Chambre 1 : Bastien de la Broise et Connor O'neil

Chambre 1.
Bastien et Connor.[list=1][*]

.Bastien.

Je revenais du bal, les larmes aux yeux après ce qui venait de se passer avec Alice. Une fois dans ma chambre, je m'assis sur mon lit et fondus en larme. Je venais de tout gâcher. J'aurais du lui dire que non, que je lui pardonnais tout, mais quelque chose au fond de moi, surement ma raison, m'avait dit d'arrêter la maintenant, tout de suite. Pour moi, ça ne pouvait plus continuer tout cela, je n'y arrivai plus. Une fois toutes mes larmes sorties, je regardai ma chambre. Il fallait que je fasse ma valise pour demain. Aussi, je me levai et sortis mes deux valises. Puis, soigneusement, je rangeai toutes mes affaires dedans, ne laissant de sortis que mes affaires pour dormir, mes habits pour demain, ainsi que mes affaires de toilette.

Alice.

J'arrivais en courant et cherchais la chambre de Bastien. Je la trouva.. J'"y entra doucement et regardais Bastien qui faisait sa valise. Je m'approchais de lui et dis doucement ;

- Je suis vraiment désolé. Je sais que ces excuses ne servent a rien, que elles necomptent plus à tes yeux. Une chose quze tu peux te dire, c"est que c'est moi qui a tout gaché et pas toi. Toi tu as été correcte, sur tout les bords. Je suis sur que tu me laisseras pas de dernières chances.. Je ne te mérite paqs. Si j'ai un sale caractère.. C'est parce que j'ai ubne marque du passé et voilà.

Je le regardais.

- Je t'aime. Mais tu mérites bien mieux que moi. Désolé de t'avoir fait vuvre toute cet enfer.

.Bastien.

Alors que j'en étais à la moitié de mon placard, la porte s'ouvris et Alice rentra. Je la laissai tout déballer, sans rien dire, presque impuissant. Elle me dit que tout cela était de sa faute, que j'avais était parfait, que c'était à cause de son caractère et de son passé... Elle m'avoua qu'elle m'aimait encore, que je méritai mieux et qu'elle était désolé pour tout cela et c'est ce qu'il me fit je pense le plus mal. Je posai ce que j'avais dans les mains dans la valise, réfléchis quelques secondes en fixant la valise avant de lui répondre, toujours en regardant la valise :

- Le pire dans tout cela Alice, c'est que je suis encore amoureux de toi et pour de bon.

Alice.

Bastien lachaitvce qu'il avait dans les mains et fixais sa valise, me disant qie le pire dans toutvcela etait au'il etait encore amoureux de moi et pour de bon. Cela m'alla loin.

- Le pire oui.. Je saos pas quoi dire, appart que j'ai tout foire encore une fois. J'ai un cractere de merde et peu de personnes m'aiment poyr ca.. Mais toi t'a appris a me connaittre. Et t'es bien le seul qui a fait ca. J'ai tout les defauts.. Mais bon.. Je suis desesperee. Je suis rien sans toi.. Mais il faut que je m'y fasse. J'ai tout casser.

.Bastien.

Ses paroles me brisèrent encore plus. Certes elle avait des défauts. Mais aussi des qualités. Seulement, elle ne savait pas les faire ressortir, du coup elle se réfugiait derrière ses défauts. Je regardais enfin la jeune fille. Juste un regard, et ça me suffit pour prendre pitié d'elle. Je ne pouvais pas la laisser comme cela, mon coeur s'y refusait. Je me dirigeai alors vers elle, l'embrassai puis la serrais dans mes bras, laissant quelques larmes sortirent encore.

Alice.

Bastien me lanca un regard, un seul, avant de venor vers moi et de m'embrasser et dee prendre dns ses bras, me serrafort dans ses bras. Je le rregardais. Je le vis ecouler encore quelques larmes. Je me voulais pas lui faire subir Je le regardais et le serrais egalement dans mes bras.

