Jacko l’asticot, quel bon souvenir quand même. Dire que Ayahi n’est même pas au courant que je suis entrain de revenir, elle va surement vouloir me tué. Oui, je ne lui ai pas dis au revoir avant de partir. Je suis désolé, mais comme vous me connaissez si bien je suis quelqu’un qui n’aime pas les adieux, ni m’excuser, je n’aime pas grand-chose. Je suis en plein dans l’avion qui est en direction de l’aéroport de Montréal. Elle m’a terriblement manquée, j’ai une envie de la revoir de pouvoir la serrée dans mes bras. Et puis la seule chose qu’elle ne doit pas savoir c’est que j’ai replongé dans ma dépression, je sais que c’est terrible mais c’est comme ça. Mes bras sont de nouveaux mutilés par des objets tranchants, je ne prends plus mes médicaments depuis un moment. Vous allez me demander pourquoi j’ai fais ça ? Peut-être parce que je suis de nouveau très mal dans ma peau et dans ma tête. Puis vous savez que mes parents adoptifs, ne m’aime pas vraiment et qu’ils ont tendances à me le faire comprendre par plusieurs moyens. Ce n’est pas ça le problème, vous pensez que je pense toujours a Elyne ? Oui j’y pense mais ce n’est pas de sa faute non plus, peut-être celle d’Arthur ? Oui, c’est bien ça. Je ne supporte plus être aussi loin de mon frère, c’est moi qui me suis occupé de lui de sa naissance à la mort de notre mère. Même si nous avons été séparés depuis un moment, je l’aime.

Je ne vais pas m’éternisé sur mes envies de suicides car, je sens que je vous ennuie à présent. Si nous parlons de comment je vais revenir ici. Bah de façon normal, je vais surtout essayer de me faire tout petit afin de ne pas être remarqué par les autres. Surtout que quand je suis parti certaines personnes on dit que c’était Ayahi qui me poussait au suicide. J’ai besoin de personne pour pouvoir mettre fin a mes jours. Bon, maintenant que je vais arriver à l’aéroport, je commence a rassemblé mes affaires afin de descendre rapidement de celui-ci. Les avions, c’est la seule chose que je n’aime pas. Les endroits confinés me font peur, avant j’en avais pas peur mais maintenant je dors presque plus depuis que…….Non jack, ne dévoile pas tous tes problèmes maintenant. Tu auras tout le temps de les dire. Oui tu as raison, mais j’ai tellement envie d’en parler. dans ces cas la, tu as ton journal intime a qui tu pourrais tout raconter. Au moins, tu es sure qu’il t’écoute vraiment.

L’avion fit son atterrissage, je descends rapidement de celui-ci. Par contre, j’attendais d’être presque tout seul pour récupérer mes bagages ou mon seul et unique sac que j’ai. Une fois qu’il fut récupéré, j’avance vers le hall. Quand je pue avoir un taxi, je lui indique l’endroit il doit me déposé. Pendant, qu’il roule vers l’UE on passe devant le ponton ou on est tombé à l’eau. J’arrête le taxi, je le paye et descend avec mon sac. Le paysage, était toujours le même, toujours aussi agréable et à la fois si flippant. J’approche de ce barrière qui avait cédé ce soir là, maintenant elle est complètement neuf. Je pose mon sac et laisse le vent passer entre mes cheveux.

Une douce larme coula sur ma joue, oui je repense au moment que j’avais passé ici. Je me souviens aussi de la période ou j’étais bien dans ma tête, mais maintenant ce n’est plus le cas. Je repense à mes idées noirs, et puis je repense a ma cicatrice sur mon torse qui me rappel souvent que je suis mal.

Tout me manque ici, c’est tout de même bizarre ce sentiment. Moi qui pensais que j’avais oublié tout ces bon moments. J’ai hâte de retrouver Ayahi, mais je ne lui envoie même pas de message pour la prévenir de mon retour. Et pourquoi, je ne le fis pas ? Je ne sais pas non plus.

Ayahi

C'est temps ci était difficile, mon père venait de se marier et il m'en voulait de n'être pas venu mais je refuse catégoriquement d'être complice a une chose qui me révolte au plus haut point. En plus le fils de cette mégère érudit en Amérique dont c'est génial ! Et pour finir Jack est partit je ne sais ou sans prévenir personne, sans même me dire au revoir. C'est sans doute égoïste de ma part. De plus cet asticot me manque beaucoup.

Je me baladais sans but en ville depuis le début de la journée, je m'ennuie et je ne sais pas que faire. Je n'ai envie de voir personne, c'est vraiment une mauvaise périodes ou tous arrive en même temps. Je n'arrive même pas a jouer correctement de la batterie non, je deviens grave. Je ne sais même pas comment y remédier donc finalement je fais simplement une pause de mes activités. Ainsi me viendra l'impatience de jouer et quand je travaillerai l'instrument je sortirais du bon son. Enfin je me comprends quoi.

