Tu n'oserais pas tout de même [Prudence et Bastien]

.Bastien.

Pour fuir l'oppression des gens de la fête, on était arrivé dans le dortoir des filles. Je sentais Prudence quelque peut fatiguée et surtout c'était le seul endroit tranquille que je connaisse. C'est donc main dans la main qu'on arrivait devant la porte de la chambre de Prudence. Je regardai la jeune fille manipuler ses clés pour ouvrir la porte. Elle était tellement jolie. On dirait une déesse, ou une danseuse étoile. Bastien ? Quoi encore ?! Calmate. Oui, oh, tu es vraiment pénible. Je passai une main dans mes cheveux et dis alors a la jeune fille avec un petit sourire très léger :

- C'est donc maintenant qu’on se quitte, non ? À moins que... Tu veuille qu'on discute un peu dans ta chambre, comme tu veux. Sinon je peux très bien retourner dans la mienne, il n'y a pas de soucis .

Prudence.

Nous étions donc arriver, main dans la main jusqu'à la porte de ma chambre. Il ne semblait pas y avoir ma coloc, elle devait sûrement être au bal. Une fois devant la porte, Bastien supposait donc qu'on allait se quitter maintenant, ou alors il me proposait de discuter dans ma chambre. J'aimerais discuter, il n'est que 21h.. Je souriais à Bastien, et lui répondis.

- Nan, viens j'ai pas envie d'être déjà seule. disais-je amicalement.

Je le laissais donc entrer et partis m'asseoir sur mon lit. Je sais pas de quoi on allait parler, sincèrement!

.Bastien.

Bravo elle t'a laisser entrer maintenant il va falloir que tu trouve des sujets de conversation mon grand. Oui je sais, je sais je me débrouille pour cela. Elle c'était assise sur son lit. Je regardai rapidement la chambre avant de m'asseoir à coter d'elle. Bon commençons par parler de sa situation pour faire un petit lien avec le bal après.... Après quoi ? Ba après... Mouai. Becarful ! Yes i am. So. J'ai dis premier sujet, le bal. Enfin les garçons qui la harcèle plutôt. Je sais que c'était un sujet de conversation pas super mais il fallait que je sache.

- Le fait que tu te face harceler par les garçons, c'est toujours comme cela et tout le temps ?

Prudence.

Je ne savais pas quoi dire à présent.. Je ne suis pas non plus la reine pour engager la conversation. Je lui souriais, tout bêtement. Mais heureusement, il engagea la conversation.

- Le fait que tu te face harceler par les garçons, c'est toujours comme cela et tout le temps ?

Ha, une question qui m'a déjà été assez posée.

- Ouai, mais j'ai l'habitude, tu sais, à force. disais-je toujours aussi calmement.

Soudainement, un flash back me revint en tête; le sourire malicieux de Bastien. Dommage pour lui, mais je vais relancer le sujet là dessus.

- Dis, tu n'as toujours pas répondu à ma question.. Pourquoi t'a fais un sourire malicieux tantôt?

.Bastien.

C'était donc comme cela et elle n'y pouvais rien. La pauvre, elle doit tout de même en avoir mare à la fin non ? Je sais pas, tu peux pas vivre constamment harceler par d'autres personnes, ce n'est pas possible. Pauvres personnes célèbres, ils avaient vraiment pas la vie facile et je les plaignais. J'aimerai vraiment pas être a leur place. Tu veux juste travailler dans un métier que tu affectionne et e voilà harceler par des centaines de gens juste parce que tu es célèbre. Sérieusement c'est pathétique. Son petit changement de sujet ne me plaisait pas beaucoup et me prit de court. Revenons en à ce que je disais.

- Certes tu en as l'habitude mais tout de même, tu dois en avoir mare à force non ?

Prudence.

- Certes tu en as l'habitude mais tout de même, tu dois en avoir mare à force non ?

