- France.

Alice.

Tout le monde sourit à ma phrase, ainsi que moi. Loïc était un garçon très beau gosse, comme Marie l'avait dit. Loîc semblait un jeune homme qui manquait énormément de confiance en lui, c'était dommage parce qu'il semblait quequ'un de bienveillant.

- Loïc, tu manques vraiment de confiance en toi, c'est mal ça. T'a l'air d'un mec génial! En plus t'a vu qui te dis ça? C'est Alice Street, attention!

.Bastien.

- Loïc : Moi ? Manquer de confiance en moi ? Jamais. C'est pour cela que je suis le meilleur joueur de handball, c'est parce que j'ai une grande confiance en mes capacités et en celles de mes partenaires. Donc ne t'inquiète pas pour moi, je m'en sortirai très bien. Bref ! Quelle heure il est ? Car avec tout ça, ça m'a donner faim de monter les marches.

- Il est... 15h30.

- Marie : Déjà ? Que le temps passe vite sur cette terre ! Ou alors, c'est vous qui avez mis presque une heure pour monter les marches.

- Loïc : Hé ! Ba va les monter toi les marches ! Je peux te dire qu'à la fin, c'est fatiguant.

Alice.

Hum si tu le dis, alors mon cher.. Okay, je ne m'inquiète pas pour cela. Ensuite il demanda l'heure et Bastien la lui indiqua. Marie ironisa quelque peut sur le sujet, mais je ne suivais pas trop la conversation trop préoccupé par mon état de santé. Je soupirais un bon coup. Je regardais ensuite le groupe d'amis, puis ne su plus quoi dire. Me renfermant de nouveau sur moi-même, j'eus l'idée en tête de partir, me sentant mal à l'aise. Je recommençais à repenser à la situation d'hier, et de me dire que cette Marie aurait pu sortir avec Bastien. Mais ce que tu es possesives, Alice, dis! Je regardais ensuite Bastien, d'un oeil, puis, je ne dis plus rien, laissant Bastien faire, après tout c'était ses amis. Oh, mais c'est l'heure de mon médicament. Je sortis donc mes affaires et pris mon médicament, qui avait comme effet secondaires ; la peau très pâle et de légers problèmes de respirations, mais pas très très grave. Une fois pris, je devenu, évidemment pâle, mais n'eus pas encore les autres problèmes. Je rejoignis Bastien, et regardais Marie d'une drôle de façon, dans la plus grande discrètion possible, mais en fait je ne savais pas être discrète.

- I want to make a killing.

disais-je en Anglais, ayant l'espoir qu'ils ne le comprennent pas.
(Traduction : Je veux faire un massacre/meurtre.)

.Bastien.

Je ne compris pas pourquoi Alice venait de dire cela. Mais le regard que lui lancèrent Marie et Loïc montrait que eux, ils venaient de comprendre. Je regardai mes amis. Ça nous avait un peut refroidis. De toute façon, il fallait bientôt rentrer, ma mère devait surement avoir bientôt finis et viendrait nous chercher dans très peu de temps. Je regardai Alice. Des fois, il y avait vraiment quelque chose qui n'allait pas chez elle, je ne savais jamais pourquoi.

- Bon, nous on va tarder à y aller je pense.

- Marie : Déjà ? Ok, ba on se revoit dans la semaine alors ?

- Oui peut être, on verra.

- Loïc : il y a intérêt, sinon c'est moi qui vient chez toi !

- Ouai, on verra. Bon aller, on y va Alice.

Alice.

Je lancais de grand regards noirs à Marie et regardais Bastien, la haine et la jalousie montaient en moi. Je soupirais un bon coup et je me tourna à dos de Bastien et regardais au tour de bois. Sur les nerfs, je lâcha :

- Fuck bitch.

En parlant, bien sûr de Marie. Je ne les regardais plus et prise d'une colère noire, je commença à marcher d'un pas hâtif vers l'ascenseur, que je pris. Une fois dans celui-ci, je m'amusais à taper contre les parois de l'ascenseur, sous l'effet de la colère. Une fois en bas, je partis m'asseoir et m'énervais intérieurement. Je vais la tuer cette fille, je vais la démonter.

