Le slow passa en un clin d'oeil, sûrement trop subjugé par la beauté de ma cavalière! Ahah!
Enfin, quand la musique de cette danse en duo sonna sa dernière note, je pris les deux mains d'Elisabeth et l'emmena en dehors de la piste.
Une fois au calme, je prends la parole.

« - Tu danses admirablement bien! » dis-je le sourire aux lèvres.

Elisabeth sembla flattée de ce compliment, elle en rougissait même! Je souris, au bord du rire, face à la jolie jeune femme. La timidité est un trait de caractère qui m'a toujours attiré chez certaines personnes. Alors que je scrutais la pièce je m'aperçut de l'absence d'Alice et de Bastien, peut être s'étaient-ils retouvés dehors?

Elisabeth aussi avait remarqué l'absence du couples et de quelques autres connaissances.

« - Nous devons être les seuls... »

Je regarde alors la charmante jeune fille et lui adresse un grand sourire. Elle a vraiment tout pour plaire, gentille, charmante et élégante, la classe anglaise dans une belle robe rouge.

Elisabeth me dit qu'elle passait une agréable soirée en ma compagnie. Cette remarque me flatta, pour lui faire comprendre, je mima une révérence comme dans l'ancien temps.

« - Oh! Il faut dire que la beauté de ma cavalière m'a beaucoup inspiré! » lui répondis-je avec un large sourire.

Alors que j'observais la jeune femme je remarqua le désordre de sa coiffure.

« - Tu devrais les détacher je pense. Tes cheveux. »

Je m'apprêtais alors à passer derrière pour oter pinces et élastiques de sa chevelure blonde.

« - Tu permets? »

.Elisabeth.

Connor me fit une révérence avant de me dire qu'il avait était particulièrement inspirer par moi et ma beauté. Je dus lui faire un incroyable sourire pour le remercier de ce compliment. Puis comme je l'avais sentis, il me fit remarquer que ma coiffure commençait a se barrer. Il faudra que la prochaine fois, je mette de la laque ou que je rajoute des barrettes, ou même que j'en trouve une autre. En passant derrière moi, il me demanda si il pouvait tout défaire.

- Oui bien sur.

Elisabeth me donna l'autorisation de défaire sa coiffure. Méticuleusement j'enlève pinces et barettes que je dépose dans ma main. Enfin, quand tout fut enlevé, j'ébouriffais un peu les cheveux de ma cavalière pour qu'ils se remettent à leur place et me postais devant cette dernière.

« - Ça te va bien, les cheveux détachés. » dis-je avec un timide sourire.

Elisabeth me demanda si je pouvais garder les barettes dans une de mes poches. J'accepte volontiers et lâche le contenu dans la poche droite de mon blouson.
Le silence retomba, je ne savais plus quoi dire.

Ma cavalière brisa le silence en me demandant comment j'avais connu le baseball. Je lui souris avant de lui répondre :

« - Pour occuper mes week end. J'ai cherché un sport en en essayant plusieurs puis je suis tombé sur le baseball et cela m'a beaucoup plus. »

Puis je me tourna vers la jeune femme et lui posa la même question en retour.

[ Message pour Connor : SOS, je suis dans la chambre. ]

Elisabeth me conta son parcours sportif, j'étais impressionné par ce dernier, peu de gens arrivent à garder un sport pendant un labse de temps aussi long. Je lui fis d'ailleurs remarquer. Soudain, mon portable vibra, je regarde la jeune femme et lui dis :

« - Excuse moi quelques secondes. »

Je venais de recevoir un sms de Bastien, plutôt inquiétant, il me disait de le rejoindre en urgence au dortoir. Une vague de panique me subjuga, que lui arrivait-il? Sans plus attendre je pris la main d'Elisabeth et l'entraîna avec moi dehors pour rejoindre les dortoirs.

Amy.

J'arrivais dans les vestiaires et me mis en tenue d'entrainement pour pouvoir faire l'ouverture de samedi, une fois prête je sortis du vestiaire et commençais l'échauffement. Nous étions toutes là sauf ma soeur, je sais pas pourquoi, je verrais ça plus tard. Bon un moment après l'échauffement on commençait quelque figure simple pour commencé et avec le temps des figures plus complexes. J'étais tout en haut de la pyramide. J'avais l'habitude, mais je sais par maïs je sentis mon corps se rendre complètement mou. Je n'arrivais pas à tenir, j'étais tout en haut debout. Mes jambes lâchaient, j'eus comme un trou noir. Mes yeux se fermèrent et je tombais sur le sol. La pyramide humaine tomba elle aussi, ma tête heurta violemment le sol. Je n'avais plus aucune réaction, tout le monde se précipita à mes côtés pour voir si tout allait bien. Après 10 minutes les secours arrivèrent sur place, je n'avais toujours pas repris connaissance voyant mon état ils avaient un pressentiment pour qu'il y est quelque chose de grave. Ils s'occupèrent de moi avant de m'emmener à l'hôpital. Je ne sentais rien, ma colonne vertébrale avait pris un sacré choc. Je n'avais mal nulle partie, mais je sentais rien pour le moment mais je restais inconsciente.