- Je t'aime, je t'aime, je t'aime et je t'aime. Desole..

Je relevais sa tete versoi et l'embrassaiz.

.Bastien.

Je ne savais vraiment pas quoi dire, et parfois, le silence vaut beaucoup mieux que des paroles, ça fait moins mal. Enfin, dans certaines situations, pas dans toute. Je la laissai m'embrasser de nouveau. Je crois bien que j'étais incapable de la repousser maintenant. J'étais dans un tel état de faiblesse mentalement. Tous mes sentiments se bousculaient dans ma tête, m'embrouillant complètement. J'étais perdu, complètement perdu. Je ne savais plus quoi faire, ni quoi dire, ni quoi penser. Et le seul point d'attache que je trouvai à ce moment la, c'était Alice. Je ne pus donc m'empêcher de l'embrasser de nouveau.

Alice.

Je soupirais et regardais dans le vide me sachant plus quoi dire. Je n'osais plus rien dore..Bastien semblait perdu et je me sentais enfore plus coupable. Mais ce qui me troubl, cvest qu'nil m'embrassa a nouveau. Je le eegardais dans les yeux. Je lui pris la main.

- Tu es le meilleur petit ami que j'ai jamais eu.. Mais.. Si tu veux pas continuer, dis le.moi maintenant.

.Bastien.

Je sais que je suis le plus compréhensif des hommes et que j'arrive à suporter beaucoup de choses et de caprices. Mes amis me l'avaient toujours dit. J'étais le plus tolérant de la bande, ça c'était sur. Mais j'ai tout de même mes limites. Et la, Alice les avait atteinte en quelques mois. Il faut le faire pour les atteindre. Aucun de mes anciens amis ne les avaient encore atteinte. Elle avait compris, je pense, que je ne savais plus quoi faire, ni quoi dire. Elle me demanda si je voulais arrêter ou pas, en me tenant la main, après m'avoir dit que j'étais le meilleur petit ami. Je m'assis alors sur mon lit, troublé et perdu. Je tournai ensuite mon regard vers elle, puis fixai le mur en face et lui dis :

- Non, rompre ne fera qu’aggraver les choses. Mais s'il te plais, essaye de me comprendre et d'adapter à moi, car depuis le début, c'est moi qui doit essayer de te comprendre et de m'adapter à ton caractère, et parfois, ça me pousse vraiment à bout. Et je pense le pire pour moi, c'est que tu blesse parfois mes amis sans le vouloir, et je me retrouve alors entre deux camps et je ne sais lequel choisir...

Alice.

- Je vois. Jevte promet.. Mais qu'est- ce que j'ai fais a tes amis? Mikel je lui ai rien fais. Il me fait.. Bref f'est bon. Je lui ai peut etre fait du mal.. Mais c'est tes amis donc pas besoin d'hesiter entre moi et eux.

Je le regardais puis detournais le regard fixant le vide. Je trouve que Bastoen s'occupait plus de son entourage que de lui meme.. Et meme un peu trop. Je soupirais tristement.

- Desole d'avoir ete aussi egoiste.

.Bastien.

Je ne l'ecoutai déjà plus, toujours assis sur mon lit, fixant le mur perdu complètement dans mes pensées et mes souvenir. C'était la première petite amie que j'avais et notre couple n'était pas une grande réussite. Rien n'allait, on était trop différent je pense. Et elle me promettait des choses pour me faire plaisir mais je savais même pas si elle les ferrais. Elle prenait ses médicaments et encore, c'est parce que j'étais la. J'avais pensé aussi rester en France et ne plus jamais retourner ici après ces vacances. Mais si elle venait avec moi, ça ne serait pas possible. Bref, je ne savais plus quoi faire et mon cœur refusait de l'abandonner elle et tous mes amis que j'ai ici.

Alice.

