeth semble être une personne sensible, avec beaucoup de charme et de délicatesse. Tout ce qu'apprécie mon cousin dans une femme. Enfin bref, c'est pas mes oignions. Je répondis juste :

- A cool ! J'espère vraiment qu'il va se passer un truc entre eux deux. Ca te dit qu'on aille dans ma chambre pour suivre ensemble cette petite discutions avec Elisa ?

Alice.

Bastien espérait, tout comme moi que les deux jeunes gens se mettent ensemble. A cette phrase, je souris. Ensuite il me proposa d'aller dans sa chambre, pour qu'on suive ensemble cette conversation de sms avec Elisa'. Je lui répondis donc :

- Oui bien sûr.

Je souris à nouveau et repris mon portable en main. Elisa m'avait répondut, et je lu répondis donc, montrant à Bat'" ce qu'elle m'avait dit.

.Bastien.

Je lus le message d'Elisabeth une fois assis sur mon lit dans ma chambre. A j'en étais sur ! En même temps, qui pourrait résister à son charme tout de même ? Surtout une fille comme elle ? Bref. Je rendus le téléphone à Alice pour lui laisser répondre à son Sms. Ma mère venait de se mettre devant la télé rien qu'au bruit. Au moins elle allait nous laisser tranquille.

- Demain, il y aura peut être un ou deux amis à moi qui nous rejoindrait. Ça te dérange pas ou tu préférerais qu'on soit que tous les deux ?

Alice.

Nous allions donc dans la chambre de Bastien, qui une fois assis, lu le sms et me rendit mon portable pour que je puisse y répondre. Je le repris donc et ensuite, Bastien m'annonça que deux amis à lui nous rejoindrais demain. Celui-ci me demanda si cela ne me dérangea pas. A vrai dire, nan, ça va. Je lui répondis cela :

- Non, non, t'inquiète.

J'ajoutais donc un sourire et ensuite, mon portable vibra, mais ce n'était pas Elisa. Mais mon père.. Quand je vis son sms, je le lisais, il disait qu'il voulait me revoir et qu'il comptait venir me chercher demain, en Amérique, pour faire une journée à deux. Je ne pris même pas la peine de répondre à son sms, trop brisée et fragile du passé. Je rangea mon portable et partis m'asseoir près de Bastien, et je fixais le vide, puis reposa mon regard sur mon petit ami.

.Bastien.

Je vis alors qu'elle venait de recevoir un autre SMS. Vu sa tête, ce n'était surement pas Elisabeth. Elle vient s'asseoir près de moi, quelque peut bouleversée. Je la pris alors dans mes bras et l'embrassai sur le front avant de lui demandai :

- C'était qui pour que tu change soudainement d'humeur ? J'espère que ce n'était pas Elisabeth te disant qu'elle venait d'essayer et qu'elle venait de se faire jarter tout de même.

Alice.

Bastien avait sans doute remarqué mon humeur qui s'était changée en une désespérée. Il me prit dans ses bras et m'embrassais sur le front. Il me demanda qui c'était pour que change d'humeur, pareillement.. Il s'inquiétait, ayant peur qu'Elisabeth aurait eu quelque chose. D'un côté, je ne voulais pas dire que c'était mon père, car voilà.. Mais de l'autre j'avais envie de tout lui déballer. Mais je lui répondis :

- Non t'inquiète Elisabeth ne l'a pas encore dit. C'était mon père.

.Bastien.

A son père... Le miens était dans le coma. Alors qu'avait bien put faire son père pour qu'elle soit dans un état comme celui ci ? Il va falloir que je creuse un peut tout ça. Je regardai la jeune fille et lui demandai calmement, lui caressant d'un doit la joue :

- Et qu'à bien put dire ou faire ton père pour que tu vienne te réfugier près de moi ? J'aime pas te voir comme cela sans savoir pourquoi, tu le sais...

Alice.

Je le détestais tellement.. mais c'était tout de même mon père. Bastien, caressant ma joue d'un doigt, me demanda ce qu'avait pu faire mon père ou dire pour que je vienne me réfugier près de lui. Il disait qu'il n'aimait pas me voir dans un état pareille sans savoir ce que j'avais. Regardant dans le vide, je dis :

- Mon père fait comme si rien ne s'était passé. Si tu te souviens.. Il a trompé par mère et s'est cassée avec sa maîtresse quelque part. En gros, ils nous a abandonnés..

J'avais du mal à parler de cela, et j'en parlais à personne, mais avec Bastien, j'arrivais à en parler facilement, et surtout calmement.

