- France.

Alice.

Je n'avais pas dis à Bastien qu'il y aurait de fortes chances que je subisse des intervenstions chirurgicales pour ne pas passer de l'autre côté, mais je ne l'avais pas dis que ce que je lui avais dis était déjà énorme. Il me prit dans ses bras, et me disait qu'il savait que j'étais forte et qu'il ne se faisait pas trop de soucis, ce qui me soulagea. Apparemment, il ne l'avait pas trop mal pris. Il me dit même que c'est bien que je lu avais dis. Je souriais donc, énormément soulagée et dis :

- A ba au moins pour une fois, Alice Street a fait quelque chose de bien dans sa vie..

ajoutais-je avec une pointe d'humour. A ce moment précis, dans ma tête je me dis que je devrais arrêter les pom pom girls, car c'était un sport à risque pour mes problèmes de coeurs.

.Bastien.

Alice ! Tu fais pleins de choses de bien dans ta vie mais tu t'en rends même pas compte ! Je lui souris avant de l'embrasser sur la joue et de lui sourire à nouveau. Puis je lui dis alors ce que je venais de penser.

- Tu fais pleins de choses biens dans ta vie, même si tu t'en rends même pas compte.

Je regardai la jeune femme que je tenais toujours dans mes bras. Elle était vraiment belle quand elle souriait n'empêche.

Alice.

Ce que dit Bastien me fit à nouveau sourire. Arrête de faire ta blasée, chérie. Bien sûr que tu fais pleins de choses biens. Bastien m'embrassa sur la joue également, ce me qui me décrocha encore un sourire.

- Oui j'avoue, comme t'aimer par exemple.

Oui, la chose qui m'était venue direct à l'esprit. Mais aussi, soutenir Elisabeth, dans son histoire avec Connor, être là pour ma soeur.. Enfin bref quoi. J'avais un peu fait ma romantique, il faut dire, c'est assez rare. Après tout mon but était également de détendre l'atmosphère après cette annonce assez tristounette.

.Bastien.

Oui mais aussi pleins d'autres choses ! Bref, ne nous attardons pas la dessus car en faite, je n'ai pas trop d'idée. Je sais qu'il y en a pleins, mais la comme ça, j'en ai pas beaucoup. J'échangeai alors quelques baisés avec Alice. Puis je lui dis :

- Donc demain on va à la Tour Eiffel. Comme je te l'ai dis, on va surement retrouver un ou deux de mes amis du club de hand. Loïc viendra, ça c'est sur, après Marie avait dit qu'elle passerait peut être. Au moins si elle vient, tu ne seras pas la seule fille.

Alice.

Après les quelques baisés échangés avec Bastien, celui-ci me rappela que demain nous allions donc à la tour eiffeil. Comme il me l'avait dit, des potes le rejoindraient, dont Loïc, et peut être une amie, Marie. Ha, Bastien tu as quand même des filles dans tes amies, yeah! Je souriais, donc.

- Yep ce sera cool! Oui c'est sûr que je ne serais pas la seule.

J'ajoutais un sourire et vérifiais l'heure; 20 h. Il fallait absolument que je prenne mon médoc. Je pris donc ma petite bouteille d'eau que j'avais emporté et sorti mon médoc, que je pris avec une gorgée d'eau.

.Bastien.

Au moins, ça ne lui posai pas de problème si une fille venait, elle en paraissait même ravie. Quand j'y repense, ça aurait pus être ma première petite amie si je n'avais pas était si timide car on s'entendait vraiment très bien tout les deux. Il y avait aussi Julie, celle qui faisait de l'équitation avec qui j'aurais pus sortir. Mais tout ça, c'est du passé maintenant. Je lui demandai alors :

- Tu connais des gens qui vivent sur Paris et que t'aimerai inviter ou pas du tout ?

Alice.

J'étais de nature très jalouse, mais j'essayais de vaincre cette jalousie. J'essayais donc de la cacher à Bastien, car quand il m'a apparit qu'une fille venait.. au fond de moi même j'étais devenue morte de jalousie. Alice, cesse tout de suite. Faut pas croire que tout les mecs sont comme Mikel ou ton ex-père. Bon arrête de penser à cette fille, et répond à Bastien, gentiment. Je le regardais donc. Adrien, oui, c'est ce qu'il me venait tout de suite à l'idée. Ba pas besoin de l'inviter il habitait juste près de la tour eiffel et m'avait dit qu'il y serait demain. Je dis donc :

- Si, un mec, qui s'appelle Adrien. Pas besoin de l'inviter, il habite tout près de la Tour Eiffel, et il m'a dit qu'il y serait d'office.