.Bastien.

Mais qu'est-ce qui lui prenait à celle la ? Non mais sérieux, aller traité Marie de bitch ! Non mais oh ! Elle se prend pour qui sérieux ! Une fois qu'elle fut éloigné, je regardai Marie et lui dis :

- Je suis désolé. Vraiment. Je ne comprends vraiment pas ce qu'il lui arrive

Elle me dit que ce n'était rien, que je n'y étais pour rien. Je lui dis alors au revoir avant de faire de même avec Loïc. Il m'emmena alors un peut plus loin et me glissa à l'oreille :

- Loïc : Faut que tu sache que Marie est depuis longtemps amoureuse de toi et qu'elle n'attend qu'une chose, que tu revienne en France et que sorte avec elle. Je te dis juste cela en ami. Mais sache que tu peux avoir la même chose en France. Bon aller, à plus !

Je ne savais pas comment réagir face à cela. C'est vrai que j'aimai beaucoup Alice et ma vie aux States. Mais c'est vrai que parfois, je ne la comprenais vraiment pas, comme maintenant. Au moins, avec Marie ça serait beaucoup plus simple... Mais comment tu peux pensé cela ? Bon on va d'abord essayer de se réconcilier avec Alice ou de comprendre ce qui ne va pas. Je pris moi aussi l’ascenseur pour descendre. Mais Marie ne lui a rien fait de la journée ? Comment a-t-elle put s'emporter comme cela ? Arriver en bas, je sortis mon téléphone et appela ma mère. Elle me dit qu'elle arrivait dans une minute, qu'elle n'était plus très loin. J'avais vu Alice plus loin mais je ne la rejoignis pas.

Alice.

Avant de partir, j'avais vue Loïc glisser quelque chose à l'oreille de Bastien, ce qui dépassa amplement mes limites. Je tournais la tête et le vu. Je bondis et partis le voir. Une fois que je le vu, je tremblais tellement j'étais énervée et je lui cria :

- Dis le si tu veux Marie! Dis-le maintenant j'en ai vriament marre. Tu me fais chier, on dirait que tu te forces de rester avec moi!

Je voulus le baffer mais j'attendis un peu.

.Bastien.

- Non mais qu'est-ce qu'il te prends à me parler comme cela Alice ? J'ai rien dis, j'ai rien fait, je ne l'ai jamais regarder autrement que comme une amie. Donc arrête tout de suite de dire des cxnneries comme cela pxtain ! Comment tu peux avoir aussi peut confiance en moi que cela ! Non mais vas-y la, arrête tout de suite des bêtises ! Je crois que te faire venir en France était la pire des idées que j'ai eu. Non mais sérieux, tu as vu comment tu parle à mes amis qui essaye juste d'être sympa avec toi ? Non mais réveille toi ! Arrête d'être celle que tu n'es pas !

Alice

Ses paroles me blessèrent jusqu'au plus profond de moi-même. Je le sentis même à mon coeur tellement ça m'avait été loin.

- Qu'est-ce qu'il me prends? Nan je sais pas, sérieux. Ce ne sont pas des conneries espèce de con! Je sais très bien que tu as un putain de faible pour c'te meuf! Ouai me faire venir en France, comme tu dis, c'est l'enfer sur terre. Merci. Je suis celle que je suis mais sous l'effet de la colère! Tu fais vraiment chier, pars avec, quoi! Ouai t'a plus de facilité avec elle, hein.Reste dans ta petite bulle de merde, alors. Fais ta vie avec c'te fille si.. bête.

.Bastien.

Elle voulait me faire sortir de mes gong ou quoi ? De toute façon, avec elle, mieux vaut ne pas discuter et ne rien dire. Mais je devais lui oter de la tête que j'aimais Marie. Ou alors je lui faisais croire que je l'aimai encore pour la torturer comme elle me torture actuellement. Aussi, ne rien lui répondre pourrais lui faire croire que... Non.