.Bastien.

A oui c'est vrai qu'elle m'en avait parler... Attend... Quand déjà ? Il c'était passé tellement de truc que je ne m'en souvenais même plus. Mais ça ne me disait toujours pas le contenue du message. Et pourquoi son père irait-il lui écrire maintenant ? C'est bizarre tout ça. Surtout qu'elle semblait toute remuée. Ma pauvre petite Alice, qu'est-ce qu'il a bien pus t'écrire. Je lui demandai :

- Tu veux bien que je lise le message ?

Alice.

Ce qu'il m'avait écrit était pire qu'anodin, vraiment. Un père qui dit à sa fille qu'il va venir la chercher, pour faire une journée shopping c'est complètement basique. Bastien me demanda s'il pouvait lire le message, je le lui montra et ensuite ajouta :

- Ca peut te paraitre pire qu'anodin comme message, mais pour moi.. Ca déclanche de la haine.

.Bastien.

C'est vrai que le message n'avait rien d'extraordinaire. Mais quand on connaissait le contexte, il ne devenait plus si anodin. Pourquoi un père qui avait abandonner ses enfants voudrait-il tout d'un coup renouer avec eux ? Parce qu'il s'en voulait et que c'était tout de même ses enfants ? Pour se servir d'eux contre leur mère ? Vraiment bizarre cette histoire. Je rendus le téléphone à Alice.

- Je ne sais pas quoi te dire. D'un coté je dirais, c'est cool qu'il veut renouer avec toi car vous êtes tout de même ses enfants et qu'il c'est rendu compte de ses actes, d'un autre coté, je dirais plus de te méfier en fait. Bizarre.

Alice.

Bastien disait ce qu'il en pensait, et j'approuvais.. Mais voilà, si mon père était vraiment honnête, j'aurais beaucoup de mal à le pardonner. Il avait fait beaucoup de mal à ma mère et à ma soeur, alors donc voilà. Je regardais Bastien et ensuite dis :

- Ouai bon.. On verra bien par la suite dans tout les cas.

Ensuite, en moi même, je me disais, relance la conversation et met-y de la gaieté. Yeeeeeeeeep. Mais avec quoi ? Tout d'abord, j'ajoutais un sourire, à mon visage qui était autrefois déprimé. Je crois que ma bonne humeur. D'un sourire malicieux, je demanda :

- Bastien ?

Ooooh le bon vieux temps du " Bastien ? ".

.Bastien.

C'est sur qu'elle verra bien. Moi je ne pouvais pas trop faire quelque chose à part la soutenir et l'aider... Quoi Bastien ? J'ai rien fait. Je regardai alors la jeune fille et y vis une lueur de malice dans ses yeux. Qu'allait-elle bien pouvoir encore inventer ou faire ? Je me méfie toujours avec elle. Mais je lui souris tout de même et lui répondis :

- Oui Alice ?

Alice.

Soudain, je craquais. Je rigolais toute seule. Mais je me remise vite au sérieux. Bon, Alice, fais pas l'idiote, s'il te plaît. Soit posée et studieuse. Bon que pourrais-je dire? Je suis en panne d'inspiration, là. Oh bon, je vais sortir quelque chose.

- You're funny when you look at me like that!

Oui j'ajoute de l'anglais là.

.Bastien.

Elle éclata alors de rire. Qu'ai-je fais pour la faire rire comme cela ? Elle me dit alors ses raisons en anglais, qui étaient totalement stupides. Alice... Sérieux, tu n'as pas autre chose à me dire ? Je secouai la tête légèrement. A ce qu'elle pouvait être parfois encore gamine dans sa tête. J'espérai peut être autre chose de sa part que ça, mais bon, avec elle, il vaut mieux se méfier et ne pas attendre quelque chose d'extraordinaire de sa part. Je la regardai et lui dis avec une pointe d'humour :

- Et c'est tout ce que tu trouve à dire ?

Alice.

Bastien semblait déçu de ce que je lui avais dis, et je trouvais cela tout à fait comprhéensible. Il demandait même si c'est tout ce que j'avais à dire. Alors, hum, faudrait que je trouve quelque chose d'original. Mais quoi ? Je sais pas en fait. Ou alors juste le faire taire en l'embrassant ? Ca peut être une bonne idée. Comme ça c'est une preuve d'amour sous entendue. Alors, je fis semblant de rien, regardant dans toute la pièce, puis, soudainement, je m'approche de lui et l'embrassa. Je le regardais ensuite dans les yeux.

- I love you.

Le but était quand même de dire quelque chose.