Adrien ou le mec qui m'avait dragué, ce qui m'embarassa un peu.

.Bastien.

Adrien, jamais entendu parler. Peut être un pote français à elle ou un membre de sa famille, je ne sais pas. Mais bon, si il habitait juste à coté, oui, pourquoi pas l'inviter alors. Je lui souris avant de lui répondre gentiment :

- Ouai, si tu veux. Plus on est, mieux c'est. En plus si il habite juste à coté, il aura surement des choses ou des endroits qu'il connait ou on pourrait aller ou faire par la suite. Tu le préviens qu'on y va demain après midi vers 14h ?

Alice.

Okay, ça arrangeait Bastien et ça ne le dérangeait pas. Il me demanda donc de le prévenir qu'on sera là, demain après-midi vers 14h. Je le préviendras donc tout de suite après, alors. Je le regardais et souris.

- Oui, je vais faire ça après. Dis-moi petit coquin, parle moi plus de cette.. Marie?

.Bastien.

De Marie ? Mais il n'y a rien à dire sur Marie... Je dus rougir un peut je pense, comme si un point sensible venait d'être touché et que je devais le révéler. C'est vrai, je n'aime pas parler des filles, et encore moins à une autre fille, qui pardessus tout est ma petite amie. Calme toi Bat, de toute façon c'est juste une amie pour toi, pas besoin d'en faire tout un plat.

- Ba on c'est rencontré au club de handball. Elle joue dans l'équipe féminine et parfois, on fait des matchs mixtes entre les deux équipes principales du club, celle des filles et celle des garçons. Bref. Et Marie à souvent était dans mon équipe et occupe habituellement le même poste que moi dans l'équipe féminine. Du coup on est vite devenu ami et on c'est échangé pleins de conseils. Mais c'est tout, ça ne va pas plus loin, c'est juste une très bonne amie.

Alice.

Je dus sursauter quand je vis Bastien rougir, je dus faire un cinéma quand Bastien le fit, je dus m'énerver. Nan, je déconne, j'avais juste reculé de lui et l'avais regardé en détails :

- Dis moi.. Tu rougis?

Je le regardais le visage perplexe, puis écoutait ce qu'il disait. Hum..ouai ok. Pas plus loin, chouchou, je sens que tu as eu un faible pour elle, et quand te demandant ça, j'ai touché un point sensible. Mais pourquoi ?

- Ha ok, je vois, je vois.

.Bastien.

Mxrde, j'ai rougis. C'était pas mon envie, mais je ne peux pas m'en empêcher. Quand on me fait parler des filles, mais juste si elles sont de simples amies, je rougis. C'est tout de même chixnt à la fin d'être aussi réservé vis à vis des filles. Mais Alice n'insista pas plus sur le sujet en concluant avec un "je vois", un peut trop énigmatique à mon gout, l'air de me reprocher ou de desseller quelque chose que je ne voulais pas dire ou montrer. Tout d'un coup, je compris qu'elle avait du croire que j'avais eu des sentiments pour Marie.

- Si tu crois que je ressens quelque chose pour elle, non tu te trompe. Comme je te le disais, c'est juste une amie, c'est tout, ça va pas plus loin.

Alice.

T'es quand même bizarre, Bastien.. nan sérieux, tu me repproches d'ête bizarre, mais toi, alors, n'en parlons même pas! Je sais pas mais quand on rougit parce qu'on parle d'une fille en question, c'est qu'on a un faible pour elle.. Ouah c'était l'embrouille totale. J'avais envie de le baffer d'un côté, mais de l'autre, de lui dire que c'était pas grave.

- C'est bon, j'ai compris, c'est qu'une amie! C'est nouveau de rougir pour l'amitié..

Je soupirais profondément et essayais de me calmer intérieurement. Alice, ne t'énerve pas.

.Bastien.

