Je suis Nika, Nika Starkov retient le bien tu risques de devoir le prononcer. Attention ne le prononce pas trop souvent, je veux pas qu'il soit user ! Je m'aime, je suis beau, bien foutu narcissique ? Oui, je l'avoue mais ça ne me dérange pas je suis parfait. Je sais très bien que sa déplait a beaucoup mais ils ne savent pas ce qu'il loupe.

Je venais de quitté miss Elizabeth, un pure canon mais elle ne m'arrive pas ala cheville. Je suis tellement splendide, magnifique avec ma tête d'ange démoniaque. J'ai du faire un acte avec le diable... Donc je reprends, j'avance d'un pas tranquille vers le dortoir. Je partage ma chambre avec un mec , je le connais pas mais j'en ai rien a faire.

Je ne sais pas encore que je vais avoir une nouvelle mais pas une bonne. Avec ma clé j'ouvre k
La porte. Elle s'ouvre tranquillement, et regarde purement j'aperçois quelque chose des plus étranges. La chambre complètement ravager, un rat me passe entre les jambes. J'eu le droit un sursaut, j'entre.

La porte reste ouverte, il fait noir. En allumant la lumière un horreur m'apparut. On peut croire que j'ai peur des araignées ou des rats en vie mais aussi mort mais non... Tout est détruit mais le pire c'est mes vêtements, une photo de moi tacher de sang. Alors la c'est s'en prendre physiquement à moi. Celui qui a fais sa veut vraiment mourir, je veux lui faire la peau.

J'ai approche du lit en essayant de na pas toucher aux rats, c'est tellement dégelasse... Je suis hors de moi, j'ai horreur de sa mais je crois que je me démonterais jamais... Faut que je trouve un autre endroit ou dormir. Un reflet m'attire l'oeil, en m'approchant je vis un miroir briser en plusieurs morceau. Mon visage se reflète dans celui ci, il est aussi abîmer, je me suis retirer afin de ne pas voir mon visage. Des araignées cavalaient de partout. Si j'avais eu une bombe contre ses bestioles il y aurait plus rien.

Un mot, en lisant je vis un S a la fin. S, S, S mais c'est l'autre grog*asse de la dernière fois. Je vais lui faire la peau a elle.

Pour le bien de S et le respect de sa personne, il y a environ une heure, j'ai dû aider à saccager la chambre que je partage avec ce connard de Nika Starkov. On ne se croise que très rarement, et c'est largement suffisant ainsi. Il a osé s'en prendre à S. Il n'aurait pas dû. Je pense que c'est la dernière fois qu'il agit sans réfléchir. Ou alors, c'est qu'il est encore plus crétin que je ne le pensais.

Comme tous les jours à cette heure-ci, je monte jusqu'à la chambre innocemment, comme si de rien n'était. La porte est entrouverte, Nika est sûrement à l'intérieur. J'ai hâte de voir sa réaction. Pour ma part, je me fiche des couteaux, des rats, et des dizaines d'araignées qui grouillent dans la pièce. Rien de tout ceci ne m'est destiné. S'il le faut, j'irai dormir ailleurs en attendant les réparations ; ça m'évitera au passage de me coltiner la sale tronche de Narcisse au réveil et au coucher pendant quelques jours.

Un rat sort dans le couloir et se faufile entre mes jambes, avant de disparaitre quelques mètres plus loin. Je fais alors ressortir mes meilleurs talents d'acteur et laisse dessiner un sentiment d'effroi et de dégoût sur mon visage alors que je passe le pas de la porte.

- Woh merde, je lâche en me masquant le nez et la bouche d'une main. Qu'est-ce qu'il s'est passé ici ?

J'ai beau paraitre répugné et terrifié par la scène qui se présente en face de moi, au fond je suis terriblement fier du résultat. Il faut dire que S ne fait pas dans la demi-mesure, ahah.

