- France.

.Bastien.

- J'ai jamais dis que tu t'en avais pas alors arrête ! Et bien prouve le moi que tu t'intéresse à ce que je ressens.

C'en est vraiment de trop. J'ai l'impression de vivre un cauchemar. Mxrde ! J'avais envie de me barrer sérieux. Je regardai Alice dans les yeux. Les miens étaient remplis de colère et brouillés par les larmes. J'en avais marre d'éprouver 30 milles choses à la fois. Et tout ça pour un truc sans importance. Non mais sérieux, ça me dépasse tout cela. Jamais, jamais, jamais.... Oui peut être, quand mon père était dans le coma et que je n'étais pas très bien moralement. Mais dans nos disputes ? Je ne comprenais plus rien, rien, rien, rien...

Alice.

Que je te le prouve, ok, si tu veux. Je soupirais et levais les yeux au ciel. Je lui pris la main, et le relevais. Je l'entrainais jusqu'à son lit et m'asseoit avec. Je pris sa tête entre ses mains, et le fixais dans les yeux.

- Est-ce que Mr de la Broise est enfin décidé à me croire ? Il a intérêt.

Je lui pris la main, et de mon autre main, je la posa sur sa joue, et le regardais dans les yeux, repensant au premier jour que l'on s'était embrassé. Je le regardais dans les yeux, et ne pus m'empêcher de souire. Ensuite, je l'embrassa d'un long baisé, qui, à mes yeux voulait tout dire.

.Bastien.

Je me laissai complètement faire, quelque peut dépasser et impuissant. Oui je la croyais, même si dans sa phrase, le "Il a intérêt." me dérangeait quelque peut. Pourquoi ? J'en sais rien. Mais Alice doit toujours en rajouter de trop. Pas grave, oublie, tu la connais de toute façon. Elle est assez rancunière et je pense qu'elle veut te le faire payer un peut. Je la laissai m'embrasser sans rien dire, savourant le contact de ses lèvres contre les miennes. Je dis alors tout bas :

- Mr de la Broise t'a toujours cru au fond de lui, mais je pense qu'il avait besoin d'une preuve concrète pour effacer ses doutes.

Alice.

Quand il me dit cela, je soupirais longuement et levais les yeux au ciel. Je le regardais puis, je remis une mèche rebelle qui me gênait les yeux. Je reposa ensuite mon regard sur Bastien, et commença à lui dire.

- Je vois. Mais tu sais que la petite amie de Mr de la Broise ne compte tout de même pas s'agenouiller devant toi ? Ah, quoique.

Alice, toujours entrain d'envenimer la situation. Je cachais mon sourire malicieux et m'agenouilla devant Bastien. Je lui demanda :

- Bastien de la Broise, veux-tu me croire que je fais attention à ce que tu ressens et que je t'aime?

Je souriais.

.Bastien.

Non Alice, non... Pff... Je regardai la jeune fille à genoux devant moi et me sentis un peut bête. Je ne pus m'empêcher de sourire car c'était tellement absurde. Je me penchai vers elle et l'embrassai avant de lui répondre avec un sourire :

- Bien sur que je te crois, pas besoin d'en faire autant. Et arrête d'être jalouse ou parano, il n'y a que toi que j'aime. J'ai déjà bien renvoyer bouler Dina, je pense que je peux résister à tout, non ?

Alice.

Enfin.. Bastien m'avait donc embrassé, avant d'avoir sourit une deuxième fois. Je souriais à sa phrase et me relevais donc. Ouai, donc t'avais deviné que j'étais jalouse, bah ouai après tout c'est vrai, c'est logique.. Je le regardais un peu perplexe et un peu honteuse. Non, moi jalouse.. Bah si, en fait.

- Mais oui tu peux résister à tout.

Je regardais le jeune homme et souriais à nouveau.

- Je vais aller me coucher. Je.. t'aime.

