Alice.

Je ne m'étais donc pas tromper, c'était bien Marie et Loïc.. Je restais indifférente pour l'instant. Loïc se dit enchanté de me recontrer et Marie, également. Elle me dit de ne pas faire attention à Bastien et Loïc, car ils faisaient toujours un combat de "qui est le meilleur". Je souriais, faiblement, m'obligeant. Non je m'oblige pas.. Roh arrête.

- Je vois...

Je les regardais faire puis jeta un coup d'oeil à Adrien, avant de reposer mon regard sur les deux amis de Bastien. Je ne sais pas quoi dire, car j'étais trop occupée dans mes pensées d'hier. Ma jalousie se développait de plus en plus, mais je repensais à tout ce que m'avait dit Bastien hier, pour me rassurer. Je restais tout de même réservée, et j'avais une envie folle d'embrasser Bastien juste pour faire ma salope et montrer que c'est MON Bastien, mais c'est complètement absurde. Bref, pour ne pas dire de faire la gueule, j'affichais un joli sourire. Et si je lui prenais la main ? Arrête, Alice, c'est bon.

Alice.

Je n'eus donc pas besoin de lui prendre la main puisqu'il me l'a prise. Telle une salope, je souriais malicieusement dans le vide. Phase 1 : Alice Street et ses traits de salopes. Yeah. Bastien lança un nouveau duel, celui qui arrivait en premier à la tour Eiffel. Okay, génial! Cela me décrochait un bisous. Loïc dit que le vainqueur aurait un bisous d'Alice.. Je les regardais, perplexe, mais souriais, s'ils ont envie.. Hein, c'est leur choix. Ensuite Marie, semblait artificiellement exaspérée par leur idées farfelues. Je la comprenais, après tout.. Ils étaient stupides, mais bon c'est les mecs quoi. Je les regardais donc, guettant le commencent et le spectacle de ce duel.

- Débiles du jours bonjour..

Alice.

Okay, bon ils sont donc vraiment décidé à le faire. Nous nous avançions donc vers le lieu de départ, afin de donner le signal de départ aux deux cinglés. Marie le fit, et Loïc monta comme une fusée, quand à Bastien, en premier lieu, prit son temps, ce qui était très bien calculé et réfléchit. Il m'adressa un sourire avant de partir, que je lui rendis, timide. Timide ? Je sais pas pourquoi, va savoir. Ensuite, Marie nous proposa de monter par l'ascenseur, et j'étais tout à fait d'accord, avec mon coeur ça ne le ferais pas de toute façon. Je lui adressa donc un sourire, plus détendue qu'il y a quelques minutes.

- Va pour l'ascenseur, d'office.

Nous prîmes donc l'ascenseur sans trop de précipitations.

Alice.

Nous prîmes donc l'ascenseur et une fois tout en haut, Marie m'entraîna hors de cette boîte assez bizarre, et je pouvais.. Waw! Oh my god, so beautiful! This is amazing! I love it! Je souriais envoyant le paysage, et essayais d'apercevoir les deux garçons. Je remarqua Loïc, qui semblait déjà essouflé, et Bastien tout tranquille. Je crois qu'il y ait de fortes chances que ce soit mon Bastien qui gagne. Je jeta pleins de coups d'oeil à la magnifique vue qui s'offrait à moi. Je fis quelques photos avec mon Iphone pour immortaliser le moment, puis je le rangea et souris à Marie, avant de poser mon regard vers le bas, où se trouvaient les garçons, à quelques mètres d'intervalles.

Alice.

Après quelques bonnes minutes, nous vîmes Bastien arriver. Donc c'était donc Bastien qui avait remporté ce défis, comme je l'avais prédis! Après tout, c'est bien logique, car Loïc s'est précipité au tout début, et a donc perdu son souffle pour la fin. Je félicitais également Bastien, avant de regarder le pauvre Loïc, qui disait que plus jamais il voudrait refaire ce défis. Je comprend. Ils devaient ne plus sentir leur jambes, les pauvres! Bastien semblait content qu'il ai gagné, donc si j'avais bien compris c'est lui qui remportait le fameux bisous d'Alice? L'occasion de l'embrasser sur ses lèvres? Bon t'a finis, Dina? Rah là là. Je ne fis comme si de rien n'était et m'accoudait à la barre de l'espère de balcon, attendant qu'on me le rappelle. Timide sur les bords, je vous avais prévenu.

Alice.

