Prudence.

J'trouvais ça tout de même zarbi que je me retrouve dans ma chambre avec ma Bastien. C'est bon, il n'y a rien de mal. Mais c'est pas ça qui me perturbe, c'est le fait que tout est allé vite comme cela. Enfin, le coup de foudre.. moi qui doutait sur son existance.

Bref, se blotissant contre moi, Bastien me souhaita une bonne nuit. Ha euh, il compte dormir ici? Ha! Non, mais fallait t'en douter Prudence. T'a bien fermé la porte à clef? Heu.. je peux pas, car j'ai une coloc, qui.. Oh merde.. Je regardais Bastien, et rougissant je lui dis;

- Oui, bonne nuit.

Je fermais les yeux, espérant que Nolwenn ira dormir chez une amie où qu'elle se retrouverait dans le même cas que moi..

[b].Bastien.[/i]

Tu le prends comme cela ? Moi j'aurais penser qu'elle allait virer tout simplement. Bon ba si je peux dormir icî attends que j'ôte ma chemise avant de la froisser de trop et de l'abîmer. Je me redressai alors et déboutonna ma chemise avant de la poser par terre, révélant ainsi tout ma musculature acquise pendant des heures d'entraînement. Puis je me rallongeai aussitôt près de Prudence, retrouvai ma position et fermai les yeux. Ah un peu de calme, ça fait du bien parfois. J'avais la tête en compte avec tout ses cris et la musique a fond dans la salle de bal. J'aurais tout de même bien fait la fête pendant toute la nuit mais j'étais bien mieux ici, au chaud avec Prudence.

Prudence.

Je réeouvris les yeux, entendant Bastien se lever. Quand j'ouvris les yeux, je le vis déboutonner sa chemise pour enfin être torse nu. Oh, bah.. Wouaw. Ce qu'il est encore plus beau en torse nu! Mais, je détourna le regard autre part, ne voulant pas faire la matteuse. Ensuite, il vint se coucher à mes côtés. Là, je le regardais, puis je fermais mes yeux.
Mais.. le sourire malicieux de Bastien me revint en tête. Bien qu'il m'avait donné une explication valable, je n'arrivais pas à entièrement l'avaler.. Etant pensive comme cela, je n'arrivais pas à trouver sommeil. Je réeouvris donc les yeux, regardant la chambre.

.Bastien

J'ouvris un oeil et vit que Prudence n'arrivait pas a dormir. Elle observait le plafond, pensive. Bon c'était le bon moment je pense. Non, tu n'oserais pas tout de même ?! Et ba si, j'aime prendre des risques et regarde, je vais très bien m'en sortir comme... Mouai mais tout de même, si elle n'est pas d'accord, tu seras feinter. Oh t'inquiète, je suis sur qu'elle le voudra. Dis moi Bastien, tu as grandis dans ta tête depuis que tu es ici, avant toucher une fille, jamais, mais maintenant c'est vas y franco ! Oui c'est bon je sais, c'est la vie je fais ce que je veux. J'ouvris les deux yeux et embrassai Prudence sur la joue avant de lui demandai :

- Tu n'arrive pas a dormir mon ange ?

Prudence.

Alors que je regardais le plafond, fatiguée mais éveillée, je fus saisie par la question de Bastien. Oh, calme, Prude, ce n'est que Bastien. Il m'embrassait sur la joue, donc. Je lui souriais gentiment et répondis dans un murmure pour ne pas faire de bruits :

- Nan, pas vraiment..

J'avais juste pleins de questions qui hantaient ma tête à propos de Bastien, mais aussi son sourire malicieux. Et trouver les réponses m'étaient bien évidemment impossible. Je ne le quittais pas des yeux, toujours un sourire aux lèvres.

.Bastien.

Bon elle n'arrivait pas a dormir. Temps mieux. Non Bastien on !! Arrête tout de suite tes cxnneries. J'embrassai la jeune femme et pousser, par des pulsion incontrôlable, je commençais a passer au dessus d'elle tout en continuant de l'embrasser langoureusement. Non Bastien arrête tout de suite. M'en fou, je ne t'entends plus. Bastien ! Non !! Trop tard, je suis au dessus d'elle maintenant. T'es vraiment trop cxn comme mec, tu m'énerve. M'en fiche. Mais je te dis d'arrêter des maintenant avant que cela ne dégénère de trop. Quoi ! Je ne fais que de l'embrasser la ! Oui ba je te connais, je suis sur que si tu continue tu iras plus loin. Au tais toi ! Laisse moi !