Je souriais et l'embrassais, avant de lui dire bonne nuit. Fallait que je me change en allant prendre une bonne douche et dormir. Je rejoignis donc ma chambre et pris une douche, me mise en pyjama avant de dormir. Pendant la nuit, je fis un sale malaise. Au matin, vers 9 heures, j'étais toujours endormie, mon coeur assez mal. Il fallait à tout pris que je me réveille, sinon je pouvais être soumise à quelque risques.

.Bastien.

Alice partie donc se coucher et j'en fis autant après avoir pris une douche et m'être changer. Une fois sous ma couette, je me forçais à tout oublier pour arriver à m’endormir tranquillement.

Le lendemain matin, je me réveillai de bonne heure. Je m'habillai donc et passai par la salle de bain pour me coiffer avant de rejoindre la cuisine. Je saluai ma mère qui mangeai déjà et me servis en pleins de bonnes choses à manger. Alice n'était toujours pas réveillé mais autant la laisser dormir, elle avait besoin de sommeil. De toute façon, vers 9h au plus tard je la réveillerai car on part à 9h30 pour aller voir mon père. Une fois mon petit déjeuné pris, je rangeai mon verre dans le lave-vaisselle et partis me laver les dents avant de me mettre sur l'ordinateur.
A 9h, Alice n'était toujours pas réveillé. Mais que fait-elle ? Je décidai alors d'aller la réveiller moi même. Je me dirigeai vers la porte de sa chambre et entrai dans la pièce. Elle dormais toujours. Je m'approchai alors du lit et m'assis dessus, évitant le corps d'Alice. Puis je la secouai gentiment pour la réveiller tout en l'appelant tout bas, et lui disant qu'il fallait qu'elle se réveille. Je ne voyais pas qu'elle était dans un état critique, comment aurais pus-je le savoir ?

Alice.

Ma respiration se faisait de plus en plus lente, et mon visage commençait à se faire pâle. Un bruit se fit entendre dans la chambre, comme si quelqu'un venait d'entendre. Je commençais à me réveiller instinctivement, et à sentir une douleur intense à mon coeur. Je sentis que c'était Bastien, entendant sa voix qui me disait de me réveiller. Là, je me réveilla entièrement et me retena de crier sous l'effet de la douleur. J'ouvris les yeux, et fixais Bastien.

- Bastien.. Coucou. Tu sais pas prendre le médicament qui est là plus la bouteille d'eau, là bas? Je fais un petit malaise. S'il te plaît..

.Bastien.

- Oui pas de problème.

Je me dirigeai vers la direction qu'elle m'avait indiquer ou je pourrais trouver ses médicaments. Je tombai enfin dessus et les pris tous, ne sachant pas lequel il lui fallait. Je pris aussi sa bouteille d'eau et les lui rapportai. Au passage, j'avais allumé sa petite lampe de chevet pour qu'elle y voit quelque chose. C'est vrai qu'elle était bien pâle ce matin. Je m'assis de nouveau sur le lit, lui tendant ses médicaments et l'eau.

Alice.

Bastien prit tout les médicaments, car il ne savait pas lesquels prendre. Je le remercia et pris celui pour calmer les attaques au coeur, et aider à clôturer le malaise. Je pris faiblement la bouteille d'eau également, et me redressa légèrement. Je pris mon médicament avec une gorgée d'eau, il fallait attendre quelques petites minutes avant que son efficacité face surface. Ce médicament était ennuyant car il donnait des effets secondaires après l'avoir pris, comme saigner du nez. Mais apparemment pour l'instant il avait décidé de me laisser tranquille. Après avoir pris mon médicament, j'adressa un premier sourire à Bastien.

- Ça va tu as bien dormis?

Heureusement que mes cheveux étaient attachés, car sinon mes cheveux aruraient ressembler à rien, vraiment. Quelle horreur..Ma tête du matin + mon teint pâle à cause de mon malaise. Génial.

.Bastien.