Je marche sans vraiment regarder devant moi, en effet j'étais totalement perdu dans mes pensées, plus ou moins importante. Mon portable vibra dans ma poche, je le sors et regarde de quoi il s'agit. Super encore mon père, je me demande si il fais exprès pour que je le haïsse. Enfin je suis loin de lui et ça m'arrange, la seule chose qui m'embête c'est d'être loin du psy ou je me sens le mieux. Les coutumes, les gens, les... Non tous enfaite, tous me manque. Je n'ai pas le mal du pays mais comme je l'ai dis c'est une mauvaise passe, qui j'espère va vite passer.

Un léger bruit me sortie de mes pensées, les clapotis des vagues. Je tourne la tête la gauche et vis l'étendu d'eau qui s'étendait a perte de vue. L'eau bleue ce confondait au magnifique ciel bleu. Mise à part cette nouvelle barrière l'environnement n'avait pas changé. Je m'accoude à la barrière et regarde l'horizon qui me semble si lointain et inaccessible.

Je regarde sur le côté et je vis un jeune homme, je n'arrive pas a bien le discerner, je  suis trop loin mais le style et sa carrure ressemblais à... Non c'est pas lui, il est partit. Je me redresse et continue mon chemin, j'observais toujours l'horizon. Je m'approche de plus en plus de cet inconnu. Je finis par m'arrêter a une quinzaine de mettre de lui. J'ai des hallucinations ?

Une petite brise de vent reste présente, surtout à cause de la mer qui se trouve près de l’endroit ou je suis. J’affectionne beaucoup cet endroit, pour tous les bons souvenirs passés ici. Une larme coule doucement sur mon visage, je relève doucement mes manches afin de voir ce que je continue de me faire. Certain son persuadé que je suis malade dans ma tête mais non, c’est juste que mon passé a vraiment du mal passé (c’est le cas de le dire).

Ne remarquant pas la présence d’Ayahi, je ne sais même pas qu’elle est la. J’ai bien remarqué la présence de quelqu’un, mais je m’en fiche. Ayahi, va vouloir me tué quand elle va savoir que je suis ici. Vous vous demandez pourquoi ? Bah en même temps je suis parti sans lui dire au revoir, je ne lui ai pas donné de nouvelle.

J’attrape mon sac pour rentré à l’UE, une fois retourné cette personne m’observait. Elle est toute proche de moi, je la regarde, elle est blonde, elle ressemble a ma Aya. Je l’observe tout en restant à bonne distance. Je me suis dis que ce n’est pas possible que ça soit elle.

-Ayahi ?

Je suis dans la confusion, mais je laisse mon sac tomber et approche. C’est bien elle ma Aya, même un sourire sur mon visage. Depuis un moment maintenant, que mon sourire a disparu. Voilà à quoi se résume ma vie, a pleuré, à avoir mal, à ne plus profité de la vie, avoir perdu goût à tout, avoir replongé dans ma dépression, recommencé à me faire du mal, a me faire souffrir comme on ne pas imaginé. Cruel ? Non, c’est la vie qui est cruelle tout simplement. Elle vous bouffe petit à petit jusqu’à ce que vous disiez stop ou que vous capitulez et la c’est la mort assuré. Et moi, j’ai capitulé depuis bien longtemps et maintenant, la laisse me tué petit à petit.

En arrivant devant elle, je ne me suis pas aperçus que mes cicatrices étaient présentes. Pour une fois, je n’ai pas mon couteau sur moi, c’est tout de même bizarre. A non, c’est normal c’est interdit dans les aéroports suite a des accidents, et a des détournements.

-Jack … ! Tu m’as manqué … Abruti !

C’était bien elle, nous étions tous les deux aussi ravis de se retrouver même sans que personne n’ait aucune nouvelle de moi. Je fus traité d’Abruti, en même j’en suis un. Un sourire sur ses lèvres me réchauffait, c’était tellement agréable de revoir son visage, de revoir ses yeux, son sourire, tout, c’était elle qui était agréable à revoir et à regarder. Elle me serrait dans ses bras, et moi aussi. A ce moment là, je m’aperçus que mes bras étaient nus. J’en profitais pour descendre mes manches.

-Moi aussi tu m’as manqué !

Je la regardais, mon sourire était présent malgré que j’avais mal au fond de moi. J’avais l’habitude de le caché donc c’est ce que je faisais a cet instant. Je me décolle d’Ayahi et la regarde.

-pour être un abruti, je le suis vraiment, c’est confirmé depuis un long moment.

Je n’avais pas vraiment envie de parlé de mes problèmes en Suisse, toujours les mêmes problèmes ma famille d’accueil. Il y avait d’autre chose plus importante que d’étaler mes problèmes a cette fille, elle est si merveilleuse, c’est même bizarre qu’elle arrive à me supporté depuis le soir du bal. Depuis que j’étais ici, on ne s’était presque jamais quitté j’avais fais la connaissance de quelque personne mais de pas grand monde.