Et si je sautais du haut de la tour Eiffel pour me suicider et enfin cesser cette stupide jalousie ? Va! Je soupirais discrètement, je sais vraiment m'auto-exaspérée par fois, un truc de fifou. Ensuite, Bastien et ses deux amis me rejoignis, et Bastien commença à me montrer tout les trucs de Paris, monuments.. Et Loïc et Marie le rattrapais quand il se trompait dans des noms. Je remercia Bastien et ses amis pour m'avoir fait découvrir cela. Je regardais ensuite autour de moi et commença à avoir une colère intérieure en moi, qui se montrait de plus en plus, mais je devais tout le respect pour Bastien. Je souffla un bon coup, tentant d'être discrète. Surtout, qu'il ne faut pas que je m'énerve sinon je peux faire des névralgies. Soudainement, je sentis quelque chose de sang couler de mon nez. Je sortis instinctivement mon mouchoir (XDDD), et en effet je fis un deuxième effet secondaire à cause du médoc que j'avais pris. Je m'éloigna de la bande, car bon voilà. Je compressa ma narine comme il le fallait. Je suis en forme je vais bien et ce soir il y a une boom! Ouai une boom Parisienne. Si tu le veux, Alice. Je soupirais un bon coup et ensuite cessais de compresser ma narine qui ne saignait plus. Ensuite, je retourna auprès de la bande, le sourire aux lèvres.

Adrien.

J'étais toujours avec Audrey entrain de la tenir dans mes bras. Je lui expliquais ce qui allait se passé. Elle ne m'en voulait pas dans tout les cas elle pouvait j'allais quand même rompre avec elle a cause de la distance. Une fois que l'on fut séparé on partit chacun de notre côté. Je décide de monté pour profité de la vue, je n'avais pas vue qu'Alice n'était plus là. Bon je payais mon ticket et arrive au même étage qu'Alice. Je la laissais tranquille, j'approche du bord et regarde le vide. C'est vrai que cette tour Eiffel était vraiment haute. Je marche et passe non loin d'Alice quand un groupe de fille vient a ma rencontre en criant : C'est lui c'est Adrien Ferio. Je soupirais et levais les yeux au ciel. Certaine filles voulaient une photo avec moi et comme j'avais pas vraiment le choix sinon ma popularité allait descendre en flèche surtout avec les médias. Je laissais prendre en photo. Je sortis mon sourire charmeur, enjôleur et mélodieux. Avec un regard mystérieux je pouvais être très bon comédien comme très naturel.

Alice.

Des cris féminins et perçants retentissaient tout à coup, criant le nom.. d'Adrien Ferio. Oh mais c'est Adrien. Je me retourna et le vis, avec toutes ces pauvres filles à ses pieds. Ensuite, Bastien vient prendre des nouvelles de mon nez.

- Oui, ne t'inquiète pas.

J'ajoutais un sourire gentiment, puis fixais Adrien. Je regardais Bastien.

- Tu vois le mec, là ? Ba c'est lui, l'Américain que j'ai rencontré à l'Unif quand on avait rompus.

Adrien.

Puis une fois quel fus partis, je soupirais de soulagement. Je partis m'appuyer contre la barrière. Je regardais le ciel tout en respirant. J'appelais mon père avant de lui demandé si je pouvais passé au restaurant. J'étais connue de beaucoup dans Paris surtout pour mes prouesses de gymnastique et aussi par mes parents connus mondialement. J'aimais pas que des filles viennent comme ça mais bon j'avais pas le choix a cause de mes parents qui voulaient que j'ai une bonne réputation. Je pensais a Audrey tout en soupirant mais a la fois soulagé de ne plus être avec. Personne ne le sais mais je suis un vrai bourreau des coeurs toujours entrain de sortir avec une fille puis à la plaqué.

Alice.

Ha, pourquoi il est populaire comme ça ? Bah, en fait.. Parce que son père tenaient de nombreux restaurants de son nom de famille, et sa mère était une coutourière de haute couture. Ba, je crois en fait. Je dis, donc, d'un air indifférent à Bastien :

- Je crois bien que c'est parce que son père tient de grands restaurants à cinq étoiles, et sa mère est une grande couturière, et ba en bref ils sont millionaires quoi. Et parce que sa beauté est appréciée auprès des filles, c'est ce qui fait beaucoup.

Je regardais Bastien.

- Mais mon dieu !!!!!

Adrien.

J'aimais aussi beaucoup ma tranquillité. Mes parents voulaient que je travaille moi je ne faisais rien au contraire je faisais pire. Je me concentrais bien plus en gymnastique que en cour de toute façon j'attendais que les cours recommencent pour aller sécher les heures de colles que j'allais collectionner. Demain je retournais au Canada car jeudi je suis en compétition. J'avais dé fois une envie de tout plaqué d'être une personne comme les autres mais mes parents eux ne comprenaient que j'avais besoin de respiré de ne plus être écraser par ces filles.