Voila qu'elle me le reprochait. J'étais vraiment stupide et si je continuai, j'allais tout gâcher entre nous. Au fond, Dina à peut être raison... Non, tu ne peux pas penser cela, pas une seule seconde. Alors pour me justifier auprès d'Alice, je lui dis le pourquoi du comment :

- Oui... Non... Non mais en faite, c'est que je n'aime pas parler comme ça, surtout à ma petite amie, de mes amies filles car j'ai toujours peur qu'on le prenne mal ou qu'on interprète certaines choses alors que c'est tout le contraire. C'est juste de la gêne en faite, rien d'autre.

Alice.

De la gêne, oui.. Je fixais le vide et tapotais sur ma jambe, me détendant iet essayant de me laisser convaincre par Bastien. J'avais énormément de mal, je vous dis pas. Je soufflais un bon coup et, ensuite, je me retourna vers lui. Je le regarda, et lui répondis sur un ton ferme.

- Ouai, bon. Je t'ai dis que j'allais t'aimer à l'aveugle, alors fais pas de conneries, Bastien.

Je me souviens de cette phrase, alors je ne voulais pas me sentir trahie, car je m'étais assez sentie vexée.

.Bastien.

Moi ? Faire des cxnneries ? Elle a si peut confiance en moi que cela ? Merci, ça fait plaisir. Je m'éloignai un peut d'elle, la regardant toujours. Mais mon regard avait changer, ayant pris un ton de reproche. J'ai le droit d'avoir des amies et de ne pas aimé en parler d'elle, ok ? C'est pas pour autant que je vais tromper ma petite amie avec elle, à la fin ! Faut qu'elle arrête de se faire des films sérieux.

- Moi, faire des cxnneries ? Tu me fais si peux confiance au point de croire que je vais allé te trompé la première occasion venue ?

Alice.

Qu'est-ce qu'il me fait chxer. Je le regardais d'un regard noir et me levais de son lit. Tout ce que j'avais envie de lui faire c'était le baffer pour le faire réfléchir un bon coup. Ta timidté, gna gna, je suis pas aussi conne que ça, mec!

- Blabla bla, j'en ai rien à foutre! Si je te fais confiance mais ton stupide rougissement à la cxn m'a bien fait douté.

.Bastien.

Et c'est presque entre la détresse et la colère que je lui répondis alors :

- C'est des choses qui ne se contrôle pas. Ok j'avoue, j'avais des sentiments pour elle dans le passé. Tu es contente ? Maintenant c'est finis. De toute façon, elle doit avoir un mec à présent. Alors arrête de te faire des films. Tiens pendant que j'y suis, j'ai eu aussi des sentiments pour une fille qui s'appelait Julie et qui montait à cheval, même si maintenant elle habite à l'autre bout de la France. Comme ça, tu sais tout de ma vie sentimentale de l'époque ou j'étudiai en France. Voila. J'espère que tu es contente avec ça et que tu vas arrêter de me torturer avec tes questions idiotes puisque maintenant, tu es la seule fille dans ma vie.

Alice.

Je l'écoutais attentivement, sentant de la colère dans sa voix. J'étais sur les nerfs, mais je me calma un peu. Donc, ouai, j'avais réussir à lui faire craché le morceau, donc oui, i lavait eu des sentiments pour cette meuf, et pour une autre. T'a rougis, mec.. mais comment veux-tu que je te croies ça ? Sérieusement ? Ses derniers mots me firent beaucoup réfléchir. Je revins donc sur cette terre, déjà un peu plus calmée. Dire que demain j'allais la voir cette fille, nan mais je te dis pas quoi. Je vais pas lui péter un seul mot à cette idiote. Ne le regardant pas, je lui répondis dans le vide.

- Oh excuse moi de te torturer petit chou à la crème. Tu sais, même après ce que tu m'a dis, j'ai vraiment du mal à te croire, mais c'est bien parce j'ai une saloperie d'amour fou pour toi que je te crois, c'est bien parce que je suis vachement amoureuse de toi, je te le dis, hein!

.Bastien.