- Mais je ne l'aime pas pxtain ! De toute façon, on ne peut jamais discuter avec toi ! Tu vois rouge partout et tu n'essaye même pas de comprendre ce que je dis. Sérieux j'en ai trop marre.

Alice.

Tu l'aimes pas.. Oui.. Je le regardais. Je le regardais dans les yeux et restais bloquée, je ne savais plus quoi dire. Je me reculais de lui et restais perplexe.

- On ne peut pas discuter avec moi.. Si. T'en a trop marre? Et ben moi aussi tu vois. Franchement, qu'est-ce que t'attend pour me plaquer? T'inquiète pas je saurais surmonter cela, enfin non.

J'étais tellement énervée, que la colère me retomba, et je fis demi-tour, et je commençais à marcher quelque part, où? Je ne sais pas. Je m'éloignais légèrement de Bastien et commençais à légèrement pleurer. J'essayais de me calmer. Mais ça ne marchait pas. Ensuite je revins vers Bastien.

- Ouai et qu'est-ce qu'il t'a dis, Loïc tantôt? Ne t'a-t-il pas inciter à sorti avec Marie? Après tout, elle a beaucoup d'atouts. Elle à l'air sympa, douce et très facile comme fille. Tout ce qui te correspond je paris.

.Bastien.

Je ne savais pas comment réagir face à elle. Mais je crois que j'étais trop énervé maintenant. J'en avais juste mare d'elle, mare de son caractère et de ses caprices.

- Ce que m'as dit Loïc n'as pas d'importance. De toute façon, tu as raison. Je préfère arrêter tout avec toi. J'arrête pas et j'en peut plus d'essayer de te comprendre et de contrôler tes émotions avec des mots. Tu délire complètement parfois qu'à la fin, je m'y perds et j'ai trop peur de te blesser. Donc c'est finis entre nous et ça sera mieux comme cela. Je te ramène à l'aéroport demain matin pour que tu rentre chez toi puisqu'ici c'est l'enfer pour toi.

Alice.

J'écoutais Basten et fus dépitée de ses mots. Je le regardais et ne sachais plus quoi dire. Sur le coup, je le baffais.

- Lâche-moi sale con! Plus jamais tu me reverras j'ai plus besoin de toi! Va te faire foutre.

J'avais les yeux flous, la tristesse brûlait mes yeux comme le feu, je ne pouvais plus supporter de le voir. Ses mots m'avaient juste détruite entièrement, j'aurais cru que.. Mes pensées se bousculèrent, et je le regardais une dernière, fois, en pleure et je fis demi-tour. Je mis ma main sur mon front et m'éloignais peu à peu de Bastien. Je sortis mon portable et m'assis sur un banc. Je me crispais et mis mes mains sur ma tête. Je n'avais pas la force de prévenir qui que ce soit.. Le monde s'était encore ébranlé devant, moi, et ce, encore une fois par ma faute.

.Bastien.

Sxlope ! Tu es comme les autres en faite. Je la regardai s'éloignée. C'est ça, casse toi ! Je ne sais pas ou elle allait passer la nuit. Peut être chez son copain, Adrien, qui en plus habite juste à coté. Mais en faite, je m'en fiche. J'envoyai un SMS à ma mère pour lui dire qu'Alice allait dormir chez une amie à elle qui habite à Paris et que moi j'allais chez Loïc. Elle me répondit alors qu'elle était d'ac et qu'elle rentrait donc directement à la maison. De toute façon, elle avait toujours était d'accord avec moi. Je vis alors Loïc et Marie sortir de l'ascenseur. Ils me virent tout seul et s'approchèrent de moi.

- Loïc : Ba que ce passe-t-il Bastien ? Ou est Alice ?

- On a casser, on sait disputer violemment et j'ai préféré rompre. J'en pouvais plus et de quel droit elle peut insulter mes amis ? Non mais la ça me dépasse, je ne l'ai jamais vu comme cela.

- Marie : Calme toi Bat, ça sert à rien de t'énerver contre elle. Elle est partie ou maintenant ?