-Je suis désolé pour tout !

Je disais toujours la vérité même si le mensonge m’aurait utiles pour expliqué mes blessures mais je ne me permettrais pas de jouer a ce jeu avec ma Japonaise. Je pense qu'elle les avait vue mes mutilations, et je sens qu'elle va me demandé une explication. C'est même bizarre que j'ai pas encore pris de tape derrière la tête pour mes actes puérils et égoïste.

- -Oui tu est un abruti mais je m’en fiche, je t’aime bien quand même. Quand à tes excuses mise à part celles de ne pas m’avoir donné de nouvelle depuis ton départ, tu n’as rien à excuser !

Oh qu’est ce que je peux aimer cette fille, attendez elle est simple et ne se complique pas la vie, et puis regarder elle ne m’en veut pas de l’avoir abandonné comme ça. Elle est si merveilleuse que ça ? Je pense qu’elle le dit pas mais elle doit quand même m’en vouloir de ne pas avoir donné de nouvelle et d’être partis comme ça.

J’avais un petit sourire sur mon visage, mais très léger comme à mon habitude. Malgré que mon sourire est quelque chose de très rare car je suis en constante souffrance avec ce que je fais. J’espère qu’elle ne me parlera pas de mes blessures. Elle se décale de moi pour me poser une question.

-Pourquoi tu ne m’as pas prévenue que tu rentrais ?

Pourquoi, car à la base je n’étais pas sensé rentré. J’aurais même du resté en Suisse, mais suite à ma dépression qui est revenu, ils ont encore préférer de ce débarrassé de moi.

-Je voulais te faire la surprise, je sais pas si c’est réussis.

Dire qu’ici, j’ai des très bons souvenirs comme des moins bons. Les meilleurs ont été la rencontre d’Ayahi et d’Elyne. La pire peut-être mes tentatives de suicides, et la rupture avec Elyne. Je m’en suis remis, ne vous inquiétez pas pour moi.

J’espérais, qu’elle ne viendrait pas me posé la question de mes bras mais c’est Ayahi quoi et elle a toujours une question à posé pour savoir le pourquoi.

-Je suppose qu’elle est réussite ! -Pourquoi es-tu parti subitement ?

Voilà un des questions que j’attendais, bien sur que je savais qu’elle me poserait cette question. C’est même ce que fait tout le monde. Donc, je pris une bonne bouffée d’air pour lui répondre. J’allais être franc et allais lui dire la vérité toute la vérité.

-C’est a cause de ma famille d’accueil, voyant que tout allait mieux, ils ont décidé de me faire revenir en Suisse du jour au lendemain. Et j’ai pas eu le choix, et si je suis ici c’est qu’ils ont voulu que je revienne pour d’autre raison…

Je baissais un peu la tête honteux de moi, mais de toute façon c’était fais et on ne peux pas revenir en arrière.

[Accélération]

Ayahi m’avait posé la question que je redoutais temps celle de mes cicatrices. Je lui expliquais qu’en réalité, ils m’ont fais revenir ici parce que j’ai recommencé. Si j’ai recommencé, c’est que déjà ils avaient un comportement autre que celui des parents qui aiment leurs enfants. Ils m’avaient quand même enfermé dans un placard pour par m’entendre quand ils avaient du monde « important ». Donc depuis, j’ai recommencé ma dépression car je me sens vraiment mal dans ma peau en se moment.

Je regardais Ayahi, dire que a cause de c’est pseudo « parents » j’ai peur du noir. Je suis devenu claustraux, et Nyctophobe (peur de l’obscurité de façon intense). Toujours en la regardant, nous étions l’un à côté de l’autre. C’était plus qu’une amitié que je ressentais envers Aya.

Tout en la prenant dans mes bras, je dépose un doux baiser sur les lèvres d’Ayahi. Rapidement, je m’écarte.

-Excuse moi, j’aurai jamais du faire ça…

Pourquoi t’as fais ça ?! Tout simplement, que… Je me retourne, car je savais que j’aurais jamais du faire ça.  Je regarde mon sac, toujours tout seul.

Voilà, je me disais que j’avais fais une très belle connerie en embrassant Ayahi. Je m’attendais à ce qu’elle me rejette après tout, et surtout qu’elle soit frustré de ce que je venais de faire à l’instant. Très étonné par son comportement, alors que je lui tournais le dos, elle posa sa tête contre mon dos avant de passer ses bras autours de moi.

Je fermais un instant les yeux, pendant ce cours instant je revoyais tout ce que me faisais subir ma famille. Je me disais que j’avais énormément de chance d’être ici, d’avoir Ayahi à mes côtés. D’avoir retrouvé mon petit frère Arthur, tout était si beau sauf en suisse. J’ouvris de nouveau mes yeux, je n’avais rien fais jusqu’à ce moment ou je pose ma main sur celle d’Ayahi.