Et hop, il ignorait ma question. Ca m'avait pas du tout plu, sincèrement. Je le regardais, stupéfaite. J'étais vraiment vexée. Je soupirais. Mais j'allais tout de même lui répondre. Je lui répondis sur un ton froid et dur, donc :

- Oui j'en ai vraiment marre à force.

Je voulais qu'il voit que ça ne m'avait pas plu et surtout qu'il me dise la vérité.

.Bastien.

Ou ! Mademoiselle est susceptible on dirait. J'avais vraiment pas envie de retrouver en elle Alice sérieux. Mais je pouvais pas la laisser comme cela juste parce que elle ressemblait un peut a mon ex. Au moins... pourquoi je me mets a penser à cela moi... Bref. Tu veux que je réponde a ta question ? Très bien mademoiselle capricieuse mais si belle.

- Pourquoi ce sourire ? Et bien tout simplement a l'idée qu'on pourrait passer un peut de temps ensemble, rien que tout les deux dans un coin tranquille c'est tout.

Prudence.

- Pourquoi ce sourire ? Et bien tout simplement a l'idée qu'on pourrait passer un peut de temps ensemble, rien que tout les deux dans un coin tranquille c'est tout.

Je le regardais, dans les yeux. Ha, ok, je vois. Je baissais les yeux, je crois que j'avais un peu été gamine et capricieuse sur ce coup-là. Je suis désolée, Bastien ! Je relevais ensuite mes yeux vers lui, et lui souriais donc pour détendre la situation.

- Ah, okay. Désolé.

.Bastien.

Bon au moins elle c'était détendue et m'avais crue. Temps mieux car je n'avais pas d'autre arguments en tête a part la vraie de vraie raison mais vous verrez cela plus tard. Bon sujet de conversation suivante... Heu et bien... Qu'est ce qui peut me venir à l'esprit... Ah si !

- Pas grave t'inquiète pas. J'ai bien résister au caractère tremper de mon ex et je peux te dire que c'était vraiment une fille dans son genre celle la. Encore plus têtu que toi je pense

Prudence Laurence.

- Pas grave t'inquiète pas. J'ai bien résister au caractère tremper de mon ex et je peux te dire que c'était vraiment une fille dans son genre celle la. Encore plus têtu que toi je pense.

Son ex avait donc un caractère bien trempé? Et le caprice était plus intense que chez moi. Ouh, je n'imaginais pas du tout Bastien avec ce genre de filles. Je le regardais, un peu stupéfaite.

- Ha bon! Et ben.. disais-je avec un sourire.

Et maintenant, que fait-on? Je le regardais et pris sa main.

.Bastien.

Oui et ben, surtout quand on sait que c'est Alice Street, la fille sur qui pleins de bruits court. J'avais vraiment le don pour les chopper. Au dis pas ça ! Regarde Prudence elle est super sympa et en plus connue. Oui mais c'est le autres cxns qui m'énerve. Et ba tu les enmmxrde et puis voilà ! Ouai j'avoue. C'est vrai que j'avais de la chance. Bon ne tergiversons pas la dessus. Elle me prit la main. Je me rapprochai un peu d' elle et la regardai. Et comme pousser par une folle envie, je l'embrassais. Pas un baiser léger, un vrai baiser.

Prudence.

On ne dit plus rien ensuite, et je crois que j'allais rien dire non plus. Je regardais simplement Bastien, yeux dans les yeux, à nouveau hypnotisée. Il était d'une beauté incontestable. Soudainement, il se rapprochait de moi et m'embrassait. Cette fois-ci c'était un baiser langoureux, remplit de passion. Ce que j'appelle un vrai baiser. A mon tour, je me rapprochais de Bastien et décidais de prolonger le baiser, tout aussi langoureusement, l'enlaçant de mes bras.

.Bastien.