Je suis assez en colère de voir ma chambre dans cet état, c’est immonde de faire ça sachant que je n’ai rien à me reprocher … ou peut-être juste l’histoire avec Elisabeth d’après le panneau d’affichage. Et puis il y a cette mystérieuse personne qui se fait appeler S qui écrit aussi le panneau d’affichage. Le jour où je sais qui c’est, je lui fais la peau. La porte est restée ouverte, puis j’entends une voix.

Je me retourne et découvre la tête horrifié de mon colocataire. On se connait pas vraiment et puis c’est surtout qu’on se croise juste au matin, le soir et encore quand je viens dormir dans ma chambre. Je passe la plus part de mon temps en dehors de l’établissement, j’aime bien les bars…. Pauvre chochotte, il se sent obliger de masqué sa bouche et son nez.

Woh merde. Qu'est-ce qu'il s'est passé ici ?

Je failli lui répondre d’une façon des plus agréable, mais je m’abstiens ou je fis ça plus calmement …

-J’ai vachement l’air de savoir mon cher … Et puis c’est bon, tu vas mourir, débouche toi le nez mademoiselle…

Je fis un sourire assez moqueur sans l’être, je suis assez particulier dans mon genre… Mais cette S n’a jamais du avoir a faire aux Russes, et la elle va connaitre la colère Russe si elle continue dans se sens.

- A part moi, c’est toi qui à la clé. Je me crois pas assez c*n pour saccagé mon côté ?!

On pouvait voir que le je soupçonne de ça. Je reviens sur mes affaires, je suis assez énervé. Maintenant il faut que je trouve un endroit où dormir ou plutôt un lit avec qui dormir. Peut-être avec une demoiselle, ou je pourrais plus que simplement dormir… Même la, tu cherches encore a coucher…. Oh ça va, je fais ce que je veux.

Toujours avec son amabilité légendaire, Nika me répond que je peux me déboucher le nez : "tu vas pas mourir, mademoiselle." Ahah, quel crétin. Si je me fais un plaisir de lui gerber à la tronche, on verra sa réaction, on verra qui sera la demoiselle à cet instant. Mais je préfère ne pas répondre au pic qu'il me lance, ça ne lui ferait que trop plaisir. Moins on porte d'attention à Narcisse, mieux c'est. Et puis, lui répondre pourrait être dangereux pour mon secret. Je dois rester discret en toute occasion, et donc éviter toute provocation. Bien qu'à cet instant précis, mon envie principale est de lui faire bouffer un rat mort. Ou vivant.

Il devient alors assez violent dans ses propos, m'accusant d'être à l'origine de tout ce bordel. Finalement, il n'a pas vraiment tort. Mais je ne suis pas le premier responsable. C'est lui qui l'a cherché. S'il n'avait pas été aussi hautain avec S, on n'en serait pas là. Moi je ne fais qu'aider à la vengeance de S, c'est tout. Mais ça, il l'ignore.

- Et pourquoi ce serait moi ?, je réponds, faussement outragé. Tu crois vraiment que je m'amuserais à empester la chambre dans laquelle je dors, juste pour te faire chier, alors que je te connais pas ? Sois logique, merde !

A cet instant, je ris intérieurement. Un sacré fou rire, même, mais que mon visage ne dévoilerait pour rien au monde. Nika sait pertinemment que ce qu'il insinue est invraisemblable, et pourtant il a raison. Le genre de situations qui rendent fou. S'il savait pourtant, à quel point j'ai adoré pourrir son lit et ses affaires ! Heureusement que je sais me contenir, parce que sinon je serais capable d'exploser de rire tant la situation est hilarante.

Je regarde souvent l’état de la chambre, je suis dans une telle rage que je pourrais attraper le premier passant et lui mettre une bonne raclé. Il faut que je me calme, mais comment veux tu que je me détende après ce qu’il vient de se passé. Je le tiens vraiment pour responsable de cette galère. Peut-être que je n’aurai pas du répondre à l’autre grosse vache, mais je ne vais pas me laissé faire par une inconnue…peut-être que c’est un mec qui sait…

- Et pourquoi ce serait moi ?, je réponds, faussement outragé. Tu crois vraiment que je m'amuserais à empester la chambre dans laquelle je dors, juste pour te faire chier, alors que je te connais pas ? Sois logique, merde !