Dire que ça fais un long moment que j’ai ce sentiment pour elle, il fallait que je me décide un jour à lui avouer. Elle était si simple, même si je ne connais pas beaucoup de chose de sa vie, elle connait la mienne. Quel égoïste je fais, j’ai toujours balancé ma vie alors que je me suis jamais intéressé à la sienne. La seule chose que je sais d’elle sait qu’elle est Japonaise, que son père c’est remarié avec une bonne femme qui à un fils insupportable voilà comment elle mes les avait décris.

-Tu m’en veux pas pour ce geste ?

Je me retourne délicatement vers elle, je la regarde dans les yeux. Je n’étais pas très grand, mais je n’étais pas non plus petit. J’étais de taille intermédiaire.

Pourquoi je lui posais cette question, si elle m’en avait voulus elle n’aurait pas réagis comme ça. Tu penses à Elyne ? Qu’est ce qu’elle vient faire dans cette histoire, elle m’a quitté et est resté en Irlande. Je veux ne pas en entendre parler. Même si je l’ai aimé, j’ai tourné la page et maintenant je commence une nouvelle page de ma vie. Ayahi est peut-être ma meilleur amie, mais je sais pas pourquoi mais beaucoup tombe amoureux de leurs meilleurs ami(e)s.

Toujours près du ponton ou on est tombé dans l’eau si froide, si glacé qu’on a faillis tomber en hypothermie. C’est du passé tout cela, je la regarde. Je ne sais pas si elle ressent la même chose que moi. Je n’ai pas pue résister à l’embrassé, elle est si magique, si belle, si adorable mais quelque chose ne va pas. Je ne sais rien de la vie d’Ayahi, elle ne ma jamais rien dis alors qu’elle connait la mienne.

-On a jamais parlé de ton passé, j’aimerais en apprendre plus sur toi. Je sais que ton mère est avec quelqu’un que tu n’aimes pas. Quelle à un fils, mais voilà, tu connais la mienne.

Je la regarde avant de regarder autour de moi. J’espère en savoir un peu plus, et puis je veux savoir ce qu’elle ressent pour connaitre ses sentiments. C’est qu’une fille Jack ! C’est pas qu’une fille, elle s’est la fille la plus agréable, la plus gentille, la plus canon. Malgré qu’Elyne me manque un peu, mais elle aussi elle appartient au passé. Elle ma quitté, et c’est tempi pour moi.

-C’est juste pour en apprendre sur toi, mieux te connaitre. Tu peux me faire confiance, je n’ai jamais rien dis sur les autres. Je sais que je peux te faire confiance, toi aussi tu peux.

Le bruit de la mer peut me bercé, mais aujourd’hui non. Pourquoi ? Car je suis obnubilé par Ayahi, dire que j’ai fais les pire conneries mais je suis toujours pareil. En réalité je n’ai pas changé, je suis toujours la même personne dépressif. Je suis arrivé comme ça, et je vais mourir dans le même cas. Qu’est ce que tu peux être pessimiste ! Non, j’ai plus de gout pour la vie, c’est tout simplement comme ça. C’est la vie qui est injuste, donc pourquoi je vais devenir juste avec moi. Je n’ai pas été gâté par la vie, et c’est comme ça.

Le temps commence à changer, comme ci quelque chose de dramatique va se passé. J’espère que tout va très bien, je me demande si c’est a cause de la suite ou pas.

Ayahi

J’avais toujours un petit sourire aux lèvres jusqu’au moment ou il me demanda de lui raconter sa vie. Automatiquement mon sourire disparu, je ne cacherai pas que c’est un point sensible pour moi. Je pris un air alors sérieux. C’est comme si en moins d’une seconde je venait de rejeter tous ce qu’il y a autour de moi y compris Jack, pour me renfermer sur moi même. Je n’allais pas resté muette au non, je vais lui répondre mais cela ne sera pas la réponse qu’il attend.

-Je n’ai rien à raconter sur mon passé, tout ce qu’il y a savoir et bien tu le sais déjà.

Mentir, je ne sais que mentir lorsqu’il s’agit de ma vie. Je sais écouter les autres, et j’essaye de leur donner des conseils et de les aider comme je peux et si j'en suis capable. Mais je ne veux pas que les autres connaisses ma vie, elle n’est pas des plus agréables, mais ce n’est pas la pire non plu. Néanmoins pour celui qui ce retrouver empêtré dedans et bien ça devient rapidement dérangeant. J’ai l’habitude donc à force je n’y fais plus attention mais je ne raconterai rien.

-J’ai une parfaite confiance en toi, mais je n’ai rien à dire à se sujet.

Sans que je le veuille mon ton était devenu distant et froid. Je me tourne alors vers la mer posant mes mains sur la rambarde. Je m’appuie dessus, je ne veux pas devenir méchante, ni odieuse mais alors pourquoi est ce que je régis ainsi ? C’est horrible, je ne veux pas être comme ça. Il me la demandé gentille ment. Je pourrais presque me comparer à un hérisson, je peux être calme et sympathique mais lorsque l’on touche un point sensible automatiquement je me mets en boule et montre mes piques. Et je ne peux rien faire pour y remédier.