Mon coeur etait brise, ne plus l'entende parler, le voir sourire.. Tout cela a caise de moi. J'avais rendue sa vie envore plus compliquee qu'elle ne l'avait ete au debut. J'avais les lzrmes aux yeux, et je voulais lui prouver que j'avais un beau fond, et que si j'etais comme ca,.c'est a caise de cette haine.. Je le tegardais puis detournais le regard. Ke visais vraiment la.fin.. Tout mes.souvenirs avec Bastien, le prmier jour on l'on s'est embrasse.. Ke voulis pas qu'il parte.. Je voulais pas que ca soit finit entre nous. Je l'aimais et.pour de bpn.

-toutes les promesses que je t'ai faite je les prends au serieux et a coeurs. A toi de voir si tu veux vraiment reprendre un peu confiance en moo.. Les choses sont pas claires pour moi.

Je le rregardais.

- Je suis horriblement desole de te faire vivre ca. Mais.. Ton baiser, il disait quoi Bastien?

Disais+je d'une voix cassee.

.Bastien.

Arrête de parler, arrête. Ca ne sert à rien. Mon baiser, je ne sais même pas ce qu'il signifie pour moi. Je suis perdu, déchirer et je me mens à moi même. Je me mens si je dis que je ne l'aime plus, si je dis que je n'éprouve plus rien pour elle. C'est tellement compliqué... J'avais envie de lui crier dessus, de la renvoyer, de la faire sortir de ma chambre pour qu'elle arrête de me torturer, mais j'en étais incapable. Aussi je restai la, impuissant, à regarde le mur, ne disant toujours rien et les larmes aux yeux. Tout est tellement compliqué ici. Mais je ne dis toujours rien, laissant ce silence atroce peser dans la chambre.

Alice.

Bastien ne disait plus rien, ne rrepondait pae a ma question. Cela me faisait du mal, beaucoup de mal.. PouRquoi t'es encore ici, Alice? A lui briser le coeur a l'rmmerdrr avec tes questions a la con.. Je soupirais un bon coup, et sur un coup de tete, jr dis, en commencant a pleurer :

- Ok c'est finis entre nous deux.

Je le regardais plus une deuxieme fois et sortis de la chambre. Je me laissais tomber parterre dans le couloir. Je m'adossais contre le mur du couloir. Je pleurais et mis main sur mon front.

.Bastien.

Me taire n'avait peut être pas été ma plus brillante idée, mais j'arrivai plus à sortir le moindre mot. Une fois qu'elle fut sortie après m'avoir dit que c'était finis, je continuai de regarder le mur. Puis je me décidai à finir ma valise rapidement, au moins ça m'occuperai l'esprit. Je me levai de mon lit et terminai de faire ma valise. Une fois celle ci bouclé, je la posai pas loin de mon lit et m'assis dessus. Je repliai mes genoux contre moi et y posai ma tête dessus. Je crois bien que j'avais tout gâcher. Mais que lui répondre ? Que je l'aimai encore alors qu'au fond de moi, tout était mélanger et que je n'en savais plus rien d'ou j'en étais ? Je ne voulais pas lui mentir. Alors la meilleure solution avait était le silence, même si ça lui avait fait mal. Maintenant, plus qu'à attendre que Connor revienne pour tout lui dire. Il saura surement quoi faire. Et demain, je retourne à Paris pour retrouver mon père dans le coma et décidai si je reviens ici ou non.

Alice.

Mon coeur etait enille morceux je ne savais pluq quoi faire. J'vaiq l'impression qu'il s'en foutait qie je lui avais dis cela. Mais non, Alice.. Maintenant c'est finis entre vous, l'affaire est closevt on en parle plus. Ou pas.. Je soupirais douloureusement, j'avais une attroce douleur dans la poiyrine. Je me sentais seule au monde, tres seul. Ce bal avait vraiment tourne au cauchemar. Je n'osais plus rien faire, plus bouger. Je me sentais comme morte.. La seule personne qui en fait, m'aimait vraiment, j'ai reussis a l'eloigner de moi. Je fixais le vide, le regard flou rt desamparee. Je me relevais et marchais dans le couloir lentement, triste.

.Bastien.