Une sxloperie ? L'amour est une sxloperie ? J'étais presque outrer par ses mots. J'avais compris le fond, mais tout de même. Ca voulait dire quoi ? Que si elle ne m'aimait pas autant elle m'aurais déjà foutu trois baffe et se serait casser, c'est ça ? J'avais presque l'impression qu'elle ne prenait rien au sérieux de ce que je ressentais intérieurement. En plus maintenant, j'étais sur que demain elle allait me faire la tête pendant tout le moment ou il y aura Marie. Merci, c'est gentil. Si tu m'aime vraiment, et bien respecte au moins mes amis car ils ne t'ont rien fait. Je me levai du lit et me dirigeai vers la fenêtre. Il fallait que j'arrive à me calmer et vite, avant que je gâche tout. Je mis ma main sur la fenêtre et appuyai ma tête contre ma main en fermant les yeux. Après quelques respirations, je me tournai vers elle, restant toujours à la fenêtre et lui demandai :

- Parce que si tu ne m'aimais pas, tu ferrais quoi ?

Alice.

Je restais un petit instant perplexe à sa question, prenant le temps d'enfin analyser sérieusement la situation. J'avais peut être détallée, aller trop loin comme d'habitude, mais je m'étais sentie vexée, et voilà.. Je soupirais et le regardais.

- Sincèrement.. Je t'aurais baffer.

Je soupirais un bon coup, s'en était de trop, et tout ce que j'avais envie de faire, c'est de repartir en Amérique. J'aurais jamais du poser cette question, mais c'est de ma faute, encore une fois j'ai pas su contrôler ce défaut à la cxn qui s'appelle jalousie. Je me sentis comme faible et impuissante et me laissais dirigé par Bastien.

.Bastien.

C'est ce qu'il me semblait. Elle m'aurait baffer, serait repartie aux States, me laissant seul chez moi, désemparer. Je me laissais glisser le long du mur pour me retrouver assis par terre. Je resserrai alors mes genoux contre moi. Je n'aimai pas qu'on se dispute comme cela, vraiment pas. Surtout que c'était vraiment pas mon genre, mais quand on me pousse à bout, je pars alors tout de suite en engueulade. Je ne lui adressai plus aucun regard alors, fixant le tapis devant moi qui recouvrait une partie du sol de ma chambre. Elle était aussi désemparer que moi, ça se sentait. Mais l'un comme l'autre, je pense qu'on ne bougera pas jusqu'à ce qu'il y en est un qui trouve le courage suffisant pour bouger.

Alice.

Nan mais j'en ai strictement marre,là! Vraiment. Je trouve ça pire que logique le baffer.. Sérieusement, c'est dans pure logique. Je regardais Bastien qui finit par s'asseoir parterre, les genoux repliés contre lui. Je le fixais et levais les yeux au ciel. J'étais pas décidé à en rester là.

- Ok. Bon. J'en ai, mais vraiment marre de toujours me disputer avec toi! Tu vas pas rester là, planter comme un choufleur, quand même? Bxrdel, réveille toi, normalement c'est le moment où tu dois m'embrasser.

Okay, Alice, si tu veux.

- Non je déconne.

.Bastien.

Et mais pourquoi c'est moi qui doit toujours faire ? Je supporte tous tes caprices, quand tu t'emporte pour X raisons, quand tu fais des délires mais on se demande d'ou ils sortent... Je dois à chaque fois calmer le jeu entre nous deux pour éviter les cxnneries, attendre que tu te calme avant de pouvoir te parler, ect... Donc non, comme tu dis, je vais faire mon choufleur et rester planter la jusqu'à ce que tu pense un peut à moi et à ce que je ressens plutôt qu'à toi. Car j'ai assez donné je pense. Je répondis alors d'une petite voix, presque pour moi :

- Et tu crois que ça me fait quoi ces disputes à ton avis ? Ça me saque juste le moral et me dis que j'ai encore dis des bêtises pour en arriver la, surtout que tu pars en un quart de tour. Alors essayer de penser un peut à moi, s'il te plais.

Alice.

- Arrête de parler pour toi. Sous ce que tu me dis, j'ai comme l'impression que tu penses de moi, que je n'ai pas de coeurs.. Hum. J'ai toujours pensé à ce que tu ressentais! Tu me pousses à bout, sérieux! J'en peux plus, à la fin.. Je suis bizarre, ouai, je suis folle, je suis tout ce que tu veux, mais enfonce-toi dans ton petit crâne de Bastienounet que ta petite amie elle a un coeur, qui est déjà troué, d'ailleurs, qu'elle a un petit coeur qui est attentionné auprès de toi, même si elle le montre pas. JE T'AIME ET je m'INTERESSE à ce que tu RESSENS.

Je le regardais et m'en approchais, le fudroyant duregard.