À ! Elle aussi était partie la dedans ? Je vois que mon idée n'était pas si mal après tout. Heu Bastien, tu m'inquiète la. À bon pourquoi ? Ba on dirais que tu la désire tellement que tu pourrais lui sauter dessus à tout moment. C'est vrai, il faut que je calme mes ardeurs quelque peut. Mais elle a une peau si douce et des lèvres si délicates. Je l'avais enlacé moi aussi et continuai d'échanger avec elle des baisais langoureux. Je n'avais jamais fait ça avec Alice, jamais avec la même passion, la même ardeur.

Prudence.

Bastien m'enlaçait aussi de ses bas autours de ma taille. Je voulus encore plus me rapprocher de lui, mais c'était impossible, on était déjà collés l'un à l'autre. Il me rendit encore mon baiser, et dans l'ivresse je le lui rendis encore. Je m'arrêta un instant et lui souriais tendrement. Je le regardais, le dévorant du regard. Il était magnifique. Le touché de ses lèvres était juste magique et me procurait une sensation qui m'avait été inconnue auparavant. Je ne pouvais donc m'empêcher de l'embrasser à nouveau, toujours aussi langoureusement.

.Bastien.

Je n'osai pas aller plus loin que d'échanger des baisés avec elle. À sage décision ! Oui c'est bon toi la haut. Bon donc. Après avoir échanger encore quelques baisés, je décidais d'arrêter. Je regardai la jeune femme et remis une de ses mèches de cheveux en place. Non pas plus pour cette fois la. C'était trop tôt, beaucoup trop tôt. Sinon j'allais faire sérieusement des bêtises et j'étais pas bête jusqu'à ce point la. Je lui souris avant de lui dire :

- Tu es tellement différente de mon ex. Ça me change beaucoup mais de façon positive je pense. Tu es si belle mon ange.

Prudence.

Bastien, après avoir échangé encore quelques baisers, s'arrêta. Et ben.. wouaw. On en avait échangés quand même quelques uns. Ouh. Bon, je reviens à moi-même. Tout va bien. Je ne rêve pas quand même? Non, tu ne rêves pas, ma chère Prudence.

- Tu es tellement différente de mon ex. Ça me change beaucoup mais de façon positive je pense. Tu es si belle mon ange.

Je souriais à sa phrase. J'étais alors heureuse pour lui qu'il avait eu un changement positif. C'était de même pour moi.

- Toi aussi tu sais. Et toi tu es si beau. disais-je calmement.

Ensuite, je décidais de m'allonger sur mon lit, un peu épuisée.

[center].Bastien.

Je souris a la jeune femme. Bon sur un point elle ressemblait a Alice : elle manquait de conversation et c'était toujours a moi de la relancer. Puis je la vis s'allonger sur son lit. Je souris. Il aurait fallut faire un seul geste mais je me retient de le faire. Non pas ce soir, retiens toi un peu.

- Déjà fatiguée ma petite Prudence ?

J'avançais à quatre pattes au dessus d'elle jusqu'à me retrouver complètement au dessus d'elle. Je l'embrassais sur le front avant de m'écrouler a coter d'elle. Moi aussi a vrai dire j'avais besoin de me reposer. Car en France, j'avais fait que de m'entraîner avec mes potes au basket et au hand pour tuer le temps. Maintenant je ressentais les effets de cet entraînement intensif et c'était assez bizarre [/i]

Prudence.

- Déjà fatiguée ma petite Prudence ?

Sa phrase me décrocha un sourire, à nouveau. Après qu'il soit venu au dessus de moi pour m'embrasser sur le front, je lui répondis, me mettant face à lui.

- Oui, exactement! Toi aussi, on dirait. Tiens, ça été au basket?

demandais-je avec un charmant sourire.
Si ça tombe, il était fatigué avec un entraînement. Et j'voulais savoir si ça s'était tout de même bien passé!

.Bastien.

Elle avait du voir ma fatigue car elle ne pouvait pas savoir. Elle savait que je faisais du basket car je jouai dans la même équipe que son frère au lycée, ici quoi. Mais après sinon elle lisait dans mes pensées, ce n'était pas possible.