Oh la, j’ai certainement du toucher un point sensible de la jolie blondinette. C’est assez affolant de ne pas la connaitre alors qu’on se parle depuis plusieurs moi maintenant. Je l’ai jamais vue se renfermé de la sorte. Pourquoi ce met-elle dans cet état ? C’est juste une question assez banale.

-Je n’ai rien à raconter sur mon passé, tout ce qu’il y a savoir et bien tu le sais déjà. J’ai une parfaite confiance en toi, mais je n’ai rien à dire à se sujet.

J’ai bien du mal à la comprendre, c’est tout de même assez surprenant. Elle qui a souvent le sourire, qui m’écoute toujours et bah elle ne veut pas qu’on l’écoute. J’aimerais en apprendre plus sur elle, je suis égoïste. Ayant toujours déballé ma vie, je me suis jamais soucié de celle d’Ayahi. Peut-être qu’elle à un secret qui pèse tant sur elle ? Mêle toi de toi ! Non, je peux pas.

Je commence m’énervé de voir qu’elle ne fait pas assez confiance pour ça. Voilà que j’ai finis par être énervé et par dire des choses que je ne lui aurais jamais dis.

-Tu me fais vachement confiance ! La preuve, tu n’arrives même pas à me parler de toi. Tu connais tout sur moi ! Moi qui pensais que tu me faisais vraiment confiance faut croire que non.

Je marquais une courte pause avant de reprendre.

-J’ai vraiment été un sacré ab*utis, vaudrait mieux que je parte. J’ai plus rien à te dire personnellement…

J’attrape mon sac et me barre en ville énervé. Je n’ai jamais été comme ça, c’est la première fois que je m’énerve réellement. Je marche en ville avec la larme à l’œil. Je marche sans me retourné, au bout d’un moment on ne pouvait plus me voir.

Ayahi

J’étais en colère, contre moi même, c’est comme un blocage. Je ne veux pas parler de mon passer c’est mon droit. J’ai juré que je ne raconterai jamais mon passé, il y a un lien qui mène à chaque point de cet évènement dramatique qui à souillé mon existence. Si je devait me conduire comme dans le passé Jack ne me reconnaitrait même pas. Je serai simplement une inconnue aux yeux de tous.


-Tu me fais vachement confiance ! La preuve, tu n’arrives même pas à me parler de toi. Tu connais tout sur moi ! Moi qui pensais que tu me faisais vraiment confiance faut croire que non. J’ai vraiment été un sacré ab*utis, vaudrait mieux que je parte. J’ai plus rien à te dire personnellement…

Je regarde la mer pensive, je le trouve injuste. Je ne l’ai jamais obligé a tout me dire mis si il le faisait j’étais là pour l’écouter qu’importe ce qu’il allait me raconter. Aujourd’hui il m’a demandé de lui raconter ma vie à mon tour, j’ai mal réagis je le sais. Mais pourquoi fallait t-il qu’il dise tous ça ? Je sers mes poings, je suis en colère contre lui aussi. Je suis une vrai tête de mule et j’ai un caractère, j’ai du mal à avaler ce qu’il m’a sortit.

Je pars à mon tours, mais dans le sens opposé du jeune homme. Je ne lui ai rien dis de plus, je n’ai pas bronché à ce qu’il m’avait dit un peu plus tôt. Mais la dessus, il y a des limites, j’encaisse pas mal de chose mais venant de lui ça à du mal à passer. Je lui en veux, certes il a sans doute raison mais j’ai quand même des sentiments humains.

Je me sens mal, voilà que maintenant ton les passages qui étaient enfuis dans l’oubli, me refont surface. Je me sens lourde, et je marche sans regarder ou je vais, au final. Lorsque je regarde autour de moi je vis un décors que je ne connais pas, je ne sais pas vraiment ou je suis. Dans l’immédiat je m’en fiche mais ce qui est sur c’est que je ne suis pas dans les mauvais quartiers de la ville c’est une bonne chose.

Je mis mes écouteurs et je m’assis dans une petit ruelle pour me calmer. J’en ai assez de tous ça, je veux rentrer au Japon. J’eue alors un doute énorme sur Jack… Suis-je vraiment son amie pour qu’il réagisse ainsi ?

Nous nous sommes quittés sur mauvais terme, j’y suis peut-être allé trop fort. Je suis vraiment égoïste, je n’ai pensé qu’à moi-même. Qu’est ce que j’ai fais ? Les larmes continuèrent de coulé, je suis totalement dans mes pensés à m’en vouloir. J’emprunte les escaliers du parc. Le sol étant glissant je me dois de faire attention, mais je fis tout le contraire. Je glisse sur le sol dégringolant une vingtaine de marche, arrivé en bas j’avis déjà perdu connaissance. Mon sac a fait un poids qui m’a entrainé en avant.