- Je n'en sais rien, elle est partie. Elle ira peut être chez son copain qui habite tout à coter. Après tout, je m'en fou complètement.

- Loïc : Bon, tu vas venir dormir à la maison toi, on va discuter de tout cela.

Alice.

Quelques minutes après, je me reprise, et tentais de ne pas me lamenter sur mon sort. A présent, le principal allait de savoir où j'allais aller avec tout cela. Je ne vais aps chez Adrien, car il part bietôt mais alors chez Bastien tu peux toujours rêver. Bon, heureusement qu'il me restait de l'argent sur moi. Mais j'avai encore toutes mes affaires chez Bastien. Je me les en bat. J'avais le principal : Mon argent, mon portable. Après tout il a qu'a brûler mes affaires j'en ai rien à foutre sérieux. Par contre.. je n'ai pas mes médicaments. Grosse merde. Et si je fais un malaise maintenant ? J'avais que celui qui donnait des vitamines à mon coeur.. Je suis dans le pétrin. Je me relevais du banc et partis vers le centre ville. J'avais le ticket du retour, mais bon.. Je devais en acheter un nouveau.

De ce fait je demanda des rensignements à des Parisiens qui me disaient où je pouvais en acheter. Une fois renseignée, je pris la direction donnée et m'achetais mon billet. Le vol était prévu dans 1h30. Vol express, qu'ils disaient. Je pris ensuite un taxis, qui me conduisit jusqu'à l'aéroport, qui me rappela Bastien, encore une fois. Bon, t'arrête de penser à lui, maintenant, STOP ! Pour patienter, je sortis mon portable et prévenais Elisabeth, ma meilleure amie de la situation.

.Bastien.

Je laissai Loïc et Marie vers la voiture de Loïc. Il était majeur, il pouvait conduire maintenant qu'il avait son permis. Une fois dans la voiture, on pris le chemin de sa maison. Marie allait aussi venir avec nous, elle y tenait. Peut importe, j'avais juste envie de me changer les idées. Arrivé à l'appartement de Loïc qui habitait maintenant tout seul, pas loin de son université, je m'assis dans le canapé, fatigué. Marie s'assis à coté de moi et me caressai le dos pour essayer de me réconforter, voyant ma vie dépitée. Loïc apporta trois verre et la bouteille de coca. Puis il s'assit lui aussi à coté de moi.

- Loïc : Aller Bat, fait pas cette tête, tu en trouvera d'autres des petites amies, en France ou aux Etats-Unis. De toute façon, je l'ai toujours trouvé un peut étrange et d'après tes messages, votre relation était tendue depuis quelques jours. Aller, oublie la un peut. Tu veux faire quoi ce soir ?

- J'en sais trop rien...

- Loïc : Si on allait se faire un petit match de Hand, histoire de se libérer un peut.

- Ok, appelle tout le monde.

- Loïc : C'est partit pour un petit match ! Ah, je commence à retrouver mon pote la !

Il se leva et s'éloigna un peut. Il appela alors les potes. Je regardai alors Marie. Elle était vraiment belle depuis tout ce temps. Elle dut sentir ma fragilité et se pencha vers moi et m'embrassai délicatement. Je ne pus lui résister et la laissai faire. Après tout, Alice avait raison, j'éprouvai encore quelque chose pour elle. Je la regardai alors de nouveau, et avant que je ne puisse faire quoi que ce soit, Loïc revient et nous dit :

- Loïc : C'est bon ! Ils viennent tous !

Alice.

Cela me semblait long d'attendre et je trouvais cela douloureux, de rester ici, où je ne connaissais que Bastien. J'avais encore un peu d'espoir, mais je commençais à vite le perdre, me disant qu'il allait se mettre avec Marie et vite m'oublier. Mais comment tu peux penser ça de lui, Alice? C'est selement maintenant que je me rends vraiment compte qu'il m'aimait, mais je crois bien que cela est trop tard. Je soupirais un bon coup et retenais mes larmes.