- Ouai, je me suis beaucoup entraîner avec les potes en France pendant les quelques dernières semaines pour tuer le temps. Du coup j'ai beaucoup dépenser mais je pense que mes efforts ne seront pas vains car je me suis vraiment entraîner à font pour parfaire mon lancer. On verra bien au prochain match, la semaine prochaine.

Prude.

J'écoutais attentivement Bastien. Et bien il est vraiment quelqu'un de courageux! Quand même je ne serais pas autant me dépenser. Je souriais, encore une fois. Je lui disais vraiment bravo. C'est mon basketteur préfère!

- Et bien, Bastien, tu m'epates.

En lui disant cela, je lui pris la main et le regardais dans les yeux. Je l'aimais tellement.. Je crois que c'était le plus beau jour de la vie. Je me rapprochais de lui, ne le quittant pas des yeux.

.Bastien.

Autant d'acharnement pour un sport, c'est vrai que j'étais assez impressionnant, mes potes me le disait souvent. Mais c'était ma passion donc je le faisais assez souvent pour me donner toutes les chances de réussir et d'atteindre la perfection. Perfection, voilà un mot que j'adorais. Perfection. Ce mot si simple qui portant est si dur à atteindre. Je la sentis se rapprocher. Je la regardai. Non n'essaye même pas, c'est pas la peine. Mais eux conscience, je n'ai encore rien fait pour l'instant. Oui mais je te connais. T'es pas drôle. Je caressait le visage de Prudence et lui demandai :

- Tu fais quoi pendant les vacances de Noël ?

Prudence.

Je souriais à Bastien quand il me caressa le visage. Ensuite, il me demanda;

- Tu fais quoi pendant les vacances de Noël ?

Alors..là. Il faut voir, si mon frère a un emploi du temps chargé, je l'accompagnerais sûrement. Après, je ne sais pas. Je souriais à nouveau et répondis à Bastien;

- Et bien, il faut voir. Si Gabriel a un emploi du temps, je le rejoindrais sûrement pour l'assister. Après, je ne sais pas. Et toi?

.Bastien.

Accompagner son frère sur les tournages, ça doit être quelque chose. Au moins elle savait comment un film se faisait, et toutes ces choses que nous ne savons pas. Ça devait vraiment être super de pouvoir voir tout cela. De pouvoir être au cœur de se gros business. Mais après voilà les frais qu'elle en retire : du harcèlement de la par des mecs. Super alors que ce n'est même pas elle la star mais son frère. Je la plaignais sérieusement. Ce que j'allais faire pendant mes vacances ? Heu...

- Ba de mémoire, mes parents, une amie et moi, on part au ski dans les alpes pendant une semaine et l'autre semaine, ba ça sera entraînement avec mes potes. Voilà.

Prudence.

- Ba de mémoire, mes parents, une amie et moi, on part au ski dans les alpes pendant une semaine et l'autre semaine, ba ça sera entraînement avec mes potes. Voilà.

Ha, ok. C'est cool de partir au ski avec ses parents et une amie! J'aimerais tant vouloi faire ça en famille, et tout.. Je n'en avais pas eu vraiment l'occasio, sauf quand j'étais très petite.

- C'est génial!

Je souriais et caressais sa main.

.Bastien.

Oui j'avoue, en tout cas j'allais passer de bonnes vacances, ça c'est sur. En plus j'adore le ski, glisser sur la neige a fond et dévaler les pistes noires et avoir mal au jambe le soir. Enfin bref. J'allais pas non plus faire un roman sur mes vacances au ski. Je savais que tout était aller trop vite avec elle. Beaucoup trop vite. Mais on va dire que c'est ça les coups de foudre. Ça ne se prévoit pas et on ne peut pas l'ignorer. C'est comme ça. Après ça fait partie intégrante de soit et on laisse se sentiment nous envahir. Je me blottis contre Prudence et fermai les yeux avec un sourire et lui dis :

- Bonne nuit.

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Tu n'oserais pas tout de même [Prudence et Bastien]

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