Oh pauvre chou ! Il se sent outragé, je crois qu’il veut un gros câlin ce petit bichon… Bien sur que je l’accuse, et je l’accuse encore. Et puis dire qu’il dort ici, je pense qu’il va trouver un autre endroit pour dormir. C’est pareil pour moi.

-Pour moi c’est toi ! C’est bizarre, c’est surtout mes affaires qui ont été saccagé et pas les tiennes.

Toujours sur la méfiance, surtout quand je me trouve en face d’un sacré idiot. Je sens que j’ai raison, mais d’un autre côté mon cerveau me dit que ce n’est pas possible que ça soit lui. Je m’approche de la sortie en colère, fou de rage. Bien sur en passant je ne pus m’empêcher de bousculer fortement Owen. Rien à faire qu’il se cogne, qu’il se blesse, qu’il meurt, de toute façon le petit bichon va encore dire que ce n’est pas de ça faute.

A voix haute, je disais quelque chose qui s’adresse à S.

-S tu sais on se retrouvera et je te promets quelque chose de beau !!

Je sais qu’elle m’écoute, elle écoute tout le monde. L’expression les murs on des oreilles prends tout son sens avec elle. Je me retourne vers ma douce poupée Owen.

-Hey mon bichon ! J'aimerai bien te foutre une baffe, mais ça serait de la mal traitance animal !

Lui envoie un bisous volant avant de commencé à partir.

"Pour moi c’est toi ! C’est bizarre, c’est surtout mes affaires qui ont été saccagées et pas les tiennes," lance-t-il, visiblement méfiant.

- Qu'est-ce que ça peut me faire ? J'ai de problèmes avec personne moi, y a personne qui pourrait m'en vouloir. Toi aux dernières nouvelles t'es pas le mec le plus apprécié de l'université, que je sache, après avoir frappé une meuf pour le fun.

Cette histoire arrive à point nommé, d'ailleurs. Elle me sert d'alibi pour éviter toute accusation à mon égard. Si l'une des deux filles concernées dans la scène, à savoir Elisabeth Clark et Robyn Delovres, peut porter le chapeau à ma place, j'en serais ravi. Aucun scrupule ; d'autant plus que je ne les connais que de vue. De toute manière, le pseudo gros dur parano finira bien par comprendre qu'il n'y a aucune raison valable pour que je sois le responsable de ce saccage. Ou alors, c'est qu'il est vraiment idiot ; ou vraiment, vraiment futé. Mais je ne parierais pas sur cette deuxième option, sachant pertinemment que le cerveau du Starkov est plus situé dans ses poings et son entrejambe que dans son crâne.

Finalement, Nika se dirige vers la sortie, ne manquant évidemment pas de me bousculer au passage. Je crois que mon épaule va en pâtir pour quelques temps, mais ce n'est pas un problème. Finalement, la douleur est incroyablement agréable, car signe d'une réaction immature et ridicule de l'écervelé et sanguinaire Nika.

"S tu sais on se retrouvera et je te promets quelque chose de beau !" lâche-t-il, persuadé à raison que S l'entendra.

A sa remarque, je me retiens de rire, encore une fois. S'il savait. Il pense lui réserver "quelque chose de beau", mais s'il savait ce qui l'attend lui-même. Beau sera un bien trop faible mot. Magnifique, inoubliable, ahurissant, et j'en passe. Il s'en rappellera, c'est une certitude. Il ne fera pas le poids face à elle. On a déjà poussé une fille au suicide, pourquoi on ne pourrait pas pousser un gars à la torture ?

"Hey mon bichon ! J'aimerais bien te foutre une baffe, mais ça serait de la maltraitance animale !" m'interpelle Narcisse en m'envoyant un doux baiser volant, avant de s'en aller.

Je lâche un léger rire complice, comme si j'allais m'adresser à mon meilleur ami.

- Ouais c'est ça, allez casse toi crétin !, je réponds, un large sourire aux lèvres, amusé par sa dernière réplique.