Alice.

Je mis mes mains sur ma tête et m'éloigna de Bastien. Je réfléchis un instant puis revins près de lui.

- Alors si Adrien est populaire mondialement pour sa beauté, bah toi t'es populaire dans tout l'univers, 4e dimensions, tout ce que tu veux. Oh my god!!

Je secouais la tête, surprise et regardais Adrien. Je ne fis comme si de rien, car bon.. C'est pas que je voulais pas lui causer, mais comme il m'avait dragué, j'aurais peur d'être embarassée.

Adrien.

J'entendis mon nom, je soupirais longuement avant de me retourné. Je restais un instant sans voix avant de sourire et de prendre cette fille dans mes bras. Je la regardais avec un regard amical.

-tu m'as tellement manqué !

Voilà 2 ans que l'on c'était pas vue. Elle était tous aussi heureuse que moi.

-Tu sais quoi, je vais surement faire les national puis les international en gymnastique. Je veux faire le 4ème meilleurs gymnaste si plus c'est le pure bonheur, mais bon face au chinois j'ai aucune chance encore.

-Mais non Adrien tu vas les battre.

On parlait de tout et de rien, je la tenais le bras par dessus l'épaule puis nous marchions comme ça vers un bar. On se mit sur la terrasse de celui ci, on prit un verre de coca tout les deux. On discutait, j'avais envie de retourné au Canada mais aussi de resté ici.

.Bastien.

Elle avait l'air trop sérieuse quand elle nous sortis cela, et sur d'elle. C'était trop drôle a voir. Marie et moi se contentèrent de sourire, quant a Loic il ne pur s'empêcher de rire. Mais ou est-ce qu'elle va chercher tout ça n'empêche ? Elle est folle ma petite amie. Loic repondis a ma place :

- Loic : si Bastien est populaire pour sa beauté sa se serai n'empêche. Tu le savais Marie ? Non ? Bon ba c'est qu'il ne l'ai pas. Sinon sa voudrait dire qu'il m'a encore battu sur un point aujourd'hui. Tu m'énerve Bat !

- Désoler Loic mais j'ai rien dis cette fois ci, dis je avec un sourire.

Alice.

Non, mais en moi-même, c'était juste la pure vérité, c'était.. Nan, mais sérieusement, il avait un de ces physiques incroyables. Just amazing! Le sourire de Bastien et Marie me soulagèrent, et le rire de Loïc également, puisque ça va ils ne m'avaient (je crois), pas trop pris pour une folle, enfin je crois que si quand même. Loïc ajouta quelque chose, qui me fit sourire mais j'étais pas d'acc. Namého.

- Vous savez, Bastien est populaire pour sa beauté, mais secrètement. De toute façon ils ne méritent pas toutes ces groupies à ses pieds. De toute façon il.. Non, je me tais.

"De toute façon il n'avait pas intérêt sinon j'allais le tabasser". Oh la petite jalouse! Ensuite je regardais Loïc, et voulant être gentille, j'ajouta tout amicalement :

- Comme Bastien te bas sur ce point là, pour moi, cela n'insinue tout de même pas que tu es moche, Loïc. Tu es même tout mignon!

Adrien.


On discutait puis je regarde l'heure pour mon portable. Je lui dis que je devais rentrer chez moi pour préparer mes bagages pour rentrer au Canada. On se quittait et je me dirige vers l'ascenseur. Une fois en bas, je rentrais chez moi j'avais quelque mètre à faire et me voilà de retour dans ma demeure. Je rentrais dans ma chambre et préparais mes valises. Je me mis ce que je voulais le plus emporté comme pour ma compétition de gym. Si je voulais je pouvais rentrer immédiatement chez moi car je venais en jet et rentrais en jet. Tous mes amis allaient me manquer terriblement.

.Bastien.

Loic souris a la dernière phrase d'Alice, comme nous tous d'ailleurs. Je l'avais toujours dit a Loic qu'il arriverait a sortir avec des filles sans problème, mais il ne m'a jamais écouter, me retournant tout le temps la phrase. Oui, ok je sais, j'avais été pareille. Mais bon.

- Marie : mais oui Loic, tu es même très beau gosse quand tu fais attention a toi un peut.

- Loic : arrêtez, je vous crois pas de toute façon. J'ai jamais séduis une fille par mon physique et c'est pas demain que ça va changer.