Une personne me voyant tombé, se précipite vers moi afin de voir si je n’ai rien. En ne répondant pas, et en voyant que je me suis ouvert au niveau de l’arcade appelle les secours. Il reste tout le temps a côté de moi, en attendant les secours. Une fois qu’ils furent arrivés, il s’en alla avant que je sois pris en charge.

Arrivé à l’hôpital, je commence à reprendre mes esprits. Un mal de chien, mais qu’est ce que j’ai mal au crâne. Si je pouvais, je la taperais contre un mur. Ils décidèrent de me faire passer plusieurs examen, ils avaient récupéré mon portable qui était tombé de ma poche.

Pendant les examens, ils préviennent le numéro qui était mis en cas d’urgence. C’est celui d’Ayahi, ils tombèrent sur la messagerie de celle-ci. Ils laissèrent un message.

-Bonjour, c’est l’hôpital ! Nous vous appelons car un de vos amis a eu un accident et que vous êtes en numéros d’urgence. Si vous pouvez passer au plus vite à l’hôpital nous vous serons reconnaissant.

Le numéro est celui de l’hôpital donc on ne pouvait pas savoir qui y est. Quand à moi, on me mit dans une chambre a cause de ma chute. J’avais un traumatisme crânien, car oui à chaque coup on subit un traumatisme et vue que c’est la tête c’est crânien. (Il a rien dans le cerveau donc ça craint rien.) Par contre, j’avais toujours mal. On me donna quelque chose pour soulagé la douleur et surtout pour me faire resté calme un décontractant. J’ai l’impression de planer maintenant, les yeux à moitié ouvert comme dans un état comateux.

Je n’arrivais pas à me calmer, je rassemble mes jambes près de mon corps, je suis toute recroquevillé contre le mur de la ruelle. Il ne me fallut pas longtemps pour au final m’endormir. Non en réalité je somnolais, je sentie mon portable vibré mais avant même que je ne m’en rende compte je tombai dans un sommeil profond.

Je me réveille un moment plus tard combien de temps ? Je ne saurai le dire, je relève la tête. Mon portable vibrai encore. J’allonge mes jambes et le sors. Alors un message de mon père deux d’une amie un appelle manqué d’un numéro que je ne connais pas et un message vocale. J’écoute alors le message vocale. On me disais de venir à l’hosto car un ami est blessé. Jack mais qu’est ce que tu as encore foutu ?

Après une bonne dizaine de minutes à me décider, je me lève et me dirige vers ce putxin d’hôpital. Il me fallut un long moment pour y arriver, non je n’avais pas pris les transport en commun, simplement parce que je n’ai pas amené mon porte feuille donc pas d’argent. J’arrive dans le bâtiment, on me donne le numéro de la chambre et tout le blabla.

Je marche lentement, j’avais déjà retiré mes écouteurs. J’étais toujours énervé, mais plus calme que tout à l’heure. Je toque et entre dans la pièce, je regarde rapidement, il a vraiment une tête bizarre. Il a l’air complètement shooté. Je m’assois sur un fauteuil près de la fenêtre.

Oui au faite au téléphone on m’avait pas précisé quel ami mais je ne suis pas stupide. C’est la seul personne que je connaisse à qui il arrive des trucs bizarre lorsqu’il est énervé ou autre. Je ne disais rien, je regardais dehors, j’étais inquiète tout de même quoi que il est tombé là ou ça craint le moins… la tête. Je suis méchante bref, j’étais pas seulement venue parce que l’on me la demandé mais aussi parce que c’est mon ami enfin je crois.

Toujours allongé dans un lit d’hôpital dans un état complètement comateux. C’est assez étrange, mais je me sens vachement mieux. Très détendu, mais cela n’empêche que je suis conscience malgré mon état. Des pas féminin se fit entendre, il ne ressemble pas à se que j’ai entendu en arrivant ici. Au contraire ils me sont complètement connus, je crois savoir que c’est Ayahi qui se trouve ici.

Qu’est ce qu’elle fait ici celle la ?! On se calme là haut, on sait tous les deux qu’Ayahi est une amie et pas une simple amie. On ne peut pas rêvé de mieux en amie, mais je suis peut-être aller fort tout à l’heure. Je ne sais pas moi-même pourquoi j’ai réagis de cette façon. Au fond de toi tu l’aimes ! Oui c’est vrai, mais après ça de toute façon tout est fichu. Je sens qu’elle m’en veut et pas qu’un peu.

Ayahi, je suis vraiment désolé… Pourquoi ils m’ont shooté comme ça ? Intenable ! Oh ça va toi, c’est pas de ma faute si je suis comme ça. Maintenant j’ai plus qu’attendre qu’il arrête de faire effet pour pouvoir lui parlé. Tu vas réussir à lui parler ? Je crois que les adieux, les excuses ne sont pas tes trucs ? Tu es pas censé m’aidé ? Tu m’enfonces plus qu’autre chose ? Susceptible en plus ! Attends, je t’aide… vachement, au pire tu peux te taire ça me fera beaucoup de vacance.