Qu'avais-je fait ? Rien justement. J'aurais du faire quelque chose, mais je n'avais rien fait. J'étais à bout et je n'en pouvais plus. Je n'en pouvais plus de devoir tout encaisser, de devoir être ce que je ne suis pas. Cette rupture me faisait mal d'un côté, mais me libéré de l'autre. C'était dur d'avouer ça, mais c'est, je pense, ce que je ressentais. Je suis quelqu'un de simple, qui a des goûts simples et qui se sent bien avec des gens simples et sans complexe. Voila ma vrai nature. Et personne ne pourra me changer, tout comme je ne pourrais changer personne. Mais pourtant, je ne pourrais oublier son sourire, ses grands yeux pétillants de malice, sa ma douce et délicate et le contact de ses lèvres sur les miennes. Cette fille m’obsède autant qu'elle me désinvolte. C'était vraiment étrange comme sentiment. Vraiment.

Alice.

Il fallait qie je me decide a rejoindre ma chambre. Mais cela etait pire que dofficile.. En plus je ne le verrais plus apres. Je soupiris un bom coup, j'etais chamboilee. Je me rendais vraiment compte qie j'avais ete incorrecte avec lui, vraiment. Je m'en voulais. Mais je crois qu'il etait trop tard pour faire marche arriere dans le temps..trop tard, oui.. Il m'avait laisse des vents.. Mais il m'avit embrasse tout de meme. Je me comprenais absoluement plus rien. Apres toutcilbla vivra bien cette rupture. Il suffit de me remplacer avec une fille ordinaire.. Et le tour eet joue. J'essayais d'un peu remonyer la pente mais c'etait trop dur. Je restis la, dans le couloir dans un piteux etat.

.Bastien.

Je me sentis dans un tel état de dresse, si désemparé face a cette situation que je pris mon téléphone et envoya SOS a mon cousin. Il saura sûrement quoi faire et je ne supportai plus cette solitude et se silence. Il fallait que je parle a quelqu'un pour faire la mise au point de mes sentiments et rapidement sinon je crois que mon cerveau allait exploser. Elle sait que je l'aime encore mais aussi, enfin je pense, que je n'en peux plus de ses changements d'humeur subitement. C'était trop compliquer pour moi de tout gérer. Mais j'étais sur que je venais de lui faire beaucoup de mal et je m'en voulais beaucoup. Je voulais aller la retrouver, la réconforter et lui dire que j'étais désole pour tout. Si seulement tout a l'heure elle avait sut s'adapter a la situation comme moi je faisais toujours et au lieux de parler, juste venir se blottir dans mes bras, tout les deux assis sur mon lit, l'issue en aurait était différente je pense. Mais elle ne sait pas s'adapter, analyser la situation et agir en conséquence. Elle ne sait pas, et j'en peux plus de devoir le faire systématiquement. Surtout que ça modifie complètement mon caractère et je ne me reconnais plus parfois. Ou ça implique de devoir délaisser des amis pour elle. Non, stop, laissez moi tranquille. Laissez moi ma vrai nature et n'essayer pas de la modifier. Je n'aurais jamais du venir aux États Unis, jamais.

Alice.

Je n'en pouvais plus.. Je devais lui parler. Et c'etait plus facile par s
ms. Je sortis donc mon portable et ecris a Bastoen :

- Desole d'encore t'ennuyer. Si je suis ainsi, que je possede tout les defauts du monde cvest a caise de mon enfance. Si je quis possesive avec toi.. Et bien a mes huits ans, mes parents on divorces. Mon pere a trompe ma mere et s'est casse acec saaitresse. Je tecgarde pour moi, parce ue j'ai cette peur, cette peur que tu me fasses ce que certaines personnes m'on faites auparavant. Je me cache derriere tout ces defauts.. Je n'arrive pas a oublie mon passe, a men srtir.ais cette rupture m'a bien faitvreflechir.. Si un jpur on reviendrait a se remettre ensemble, sacje que je serais moi meme, que je t'aimerais les yeux fermes. Je voulais pas te comettrevtoy ce mal.. C'est mon cractere. Moi meme je me comprend pas. Je t'aime tellemnt.. . Tu as outes tesvrisons de ne pase donner de dernieres chances, crois moi. Sinon.. Je sais pas si tu auras ete un peu plus eclaire. Si t'a besoin de moi quand tu seras en France, call me. Je t'aime.. Je t'aime. Bisous de Alice, qui recoltent des pommeq en ce moment.. I love you my star.