Prudence.

Bastien ne dit plus rien après que je lui ai répondu, mais soudainement il passa au dessus de moi et commençais à m'embrasser.. plutôt langoureusement. Bon, pour l'instant ce ne sont que des baisers, bien entendu. Mais, il est sûr que je n'irais jamais plus loin. Mais il faut qu'il comprenne qu'on s'en arrête là. Le fait qu'on s'embrasse ainsi ne me déplaît pas, mais après, je ne veux pas aller plus loin. A mon tour, je l'embrassais langoureusement. Prudence, tu te fous de ma gueule? C'est pas comme ça que tu lui montreras que tu ne veux pas aller plus loin, hein. Oui, mais j'adore quand on s'embrasse. Il embrasse si bien.. Oui, mais ça pourrait terminer en conneries tout ça. Pas grave, je lui foutrais une claque s'il ose aller plus loin que ça. Je maîtrise, je maîtrise.

.Bastien.

Bastien !! Quoi ? Laisse la maintenant ! Non ! Si ! Sinon je t'en fou une ! Tu peux pas ! Bien sur que je peux ! Non tu peux pas ! Fait gaffe, je vais m'énerver. Ba vas y énerve toi sur moi ! J'avais échangé encore plusieurs baisés avec Prudence quand je sentis un mal de tête se former brutalement. Aie ! Je t'avais dis de ne pas m'énerver. Ok j'arrête, encore un ou deux et j'arrête. Je te surveille mon petit Bastien, fait gaffe car j'irai plus fort la prochaine fois. Comment est-ce qu'une conscience peut me donner un coup ? C'était juste impossible. On va dire que c'était la fatigue et le bruit. Mais promis j'arrête. J'echangeai encore un ou deux baisés avant de céder et de me rallonger sur le coter. C'est bien mon petit Bastien. Je caressai le bras de Prudence, sans rien dire, fixant du regard son épaule. Tout de même, comment ma consience peut elle me faire mal ?

Prudence.

Après avoir échangé encore beaucoup de baiser langoureux, Bastien cessa et se rallongea à mes côtés. Il commença à me caresser le bras, fixant mon épaule. Je souriais. Quand même, ça m'avait un peu plut.. si on en restait jusqu'à là, y'avait pas de problèmes. Bref. Je me retourna vers Bastien et m'en rapprocha. Je lui attrapa la main avec laquelle il me caressait le bras et la tenu dans la mienne. Je l'embrassais à nouveau, faut dire langoureusement et souriais par la suite.
Eh, Prudence. Ouai? Le sourire malicieux. Oh putain.. Soudainement, je me relevais du lit, comme stupéfaite. Me dis pas que ? Que ce sourire malicieux était pour ce qu'il venait de faire, quand même ? Je n'y crois pas, non..

.Bastien.

Je la laissais faire, perdu dans mes pensées qui avaient dérivés ailleurs, bien loin d'ici. Soudain, lorsque je la vis se lever précipitamment, cela me sortis de mes pensées. Quoi, qu'est ce qui se passe ? Je me levai a mon tour et la regardai, puis cherchant quelque chose des yeux, ce qui aurait bien pus lui faire peur. Le lui demandai alors sérieusement :

- Quoi ? Qu'est ce qui ce passe ? Une araignée ?

Je savais que certaines filles avaient horreur des araignées et des qu'elles en voyaient une, elle s'en allait rapidement de la. Mais je ne vis pas l'araignée sur le lit ni sur le mur. Je regardai donc Prudence, incrédule et innocemment.

Prudence.

Je pouvais vraiment pas y croire. Quel con, ma foi ! Comment j'ai pu être aussi naïve.. J'suis sûr qu'il a fait ça pour aller, après, ranconter à ses potes qu'il m'a fait ça.

- Quoi ? Qu'est ce qui ce passe ? Une araignée ?

Il se fout littéralement de moi, là, où j'hallucine? En plus avec son regard complètement innocent, là! Je le regardais, et d'une voix cassée et dur, je lui dis:

- Sors de ma chambre. Tout de suite.