[Accélération]

Voilà qu’il commence à ne plus agir, enfin je reprends mes esprits. C’est mieux d’avoir les esprits clairs pour parler, même si je suis tombé sur la tête. C’est marrent mais quand il agissait, mon mal de tête a disparu mais maintenant il est revenu. Chochotte, arrête de te plaindre ! Tu te plains certainement plus que moi, alors arrête s’il te plait.

J’ouvre correctement mes yeux, les yeux bien en face des trous. Heureusement ils sont toujours dans leurs orbites.C’est mieux. Ta guxule ! Merci, tu vas me faire un bien fou. M’en fiche que tu sois vexer, tu me sers strictement à rien.

J’observe la personne qui est assis sur la chaise entrain d’observé ce qui se passe dehors. Ne sais toujours pas comment faire pour lui dire que je m’excuse. Si je m’étais pas énervé après elle, je ne serais pas ici, je me serais pas énervé, ni tombé ni rien. Je pense que je devrais après à me contrôler. D’une faible voix, je parle.

-Ayahi !

Ayahi

Je regardais dehors, on se situe dans un grand centre hospitalier. Je regarde les patients prendre l’air, certain sont en fauteuil roulants d’autres sont accompagner d’infirmier. Je laisse s’échapper un long soupir. Ça fait un bon moment que je patiente sans dire un mot, quoi que je n’ai rien a dire donc je compte pas l’ouvrir.

Le temps passe vite donc il faut bien choisir comment on occupe son temps libre. J’ai la tête remplis de tout et de rien, c’est le bordel le plus total, même ma chambre n’est pas autant en bordel et dieu seul sait comme je suis bordélique. Pendant que la belle au bois dormant était dans les vapes j’ai eu le temps de réfléchir à toute sorte de choses. Pour commencé je me suis bien calmée, je respire plus sereinement, je me sens plus détendue et puis il faut dire ce qui est vrai, je peux pas lui en vouloir plus de 10 minutes.

J’entendis un peu de mouvement dans la pièce, je n’y prêta pas plus attention que ça. C’est un petit « Ayahi » , qui me sortie de mes pensées. Je tourne simplement la tête vers le jeune homme, il semblai a peine se réveillé. Mon visage s’était adoucie et en ayant tourné la tête vers ce pauvre Jacko, un petit sourire en coin était apparu.

C’est dingue en moins de quelques seconde, j’ai réussis à devenir odieuse et à qu’il s’énerve contre moi ! Je suis vraiment trop forte… Pendant que je réfléchissais mon sourire disparue laissant place à un visage neutre. Je revins à la réalité, je repose ma tête contre le révère de ma main tout en regardant le jeune homme, je restais silencieuse. Je n’ai rien à dire, donc je ne vois pas l’intérêt de l’ouvrir.

Si j’en reviens rapidement a la question qu’il m’avait posé précédemment et bien non, même après ce qu’il c’est passé je ne dirai rien. C’est ainsi et c’est pas qu’à lui. Jamais, au grand jamais j’ouvrirais ma guxule à ce propos, quitte à perdre ceux que j’aime… et j’ai déjà perdue les personnes que j’aimais. J’ai pas envie que ça recommence c’est tout. Et puis j’ai pas à me justifier, je dirai rien c’est tout.

Elle était la, je le regarde faiblement en même temps les calmants font encore effet mais je suis encore capable de parler. Elle garde un silence, c’est assez flippant sauf pour quelqu’un comme moi. J’ai souvent l’habitude de gardé le silence, d’être tout seul.

-Ayahi, désolé pour tout…

Je m’en veux terriblement de lui avoir causé du tort. Malgré cela, son comportement était changeant. En une seconde elle peut devenir en colère, et deux secondes après redevenir calme. A vrai dire, je ne suis pas mieux voir pire avec mes tentatives de suicides à tire la rigot. Un léger sourire est apparu sur son doux visage. Elle est si magnifique, je l’aime vraiment beaucoup mais je ne pense pas que sa soit vraiment réciproque que c’est plus de l’amitié.

-Vraiment désolé…

C’est bien la première fois que je m’excuse auprès de quelqu’un, mais auprès d’Eline j’avais du mal mais je l’aurais fais…Mais pour Ayahi, je n’ai pas hésité. J’aimerais être dans sa tête pour savoir ce qu’elle pense, mais je sais qu’elle n’est pas aussi rancunière que moi. En même temps, je suis une tête de mule et elle est une tête de cochon.

-J’espère que tu ne m’en veux pas.

