Un très grand salon pour vous détendre après les cours.

Roman. Après avoir rencontré Ayahi, Dina et Callie je décidais de venir ici pour me détendre. J'espérais tout simplement que personne connaisse mon secret car la je crois que ma vie était fini sauf si les gens réagissaient comme Callie sinon c'était fichu. Je rentrais dans le salon après être passé dans des couloirs qui était pas trop remplis. Mais quelque chose me chiffonne les gens avaient quand même un regard assez critique sur moi mais pourquoi. Une fois dans le salon il y avait personne, je m'assis sur un des nombreux canapés et commence pensé doucement a ce que je ferais si je partais a Paris avec Callie. J'espère que les garçons la bas sont assez craquant.

Alex


Spencer m'avait répondu. Je souris. Je l'avais tirée de son ennui. I am the best. Or not. Bref. Elle m'avait répondu, donc, ça n'arrangeait pas vraiment mon cas. Même pas du tout. Maintenant que je pensais à ce que j'aurai dû dire...

Tout sauf 'Tu es où là ?'. C'était bien sûr la question à ne pas poser. Parce qu'elle va sûrement me le dire, où elle est. Donc, je vais demander si je vais pouvoir venir la voir. Elle va certainement me répondre - enfin je l'espère, même si c'est la dernière chose que je devrais espérer pour éviter de m'enfoncer encore plus - oui.

Autrement dit, je creuse tout seul mon trou. Et même si ça me gêne, je continue. Je pense quelque chose mais je fais le contraire. Je sais, c'est chiant.

Et c'est, qu'en plus, je suis impatient qu'elle me réponde, me disant où elle est, de préférence. Ouais, pire que moi, vous trouverez pas. Comme ça je la regoindrai. Pour qu'on parle. Oui, parler. Et pas pour autre chose.

Je suis pret à me lever lorsque je vois un nouveau message s'afficher, certain que c'était Spencer. Raté. C'est mes parents. Purée, mais les poules ont des dents où les vaches volent ? Sérieusement, mes parents m'ont envoyé deux messages en deux jours. Ils viennent de battre leur record. Ou alors ce ne sont pas mes parents.

'Demain, les cours commencent, Alejandro, sois à l'heure.'

Ok. Ils m'appellent encore par mon prénom, ils me disent encore de ne pas arriver en retard aux cours. On les a pas changés, en fait. Merde. Fallait pas rever.

Je soupire, ne leur répondant pas. Ils m'énervent. Ils m'ont fait espérer, les crétins. Mais, malheureusement, c'était pas Spencer.

(Je m'excuse de cette énorme absence...!)

Alex


Attendant Spencer, je m'étais mis à tapoter le bout de mes doigts sur l'accoudoir. Non, je ne suis pas impatient. Non, je suis pas stressé non plus. Eh, les filles ça me connait, donc j'ai pas à etre dans je ne sais quel état bizarre et... Je me  rassure ou... ?

Je me redresse lorsque je vois Spencer arriver, souriant. Tu t'es mis dans de beaux draps, toi. Bravo, Alex, t'es vraiment une girouette. Tu dis qu'il faut que tu t'en éloignes et tu l'appelles pour qu'elle vienne. Je te félicite, dans le genre débile on fait pas mieux, bravo.

- Salut, ça va, jolie Spencer ?

Oui, un compliment ça fait jamais de mal. En plus je ne fais qu'énoncer une vérité générale, donc bon.


( C'est pas grave, t'en fais pas ! ;) )

Alex


A sa question, deux réponses possibles : soit je lui ments en lui disant que tout va pour le mieux, que j'ai aucun problèmes et que... Voilà. Ou, ou je lui dis que je suis déchiré entre aller plus loin avec elle - dans un futur proche, j'ai comme l'impression que ça va arriver - ou m'en céarter car je ne veux pas lui faire de mal. Bon, on respire et on lache tranquillment un 'ça va' et je suis presque sur que ça  pasera comme une lettre à la poste. Tout du moins je l'espère.

- ça va, à part le fait qu'il fasse froid, mais bon. Quoi de beau ?

Ouais, ça va, j'ai l'air crédible et le truc de poser une question juste après, c'est bien, ça détourne un peu l'attention. Je suis trop fort. Alex, modestie.

Alex


Je souris à Spencer. Celle-là, si on ne me l'a pas faite 100 fois... Puis, elle se rattrape, disant, je cite, rien de spécial. En même temps, que voudrais-tu faire par un temps pareil, tu peux pas sortir, te balader, tu peux rien faire, en fait, en un mot.

- A part le fait que je vais recommencer à me récolter heure de colle sur heure de colle, rien de nouveau.

Ouais, ça, j'étais pas obligé. Spencer a pas l'air d'être le genre à sécher les cours, donc ça va pas lui plaire et... Minute, faut vraiment que j'arrête. C'est une fille, une fille comme les autres. Donc voilà.