Je voulais bien, je l'aimais, moi. Mais si c'est pour m'utiliser, m'utiliser pour ça, il peut me dire au revoir. Voilà, moi qui croyait qu'il n'était pas comme tout les autres mecs, j'me suis encore bien trompée. Bravo à moi et ma naiveté intense. Il faut que j'apprene à ne pas être aussi naïve. Bien que tout cela était de ma faute, j'étais énervée contre Bastien et très vexée.

.Bastien.

Je restais stupéfait face au spectacle qui s'offrait a moi. Qu'avais-je fais ? Je te l'avais bien dit que tu faisais d'énorme cxnneries. Oui je sais que tu me l'avais dis mais tout de même, elle ne croyait pas a ma sincérité ? Oh je suis sur qu'elle pense que je l'ai draguée juste pour coucher avec elle. Mais quel imbécile parfois je fais parfois. Je mis ma main sur mon visage avant de la regarder et de lui dire :

- Prudence, je suis désoler, je ne voulais pas te vexer. Je te jure, sur la vie de ma mère, que je t'aime sérieusement et que je n'avais pas de mauvaises intentions. Si tu m'aime un peu, crois moi, s'il te plais. Mais si a présent tu me déteste totalement, et bien dis le moi et je sortirai sans un mot.

Prudence.

- Prudence, je suis désoler, je ne voulais pas te vexer. Je te jure, sur la vie de ma mère, que je t'aime sérieusement et que je n'avais pas de mauvaises intentions. Si tu m'aime un peu, crois moi, s'il te plais. Mais si a présent tu me déteste totalement, et bien dis le moi et je sortirai sans un mot.

Le choix était vraiment difficile. Pourquoi n'a-t-il pas plus réfléchis? Pourquoi? Je le regardais, une larme à l'oeil. Il faut que j'arrête de m'emporter ainsi, les mecs ne sont pas tous les même. Et, comme il le dit, si je l'aime je dois le croire. Et j'veux qu'il reste ici. Je le regardais, dans les yeux. Et, soudainement je m'em approcha et l'embrassais. Comme pour lui faire parvenir qu'on oubliait ça, et que je m'excusais. C'est des fois plus facile de faire transmettre nos mots en gestes. Une fois que j'eus finis de l'embrasser, je le regardais, et la voix un peu fragile je lui dis:

- Comment pourrais-je te détester?

.Bastien.

Prudence parus me croire vraiment. Mai c'était la stricte vérité. Elle m'embrassa et je le lui rendus. Puis elle me demanda comment elle pouvait me détester. Je souris faiblement avant de réfléchir pour lui donner un réponse :

- Parce que je suis le dernier des imbéciles et que je fais tout de travers et trop vite, surtout avec les filles. Je n'ai jamais était doué avec les filles. J'ai abandonner mon ex car je m'étais rendu compte que j'y étais aller trop vite encore une fois et qu'en faite, elle était beaucoup trop différente de moi. Enfin bref, il y a pleins de raisons pour me détester.

Prudence.

- Parce que je suis le dernier des imbéciles et que je fais tout de travers et trop vite, surtout avec les filles. Je n'ai jamais était doué avec les filles. J'ai abandonner mon ex car je m'étais rendu compte que j'y étais aller trop vite encore une fois et qu'en faite, elle était beaucoup trop différente de moi. Enfin bref, il y a pleins de raisons pour me détester.

Bastien n'était pas un imbécile comme il le disait à mes yeux. Comment pouvait-il dire cela.. On fait tous des erreurs, c'est humain. Et, bon, je fais quand même confiance à Bastien. Mais bon, je dois quand même me méfier, c'est tout. Je le regardais et haussais les yeux au ciel en souriant. Je pris sa main et lui répondu cela, calmement :

- Tu n'es pas un imbécie mon coeur. On fait tous des erreurs.

.Bastien.

Ba il faut croire que j'en fait plus que tout le monde réunit. Même la je fais une bêtise monumentale... Ba oui mon petit Bastien, c'est ce que je te répète tout le temps : tu ne fais que des bêtises. Heureusement que je suis la pour t'arrêter. Oui et je t'en remercie conscience. À enfin un peut de reconnaissance. C'est bon, la ramène pas de trop. Oui oh ! Bon réponds a Prudence avant qu'elle ne d'impatiente en ce demandant a quoi tu réfléchis. Oui j'arrive, je vais répondre.