Pour quelqu’un de fatigué j’ai une bonne locution mais ses mes yeux qui ont beaucoup de mal à resté ouvert. Je lutte, j’ai l’habitude de lutter contre quelque chose ou quelqu’un mais pas contre Ayahi. Je la considère comme une personne que je ne pourrais pas perdre. Si je viens à la perdre, c’est la mort assuré.

Je ne comprends pas pourquoi elle refuse de me parlé d’elle, sachant que j’aimerais en savoir plus sur elle. Mais bon je pense que je ne serais jamais.

Pourquoi je reste ici ? Certainement parce qu’ils attendent encore les résultats, dans tous les cas je peux pas sortir tout seul, il faut que je sois accompagné.

Ayahi

Jack s’excusa encore et encore, se qui me faisait de plus en plus culpabiliser de rien lui dire. Comme je l’ai dis, ce n’est pas parce que je veux pas mais je ne peux pas. Si il me connaissait vraiment, je me demande parfois si les gens réagirais de la même façon avec elle. Cela me paraitrais logique mais qui c’est, je me le demande quand même .

«  Jack je ne t’en veux pas, je m’en veux à moi même pour avoir réagis ainsi ! » . De simple mots, et pourtant tête de cochon comme je suis je ne saurais les plus répéter réellement. Ça je le tiens de ma mère en revanche mon caractère lunatique est plutôt de mon père. Mais quel magnifique combo ! Je parle beaucoup de moi, bien plus que je ne le devrai vraiment…. Je regarde Jack, toujours avec ce sourire malicieux dans le coin de mes lèvres. Il y a des choses qui ne changeront jamais.

-Tu n’as rien a te faire pardonner, en revanche, excuse moi d’avoir mal réagis envers toi.

C’est presque trop facile dit comme ça, pourtant il n’y a limite aucun piège. Quand je dis aucun piège je vois par là que je m’en veux pour ma réaction mais je tiendrai ma langue tout de même. C’est un blocage que j’arrive pas à surmonter, je n’ai même pas encore fait son deuil, c’est trop difficile. Rien que d’y penser les larmes bordes mes yeux. C’est un lourd fardeau et je ne veux pas qu’il déteigne sur les autres. Je ravale rapidement ces pensées qui pour moi sont douloureuses pour ne rien laisser paraitre.

Je m’apprêtais à ajouter quelques chose lorsque la porte s’ouvrit. Une infirmière entra dans la chambre vérifia deux trois machines. Je l’avoue c’est une jolie femme, une jeune brunes sans doute nouvelle dans ce métier. Un visage doux et léger, des traits fins. En bref une fille simple et élégante, je ne m’intéressait pas spécialement à la jeune femme, je m’en fiche un peu en réalité. Je tourne de nouveau mon regard devenu neutre vers la fenêtre afin de regarder dehors. Toute cette histoire m’a fatigué, je laisse l’infirmière faire ce qu’elle a à faire sans dire un mot.

Tu n’as rien a te faire pardonner, en revanche, excuse moi d’avoir mal réagis envers toi.

Toujours entrain de m’excusé auprès d’elle, en même temps je m’en veux de la faire souffrir. Je suis souvent entrain de faire du mal à tout le monde même aux personnes que j’aime. Je n’ai pas envie de lui faire ça mais je n’y arrive pas. Je ne sais pas comment elle fait pour rester avec moi

Bon un silence s’installe jusqu’à ce qu’une infirmière rentre dans la chambre. Oh j’espère que je vais sortir sans aucun problème. De toute façon je me sens beaucoup mieux. Mais ce ne fut pas le cas, elle est la pour me posé des questions… Je repense à mes cicatrices, surement à cause de ça.

-J’ai quelques questions à vous posez. J’aimerais savoir d’où viennent tous ses cicatrices ? Et celle sur votre torse ?

Elle aurait pue posé une autre question mais faut croire que non. Je ne veux pas répondre, mais elle insiste. Mais elle ne sait pas à quoi elle se risque.

-Je veux pas en parler…

Mais elle voulut voir ma cicatrice pour être sur qu’il n’ya rien. Ma cicatrice part de la poitrine jusqu’au nombril. J’en ai honte, et je pense que de la place à Ayahi on peut la voir. L’infirmière insiste, et je finis par m’énervé après elle. Elle prit une sacré gifle quand je me suis redresser. Je me lève du lit et me rhabille, peu importe qu’Ayahi soit dans la même pièce.

J’attrape mes quelques affaires et commence à partir d’un pas rapide. La sécurité avait déjà été prévenue, je veux ne pas me retrouver coincé, mais je n’aime pas qu’on insiste comme ça. Dans tout ça je n’ai pas fais attention à Ayahi qui est restée dans la pièce.

Je suis perdu, j'ai peur d'être toujours rejeter par les autres, peur de leurs regards, peur de tout. Au plus profond de moi, je ne suis pas quelqu'un de courageux. Je vis très mal tous mes problèmes, il y a pire que moi mais je n'ai pas le courage de me battre réellement.