Je posai les médicaments d'Alice sur sa table de nuit ainsi que sa bouteille d'eau. Puis je regardai la jeune fille. Elle me demandai si j'avais bien dormis et je commençais par hocher la tête avant d'ajouter :

- Oui moi ça été. Et toi, plus ou moins d'après ce que je comprends ?

Vu son état, je ne voulais pas la bousculer. Mon père pouvait bien attendre quelques minutes de plus, le temps qu'Alice se prépare et aille mieux.

Alice.

Tant mieux alors, Bastien. Je le regardais et hochais la tête, accompagné d'un petit soupire. Que c'était chiant ces problèmes, tout de même. Je me levais tranquillement de mon lit, révélant mon pyjama rose.. avec des nounours. Je levais les yeux au ciel pour moi même et regardais Bastien.

- No comment sur mon pyjama.

Je souriais gentiment.

.Bastien.

Je souris devant le pyjama d'Alice mais ne dit rien. Puis je me levai du lit et lui dis :

- Je te laisse te préparer tranquillement, on part voir mon père quand tu es prête. Ok ? Surtout prends ton temps. Et si tu as un soucis, je suis juste à côté.

Je l'embrassai sur le front avant de sortir de la pièce. Je rejoignis alors ma mère pour lui dire qu'Alice venait de se réveiller et qu'elle se préparait. Puis je m'assis en tailleur sur le canapé et sortis mon téléphone portable et commençais à parler avec Loïc pour lui dire qu'on venait cet après midi.

Alice.

Je souriais, puis je me dirigea vers la salle de bain. Je me changea en mettant un pantalon slim, jeans, avec un t-shirt bleu foncé et un gilet noir, tout simple. Je me brossa bien évidemment les cheveux, après m'être nettoyé la peau. Je me parfuma un peu, car j'avais pris mon parfum, donc faut pas le laisser traîné. Je l'adore ce parfum. Je rebaissais la tête pour prendre ma brosse à dents, que je vis une goutte de sang dans l'évier. Génial. Je pris vite un mouchoir et compressa ma narine et nettoya l'évier. J'attendis plusieurs instants puis, abandonna le mouchoir dans la petite poubelle. Je soupirais profondément et me mis un petit coup de mascara et de crayon. J'enfilais mes chausettes et une fois prête, je sortie de ma chambre, saluant la maman de Bastien.

Adrien.

Je rigolais avec cette fille Audrey qui était comme une soeur pour moi. Je me sentais très bien en ça compagnie. Nous étions encore assis au pied de la tour Eiffel. Je retrouvais aussi plein d'amis que j'avais quitté. On était tous fière de nous retrouvé comme ça surtout au pied de la tour Eiffel, mon coach m'envoya un message me disant que dans peu de temps je pouvais être en compétition au canada. J'avais un grand sourire et lui dis d'accord. Jeudi j'avais la compet donc en gros je devais rentré assez rapidement au Canada.

.Bastien.

J'entendis la voix d'Alice saluer ma mère. Cette dernière l'emmenai alors dans la cuisine et lui demandai ce qu'elle voulait manger pour son petit déjeuné. J'envoyai alors un dernier message à Loïc, le saluant et lui disant qu'on se voyait cet après midi. Puis je rejoignis Alice dans la cuisine et m'assis sur l'un des chaises. Même si j'avais déjà mangé, ce n'était que part pur politesse. Ma mère lui servis alors ce qu'elle avait demander. Quand à moi, je baladai mon regard de ma petite amie à la fenêtre.

Alice.

Je remercia chaleureusement la maman de Bastien, en Français bien sûr. Je commençais mon petit déjeuné tranquillement, et vis Bastien arriver. Je le regardais de temps en temps, ou plutot l'admirais comme chaque fois. Une fois que j'eus finis de déjeuner, j'aidais la gentille maman de Bastien à débaresser. Ensuite, je les prévenue que j'allais vite me brosser les dents. Je pris donc la direction de la chambre d'ami, et la salle de bain. Je me brossais alors les dents, repegnais vite fais mes cheveux et me voilà prête. Je sortie donc de la chambre et partie rejoindre la petite famille.