Je regardais l'heure, nous étions 16h30 avec tout cela. Cela faisait une demi heure que j'attendais mon avion. Et voilà que nous étions presque 18h. De ce fait je me dirigeais vers là où je devais aller, et m'envolais vers l'Amérique, laissant l'amour de ma vie.. Laissant mes souvenirs, laissant tout..

.Bastien.

On avait rejoins tout mes potes à la salle de Hand et j'étais bien content de les retrouver tous. On joua plusieurs matchs. Marie aussi était de la partie et jouait admirablement bien. Elle avait fait beaucoup de progrès depuis. Je ne pouvais m'empêcher d'admirer ses talents. Enfaite, la séparation avec Alice me faisait beaucoup de mal mais me libéré en même temps. Jouer me faisait peut à peut oublier quelque peut la douleur. Et puis, c'était vraiment amusant de se retrouver tous ensemble. On se sépara vers 18h30 pour rentrer chacun chez sois, Marie et moi chez Loïc avec lui bien sur, tous fatigué. Arrivé chez lui, on prit tous une douche puis on s'assis dans le canapé pour regarder un match de Hand encore. Je lançais souvent des regards à Marie, laquelle avait posé sa tête contre mon épaule. A la fin du match, Loïc nous dit qu'il allait se coucher. Nous on dormait dans le salon, Marie sur le canapé et moi sur un matelas par terre. Une fois que Loïc fut dans sa chambre, j'éteignais alors la télé et regardai Marie. Elle m'embrassa alors de nouveau et je m'abandonnai alors à elle, fragilisé par la dispute et ma rupture avec Alice. On changea quelques baisé avant que je la repousse gentiment soudainement. Elle sentit que je n'étais pas encore prêt totalement à oublier Alice et à me remettre avec quelqu'un. Elle m'embrassa alors sur le front et me souhaitai une bonne nuit. Je me mis alors sous les draps et posai ma tête sur l'oreiller, essayant de m'endormir. Mais je n'arrêtai pas de penser à tout cela, à Alice, à Marie... C'était trop compliqué. Mais je finis par m'endormir.

.Bastien.

Je le réveillai le lendemain. Je me souvenais alors que j'étais chez Loic, que j'avais rompu avec Alice et que Marie m'avait embrasser dans ma détresse. Elle dormais encore a ce que je vois. Elle était vraiment belle comme jeune fille, mais je ne pouvais m'enlever l'image d'Alice dans la tête. Mais oublie la a la fin, elle t'atire trop de problème et trop de soucis. Surtout que supporter son caractère c'est vraiment vraiment pas facile et ça use vite les nerfs. Pourtant je suis doté d'une grande patience mais la... J'avais je pense, besoin de me détacher d'elle pendant quelques jours. Je reçus alors un SMS d'Alice. Il était très long mais je pris le temps de le lire. Cela me parus très bizarre sur le coup car elle me demander a un moment une photo de Marie mais elle l'avait vu hier. Je le relus une deuxième fois et compris qu'elle me l'avait envoyer il y a deux nuits. Sûrement un problème de réception ou autre. Mais maintenant, c'était finis entre nous et je ne peux pas remonter le temps comme dans Prince of Persia. Donc bon. Et prendre de la distance la fera sûrement réfléchir un peut a tout ça car vu comment elle c'est emporter contre moi, mais surtout mes amis, j'ai pas du tout apprécier. Je l'ai même très mal pris. Je vis alors que Marie se réveillait et verrouillai alors mon téléphone pour qu'il ne fasse plus de lumière. Le message d'Alice me fit tout de même réfléchir mais non, je ne repondis rien pour autant. De toute façon, il n'y avait rien a dire. C'est fait, c'est fait. La prochaine fois, elle réfléchira a deux fois avant de dire de telles bêtises et injures. En tout cas, elle avait bien merder hier et désoler, mais je l'ai embrasser. De toute façon, on est plus ensemble donc je ne t'ai pas tromper véritablement. Mais faudrait qu'elle paye un peut vu comment elle m'en a fait subir. Non tu n'es pas comme cela Bat, tu n'es pas rancunier. Mais je sais pas pourquoi, mais je sens que je vais encore sentir les lèvres de Marie sur les miennes... On verra bien. Je la vis alors totalement réveiller et me sourire. Je lui rendus alors sont sourire et lui demandai tout bas :

- Bien dormis ?