.Bastien.

Je crois qu'après son message je dus laisser tomber mon téléphone par terre et fondus en larmes. Je dus m'en vouloir encore plus. J'enviai quelque peut mon cousin qui n'avait aucun soucis pour l'instant et qui passait une bonne soirée avec au bras une superbe cavalière. Car il faut avouer que Elisabeth est très belle. Moi j'ai tout gâcher en faisant les mauvais choix, oubliant ou ignorant comment Alice allait réagir. Je m'en veux plus que tout. Mais c'est trop tard maintenant. Demain je rentre a Paris seul pour essayer de tout oublier, de me vider la tête et de repartir a zéro.

Alice.

Je ne recu aucunes reponses de Bastien. Cela me bisait horriblement le coeur.. Je me sentais vraiment tres idiote. Je voulais aller le voir, je pouvaos pas vous die comme jvenoureais d'envie. Je soupirais et regarais autour de moi. J'avais des larmes quibperlaient su mes joues. Je voulzis ressenti le contact de ses levres sur les miennes, son sourirz, sa voix.. Je fixais mon portable ne le quittant pas des yeux, ayant l'espoir de rzcevoir une quelconque reponse de Bastien. Mais je crois pas que j'allais en avoir une.. Mais je voulais absolument avoir les choses au clair avec lui. Je continuais de longer les couloirs. Jusqu'a ce que j'arrivais vers l'acceuil. Je m'assise, toujours mon portable dans les mains.

Invité

Arrivés au dortoir en panique, j'emmène Elisabeth avec moi dans le bâtiment. Gravissant les marches deux par deux, je crois avoir lâché la main de ma cavalière pour rejoindre au plus vite mon cousin. Je croisa une fille dans le couloir mais n'y fis pas plus attention, l'état de Bastien m'importait plus que l'identité de cette personne.
Au pied de la porte, je déboule dans la chambre et aperçois mon cousin, assis sur son lit, l'air dépité. Je m'approche doucement et m'assois sur le lit en face du sien. Un temps de silence se fait sentir avant que je daigne parler.

« - Que se passe-t-il Bast'? »

.Elisabeth.

Alors que je suivais Connor jusqu'à sa chambre qu'il partageait avec son cousin, je vis alors une jeune fille dans le couloir, errant sans but. Connor se précipita vers la chambre pour réconforter son cousin qui l'avait appeler a l'aide. Normal. Je ne savais pas si je devais le suivre ou les laisser tout les deux. Je regardai alors mieux la jeune fille et me rendus compte que c'était Alice pour avoir partager sa chambre pendant une semaine. Je me dirigeai vers elle et posai une main sur son épaule.

- Ça va pas Alice ?
_______________
.Bastien.

Mon cousin arriva peut après lui avoir envoyer mon SMS l'appelant a l'aide. Je savais que je pourrais toujours compter sur lui. Il me demanda ce qui se passait. Je n'osais même pas le regarder mais sa seule présence était un réconfort pour moi. Je lui répondis ;

- Mon père est dans le coma car il a fait un accident, je dois donc repartir pour la France demain. Et je viens de rompre avec Alice par ma faute car je n'arrivai plus a m'adapter a elle. Elle n'arrête pas de changer d'humeur et je n'y arrivai plus. Je suis totalement perdu et je ne sais plus quoi faire.

» Découverte de la chambre.
» Bal de Noël [Bastien - Prudence]
» Retrouvailles. -Bastien and Prudence
» Temps de midi de Bastien et d'Alice.
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