.Bastien.

Je nettoyai alors la table en attendant qu'Alice finisse de se préparer. Une fois la table propre et Alice revenue, tout le monde se prépara pour sortir de l’appartement et monter dans la Audi. Une fois dans la voiture, ma mère au volant, et moi derrière avec Alice, je pris la main de ma petite amie. J'étais à la fois stresser de revoir mon père, mais aussi heureux et libérer. Le voyage ne dura que quelques minutes qui furent pour moi une éternité. Une fois à l'hôpital, je tenais toujours la main d'Alice. On monta jusque dans la chambre de mon père.

Il était allongé sur son lit, réveillé. Il tourna la tête vers nous lorsqu'on entra, et, en nous reconnaissant, nous souris. Une fois près de lui, ma mère, les larmes aux yeux, l'embrassa avant de s'asseoir juste à coté de lui, me laissant ainsi la place pour prendre mon père dans mes bras. Il me dit que je lui avais manquer et je lui retournai la phrase. Puis je me dégageai et présentai alors ma petite amie :

- Papa, je te présente Alice Street, ma petite amie américaine dont je t'avais parlé.

Alice.

Une fois tous prêts, on sortit de l'appartement et on prit donc la voiture pour partir rejoindre le père de Bastien. Tout au long du trajet, Bastien m'avait prit la main, je le sentais assez stressé, ce qui était tout à fait naturel. Une fois à l'hôpital, nous pénétrâmes dans l'immense immeuble, et nous prîmes la direction de la chambre de son père. Ce fut émouvant quand nous rentrons dans la chambre, la maman de Bastien eut les larmes aux yeux et embrassa so mari, quant à Bastien, il serra fort son père dans ses bras. J'étais vraiment heureuse, pour Bastien mais aussi pour tout le restant de la famille. Bastien me présenta à son père, disant que j'étais sa petite amie américaine. D'une voix calme, je répondis alors, en Français :

- Enchanté Mr de la Broise.

.Bastien.

- Et bien Bastien, tu en as de la chance d'avoir à ton bras une si charmante jeune femme et très bien éduquée. Bienvenue chez nous en tout cas, Alice.

Je dus rougir à propos des paroles de mon père. C'était un peut gênant comme situation, mais je sentais que mon père était sincère et qu'il ne disait que ce qu'il pensait d'Alice. C'est vrai qu'elle est charmante quand on ne la connais pas en approfondis. Car bon, elle n'est pas toujours aussi charmante que l'on veut parfois. Je souris alors à Alice avant de regarder mon père, puis la fenêtre.

Alice.

Son père était très sympa, et je le remercia. Mais je dus sourire, légèrement gênée, quand il dit charmante et bien éduquée. Charmante, oui, peut être, mais ceci dis, aux premiers abords.. bien sûr. Je rigolais en moi-même, devinant où déduisant que dans sa tête, Bastien devait se dire : "Si tu le connaîtrais en détaille, tu n'en dirais pas autant." Car qu'est-ce que j'en ai fais voir à Bastien, quand même. Je vis Bastien me sourire et je lui rendis son sourire en lui prenant la main. Je regardais par la fenêtre un instant, avant de reposer mon intention vers toute la famille. Je regardais discrètement le père de Bastien, qui était tout de même pâle, mais qui semblait quand même être bien. Ensuite, je retourna mon intention complètement sur Bastien. Alice, ne fond pas, devant dieu alias Bastien le mec ai physique incroyable.. réveille toi.

.Bastien.