.Bastien.

Si elle veut, écoute. Je la laissai faire sans rien dire. Parfois, elle faisait vraiment des trucs sans aucune raison et que je ne comprenais pas trop pourquoi. Mais bon, il valait mieux laisser faire les choses sans rien dire. Je regardai la jeune femme avant de lui dire :

- Parfois, tu fais des trucs sans raison, même si ça ne me déplais pas.

Je lui souris et regardai la jeune femme qui avait sans doute oublier le sms de son père.

Alice.

- Je sais Bastien. Je sais.. Je suis très bête. disais-je avec un sourire.

Je soupirais et levais les yeux aux ciels. Je ne savais plus quoi dire, vraiment.. Cherche Alice, au nombre de toutes les fois où Bastien a du relancer la conversation,tu lui vaut bien ça, hein. Soudainement, j'eus une idée. Non, allez calme toi. Tu vas quand même pas maquiller Bastien, quoi. Je regardais ensuite l'heure, et il était pile 19 heures, et je n'étais pas du tout fatiguée, mais pire qu'en forme, un truc de dingue. Je crois que ces heures de repos avaient vraiment bien servies. Je sais, voyons! Ca fait longtemps que je n'ai pas pris de nouvelles de la cheville de mon petit Bastien. Instinctivement, je lui pris la main et lui demanda :

- Sinon ta cheville va mieux? Tu sens encore un peu la douleur?

.Bastien.

Ma cheville ? Quelle question ! Bien sur qu'elle va bien ma cheville, sinon je n'aurais pas pus jouer tout à l'heure avec mes potes. En plus, ça faisait un petit bout de temps que j'avais enlevé la bandes et arrêtait l'arnica donc bon. Je lui souris tout de même, voyant qu'elle faisait des efforts pour entretenir la conversation et lui répondis :

- Oui beaucoup mieux, j'ai retrouvé tous mes appuies pour le basket. Pas de problème la dessus.

Alice.

Ma question n'etait pas des plus reflechies, mais il n'y avait que cela qui etait passe par ma tete donc voila. Tout du Alice. Bref, le mieux c'est que sa cheville allait mieux meme beaucoup mieux. Bah oui biesse-va, s'il a su jo avec ses potes tantot au basket c'est normalement logique. Ouai bon t'arrete ton debat? Je soupirais et repondis d'un sourire a Bastien avant de tapoter sur ma jambe, reflechissant a ce que je pouvais bien dire. Je sais! Je lui a i jamais demande cela! Je lui demand donc :

-Tiens c'est quand ton anniversaire?

.Bastien.

Tiens, c'est vrai que je ne lui avais jamais dit quand était mon anniversaire. En même temps il me semblait si lointain maintenant et sans trop d'importance. Mais au moins, elle venait de sortir quelque chose de sensé. Bravo Alice ! Tu fais des progrès. Arrête de te foutre d'elle Bat, c'est quelque peut méchant. Oui je sais... Bon, je lui répondis alors :

- le 25 juin, six mois exactement après Noël. Et toi ?

Alice.

Donc c'était le 25 juin.. ok. N'oublie pas Alice, sinon, honte à toi. Non, je ne pourrais pas oublier la date de Bastien, c'est impossible. Je crois que je le noterais dans mon portable, à mon agenda, ainsi ça m'indiquera que c'est son annif pour sûr de ne pas oublier. Ensuite, il me retourna la question.

- Ok, je retiens. Alors moi c'est le 2 mai.

Ajoutais-je, avec un sourire. Ce qui m'énervait c'est que ma soeur et moi avions la même date d'annif, mais bon, ça peut pas être bien si dérangeant tout de même. Que pourrais-je dire à présent ? Je sais. Je voulais m'y prendre à l'avance pour son cadeau d'annif. Aussitôt, je demanda :

- Tu aimes qu'on t'offre quoi pour ton anniversaire ?

.Bastien.

Heu... Je voudrai quoi pour mon anniversaire ? Bonne question. Pour mes 16 ans, j'avais eu mon pc portable de la part de mes parents et de l'argent. Je n'avais jamais beaucoup d'idée de cadeau donc la plus part du temps, on m'offrait de l'argent avec lequel je m'offrais DVD, cd, jeu vidéo, vêtements ou autre. Mais bon, Alice n'allait pas m'offrir de l'argent, ça se voyait qu'elle pensait a quelque chose de matériel qu'elle pourrait choisir elle même. Je lui repondis donc :

- Je ne sais pas encore. Mais il y a le temps tu sais.