J'ai beau m'en persuadé, je pense toujours le contraire. C'est dingue.

Alex


Sourire, rigoler, penser à autre chose. Ouais, ça doit etre faisable. Avec un peu de bonne volonté, tout est possible. Efin presque tout, n'exgérons rien, tout de meme.

- C'est vrai qu'avec moi, tu tombes bien bas, j'affirme avec un sourire,  qui sait, tu vas peut-etre devenir comme ma petite personne, va savoir, toujours en visite chez le dindon qui nou sert de proviseur.

Elle pourrait me tenir compagnie, remarque, ça serait bien, au lieu d'etre avec toutes ces trainées qui se disent insolentes alors qu'à chaque colle, elles chialent, les pauvres belettes.

Alex


Dîtes-moi qu'elle plaisante, là. Sécher les cours, je m'en doutais, mais tout le monde a déjà été en retard au moins une fois dans sa vie, c'est pas possible. A croire que Spenci-chou est vraiment une élève exemplaire. En fait, le contraire m'aurait étonné, sans vous mentir.

- Et ça te tente pas, un jour, d'essayer ?

Alex, l’entraîne pas dans tes sèchage de cours, imbécile. Quoi ? Faut bien qu'elle le fasse au moins une fois dans sa vie. Et je veux que ça soit avec moi, j'ai le droit, non ?

Alex


Elle n'a jamais osé, dit-elle. Je comprends qu'en temps qu'élève exemplaire - ce que je n'ai jamais été - ça puisse etre difficile. Quoique rester dans son lit à attendre que ça sonne et après ne plus bouger ou sortir de l'université, ça soit pas bien compliqué. Je la comprends, tout de meme. Ben oui, tout le monde la comprendrait, surtout toi, hein gros ? J't'ai pas sonné.

- Je peux t'aider, si tu veux, y a rien de plus simple que de sécher les cours, paroles d'expert, je propose avec un sourire.

Vous formez un bon duo, quand meme, avec ton pote Jérome. Vous changez de copine toutes les semaines et vous séchez les cours. Y en a franchement pas un pour rattraper l'autre, ma parole, c'est du grand n'importe quoi.

Alex


Yeah. Te réjouis pas trop vite, vieux. Tu te rends quand meme compte que tu lui fais quitter son statut de belle élève sage ? Ben maintenant, encore mieux, ça sera une belle élève pas sage. Tout ce que j'aime. C'est n'importe quoi. J'aime le n'importe quoi.

- Ah ! Oui, ça serait meme très drole, on s'ennuie jamais avec moi quand on sèche les cours, j'te l'jure.

Non, mais là on s’ennuiera encore moins, pour ses premiers cours séchés, faut prévoir un truc pas comme  les autres, elle aura envie de recommencer, comme ça, après. Faut que je réfléchisse à un truc bien qu'on pourrait faire. J'demanderai à Jérome la tête pensante si il a pas une idée. Jérome, une tete pensante ? C'est une blague, j'espère ?

Alex



- Oui, Maman. Je sais, c'est pas bien. Eh bien, ça dépend de mon humeur, sois je glande dans mon lit - c'est vraiment super intéressant - ou alors je vais en ville !

Je lui souris. J'aime bien quand elle prend cet air là. Même quand elle a aucun air et... Alex, tu l'incitais quand même pas à venir glander dans ton lit ?  Moi ? Bien sur que non, c'est pas mon genre. Surtout que généralement, je glande jamais dans mon lit quand y a une fille avec moi. Donc je vois même pas pourquoi tu posais la question. Alex... Bon, ouais, peut-être un peu.

Alex


Je vois Spencer rougir à vue d'oeil, un joli rouge piment, maintenant. N’empêche, ça lui va bien au teint. Non, je ne me moque pas d'elle. Bon, peut-être un peu. Mais c'est qu'elle est trop chou, Spencer. Je me demande pas ce qu'elle a pu penser pour être devenue rouge comme ça.

Ah, j'ai la réponse... Je souris à Spencer, me penchant vers elle.

- Tu croyais que je t'invitais à me rejoindre dans mon lit ?

Alex


J'adore. Qu'est-ce que j'aime l’embêter, c'est merveilleusement amusant. Je souris plus largement, la regardant tourner la tête, croiser les bras sur sa poitrine et s'enfoncer dans son fauteuil. Et puis, tant qu'à l’embêter, le faire vraiment bien, je veux pas m’arrêter là. Et je suis quasiment sur qu'elle se vexera pas. Quoique... De l'index que je place sous son menton, je lui fais tourner la tête pour qu'elle me regarde.

- Tu sais, tu peux me le  dire, à moi, Spencer. Et puis, vu la couleur de tes joues... Tu ne me feras pas croire une chose pareille.