- Si tu le dis.

Prudence.

"Si tu le dis", wouaw, c'est si charmant à entendre, sincèrement. Je le regardais et soupirais profondément. Ok, il avait fait une erreur, et d'ailleurs dès le premier jour, mais bon, c'est oublié, maintenant. Et je l'aimais déjà beaucoup, je ne pouvais pas déjà le laisser tomber. Je le regardais et repartis rejoindre mon lit. Je disais;

- Arrête d'être aussi désespérant!

J'avais dis cela d'un ton amical. Tapotant à côté de moi sur le lit, je lui demanda;

- Tu viens?

.Bastien.

- J'arrive.

Oui je sais que j'étais désespérant parfois, c'était dans ma nature pratiquement. Je la rejoignis sur le lit et la regardai. Je sentais tout de même que je n'allais pas pouvoir dormir ici malgré que je le veuille vraiment. Une fois qu'elle sera endormis, je pense que je rejoingnerai ma chambre sans bruit. Enfin je sais pas, je verrais. Après tout, on est le soir du bal de Noël non ? Je caressai le bras de Prudence, ne sachant pas quoi faire en ce moment. Je réfléchissais à ce que je pourrais bien lui raconter mais j'avais pas trop d'idée.

Prudence.

Bastien se bougea donc et venu s'asseoir à mes côtés. Il me regardait, tout en me caressant le bras. Je lui souris, mais je ne savais pas trop quoi dire. Lui non plus, je pense. J'étais fatiguée, en plus, alors mes réserves de sujets de conversations c'tait encore pire! Bon, j'avais quand même trouvé. D'un ton amical, je lui demanda;

- Sinon ça fait depuis quand que t'es en Amérique?

.Bastien.

Ah enfin un sujet de conversation, merci Prudence. Depuis quand j'étais la ? Ba depuis le début de l'année pas avant. Je suis français à la base, un pur français, et parisien de surcroît ! Mon père est parisien et ma mère est normande, donc de pures origines françaises. Je la sentais fatiguée aussi je répondis rapidement a sa question :

[i]- Depuis le début de l'année, pas avant car j'habite a Paris normalement. Mais je te sens fatiguée. Tu veux dormir ?

Prudence.

- Depuis le début de l'année, pas avant car j'habite a Paris normalement. Mais je te sens fatiguée. Tu veux dormir ?

Un Parisien, donc! Il venait carrément de Paris. C'était génial ça! Paris, je trouvais ça beau. J'y avais déjà été il y'a 3 ans, pour un tournage pour mon frère. Et j'avais vraiment bien aimé. Bref, Bastien me demanda si je voulais dormir. J'voulais bien, j'étais quand même crevée. Je souriais et lui répondis tout doucement:

- Je vois! Hum.. oui, je veux bien.. Mais tu restes près de moi, hein?

.Bastien.

La jeune fille voulait donc bien dormir comme je le pensais. Je lui promis de rester la, continuant de réfléchir à ou j'allais dormir. Je la regardai s'endormir peu à peu, n'osant pas trop la toucher pour respecter son sommeil. J'avais éteint la lumière juste avant et on c'était donc retrouver dans le noir. Seule sa respiration m'indiquait de sa présence et je l'imaginais nettement entrain de dormir. Moi aussi peut être que je devrais dormir mais pour l'instant je n'arrivai pas a trouver le sommeil, me disant que je faisais une énorme bêtise.

.Bastien.

Alors que j'essayai de trouver le sommeil, j'entendis Prudence de réveiller en sursaut et crier. Je me relevai moi aussi et commença a lui caresser le dos doucement. Elle tourna alors vers moi ses yeux affolés. Elle avait rêver de quelques chose d'effrayant pour elle je suppose. Je lui dis alors tout ba que ce n'était qu'un rêve pour la calmer. Elle me demanda soudain si j'avais un secret. Non je n'ai pas de secret. Menteur ! Au tais toi ! Je t'ai pas sonner. Et de toute façon je ne peux pas lui dire.

- Non je n'ai pas de secret. Pourquoi cette question. ?