Mon père me posa des questions à propos de ce que je faisais dans mon nouveau lycée. J'y répondais le plus simplement possible et sans trop de détailles. Je lui dis qu'il y avait aussi Connor qui était au lycée et ça lui rappela qu'il faudrait les inviter lors de la deuxième semaine des vacances, lui et sa famille. Intérieurement je me dis : comme ça on va pouvoir parler d'Elisabeth ! Mouahaha. Non je rigole bien sur, je vais le laisser tranquille mon cousin, sauf si il m'en pose la question. Bref. Quelques minutes plus tard, une infirmière rentra pour nous demander de sortir pour que mon père puisse se reposer. On lui dit alors au revoir et sortîmes de la pièce. Puis on rentra à la maison. Ma mère prépara le déjeuné et je l'aidai à mettre la table.

Une fois le déjeuné terminer, j'aidai à débarrasser. Puis je regardai l'heure. 13h30. On allait pas tarder à partir nous. Je préviens Alice qu'on y aller. Tout le monde se prépara et on fut de nouveau dans la voiture. Direction Paris. Le voyage fut un peut long à cause de tout les feus et bouchons mais on arriva à bon port à 14h, sur le champs de Mars. Je saluai alors ma mère et regardai la voiture s'éloigner. Puis je pris la main d'Alice et l'emmenai vers la tour de fer nommé la Tour Eiffel. Normalement Loïc devrait être en dessous...

Alice.

Après que Bastien ai échangé quelques paroles avec son père, parlant de sa vie scolaire, une infirmière fit irruption dans la pièce, nous demandant amicalement d'y sortir, afin d'y laisser le père de Bastien se reposer. Donc, de ce fait, nous repîmes la direction vers la maison de Bastien, où nous mangions rapidement, vu que nous avions rendez-vous à la tour Eiffel avec ses potes, donc Marie. Je le sens pas, mais faut que je me contrôle. Vite, nous reprenons la voiture, où la maman nous conduisa au lieu de rendez-vous. Je la remercia également de nous avoir conduit. Une fois hors de la voiture, je regardais le magnifique paysage, et surtout la tour Eiffel qui était vraiment jolie, enfin même si ce n'était qu'une tour en métal, mais même. Je sentis la main de Bastien prendre la mienne, et de ce fait je redescendis sur terre. Nous nous approchions donc de la tour Eiffel. Au loin je vis une silhouette masculine se dessiner, qui semblait avoir le même âge que nous, et une autre silhouette qui semblait être celle de Marie.. Oui, je le devine, j'en suis sûr et certaine. Je restais silencieuse et gardais le chouia de jalousie pour moi-même, et laissa Bastien dire et faire.

Adrien.

J'étais avec Audrey toujours sous la Tour Eiffel, mes amis étaient déjà partis. Il était 14h, puis au loin je vis un couple arrivé cette fille était pas mal puis je reconnus Alice celle que j'avais vue quelque jours plutôt. Ils rejoingnèrent deux autres personnes une fille et un garçon. Je ne disais rien, je tenais Audrey par dessus l'épaule comme un meilleurs ami avec sa meilleurs amie. Nous étions très proches et on adorait rire ensemble. Je la laissais tranquille Alice pour ne pas la dérangé.

.Bastien.

Je vis enfin Loïc et Marie et les rejoins rapidement. Je fis une poignée de main à Loïc et la bise à Marie pour les saluer comme des amis. Ils n'avaient pas du tout changer l'un comme l'autre. On prit rapidement des nouvelles des uns de autres puis je leur présentai Alice.

- Loïc : Enchanté Alice, moi c'est Loïc, le meilleur joueur de hanball du monde !

- Non c'est moi !

- Marie : Vous battez pas les gas, tout le monde sait que se sont les filles les plus forte.

- Loïc : Ouai ouai...

- Marie : Sinon enchanté Alice. Ne fait pas attention à Loïc, il est toujours en combat avec Bastien pour savoir qui est le meilleur dans tel domaine, du coup , ça part parfois un peut loin. Bastien, la dernière fois, c'était quoi votre petit duel.

- Heu... Laisse moi réfléchis... A oui ! Celui qui fera le service de tennis le plus rapide. D'ailleurs j'avais gagné.

- Loïc : Même pas vrai, je t'avais battu sur ce duel la !

- Marie : Et c'est repartis.