- Ouai et toi ?

- Moyen. J'ai eu du mal a m'endormir a force de penser a tout ce qui c'est passer.

- C'est parce que je t'ai embrasser ? Je suis vraiment désoler.

- Non, c'est le comportement d'Alice, je ne comprends toujours pas pourquoi elle c'est emportée alors que tu as tout a fait était correcte avec elle.

- Je sais pas non plus, mais si il y a quelque chose que je peux faire pour que tu aille mieux, dit le moi.

- Ta seule présence et celle de tous mes amis me suffie amplement. Vous êtes vraiment ce que j'ai de plus cher après ma famille.

- Au Bastien. Tu as toujours eu un cœur immense.

Je m'assis et ouvris alors mes bras. Elle compris tout de suite, se leva, et vient se blottir contre moi. J'avais besoin de me sentir aimer sans complexe, juste simplement. Je passai alors quelques minutes a la tenir dans mes bras, laissant quelques larmes sortirent. En sentant une de mes larmes lui tombée sur la peau, elle s'éloigna légèrement pour me regarder tout en restant près de moi et m'essuya la joue d'n doigt.

- Mon pauvre, c'est vraiment pas juste ce qu'elle t'a fait subir car tu ne le mérite vraiment pas, tu es quelqu'un de généreux et attentionnée.

- Merci Marie. Mais tu sais, elle est très gentille, juste qu'elle a un caractère de mxrde et quand il y a un truc qui va pas, madame part en furie...

Elle l'embrassai alors pour me faire taire sûrement et je lui rendus son baisé. J'étais je pense, vraiment amoureux d'elle, même si mon cœur ne pouvait pas oublier Alice. Puis elle me souris :

- Tu sais que je te ferrais jamais un truc pareille. Reste avec moi en France, ne retourne pas aux États Unis. Tu as tout ce qu'il te faut ici.

Elle se blottit alors de nouveau contre moi et je la serai contre ma poitrine. Je ne peux rien te promettre ma petite Marie. J'aimerai bien rester ici, mais mon cœur est je pense, enfin une partie, partie avec Alice au USA pour toujours.

.Bastien.

Les jours s'écoulaient très vite. Je passais toutes mes journées avec mes potes. Mon père était enfin rentré de l’hôpital et allait beaucoup mieux, même si il faisait de la rééducation 3 fois par semaine. Je m'étais beaucoup rapprocher de Marie, même si mes sentiments pour elle n'était pas toujours très clair. Mais elle était vraiment compréhensive et savait quand c'était le bon moment ou non. Elle faisait attention à ne pas me brusquer et s'arrêtait immédiatement quand je la repoussais, sachant très bien que j'avais encore beaucoup de mal. C'est ce que j'appréciai chez elle : sa patience et sa douceur. On était pas totalement ensemble pour autant, juste sur le coup d'un soir quand j'avais besoin d'elle. Tous mes potes étaient content de me revoir et on fit des matchs de fou. C'était vraiment top. Alice me manquait, certes, mais au moins, je passais de bonnes journées. Je devais retourner aux States le jeudi pour avoir le temps de m'installer avant la reprise des cours. Je n'avais plus très envie d'y retourner, mais au moins je reverrais mon cousin. Mais bon, il fallait que j'affronte de nouveau les profs, Dina, et surtout Alice. Je ne lui avait envoyé aucun SMS de la semaine et ne savait pas quand je repartais de chez moi. En plus, j'avais pas super envie de l'affronter de nouveau, elle et son caractère. De toute façon, elle ne pourra jamais changer. Jamais, même avec toute ma bonne volonté et ma patience. J'avais essayé, ça n'a pas fonctionner. Mais le fait de revoir mon cousin et Elisabeth me fit tout de même décider de repartir aux Etats Unis, malgré que Marie aurait préféré que je reste. Je repris donc l'avion pour arrivé le jeudi matin au lycée.