- Salon 2 commun.

Alex

Faute. Regarde, la lumière rouge s'allume ! Tu cumules, mon pauvre Alejandro. Tu sais que je t'ai dit que je trouverais un moyen de t'exterminer si tu prononçais encore ce prénom dont j'ai horreur ? Aller, Alex... Oui, je sais, je cumule, je le vois bien, t'as pas besoin de me le répéter, merci.

Je sais meme pas quoi faire, j'ai l'impression d'etre endormi, complètement ailleurs, je sais meme pas ce qui me prends. Je vous assure, c'est horrible comme sensation. Surtoutt que c'est pas censé m'arriver, non, jamais. Je soupire, levant les yeux lorsque Spencer parle, puis se lève. J'aurais du me taire, ça aurait été plus vite.

- Spencer..., je murmure.

Si elle t'entend, elle a de bonnes oreilles. Arrete, tu m'enfonces encore plus, là.

Spencer.

Alex murmure mon prénom. Ce n'est pas sensé me provoquer un long frisson, ni provoquer un certain plaisir en moi. Je replie mes doigts à l'intérieur de ma paume. Je lâche un long soupir - je ne fais que ça, uh.

- Et toi ? Tu penses que t'es sincère ? Tu penses que tu l'aurais fait pour ce que je te disais ?

Je reprends précisément ses mots. Tout en les prononçant, je me suis retournée. Cette fois, je ne cherche pas à éviter son regard. Au contraire. S'il ment, je pourrais toujours essayer de le voir...

Alex

Spencer se retourne. Cette fois, c'est elle qui me pose la question. Si moi je pense que je l'aurais fait pour ce qu'elle me disait : me venger de Street, après le sale coup qu'elle m'a fait, j'avais été vexé. J'avais été vexé et j'en avais parlé à Spencer. Elle a eu raison de s'inquiéter, meme si je l'aurais jamais fait. J'aurais été à sa place, j'aurais eu la meme réaction. Je pense meme plus à me venger, que Street aille pourir, parte je ne sais où, fasse je ne sais quoi. J'en ai plus rien à faire. C'est oublié.

- Non, je ne l'aurais pas fait - je ne l'ai pas fait pour me venger de Street. Mais parce que j'en avais terriblement envie.

Alex. Quoi, je suis pas un menteur. A peine. D'accord, si tu veux, si ça peut te faire plaisir. Mais pas là, pas maintenant, pas avec elle, pas à ce moment-là.

Spencer.

Il réponds à sa propre question que je lui ai retourné, dans le plus grand des sérieux. Je ne crois pas qu'il me ment. J'ai envie de le croire. Je passe ma langue sur mes dents. J'aimerais bien savoir quoi rétorquer. Histoire de ne pas rester là, face à lui, les bras ballants. Où est-elle, la petite voix dans ma tête ? Elle m'aurait soufflé quelque chose, elle... Probablement que ce n'est qu'à moi et moi seule de répondre. Pas à ma conscience.

- T'es spécial comme mec.

Bien placé dans la conversation, dis-donc. J'esquisse un léger sourire. C'est quand même dans le sujet. Et puis, c'est ce que moi je pense. Il a ce petit truc qui fait que je le trouve spécial. Et je le trouve assez différent de d'autres mecs, lui a le contact facile, mais seulement avec les filles. Jusqu'à les embrasser au bout de quelques jours. C'est pas le cas de tout le monde.

Alex

Effectivement, ça c'est une certitude. Je suis spécial et complètement idiot, mais ça elle ne s'en doute pas forcément. Ah bon ? Pourtant t'as pas vraiment l'air fut-fut. Oh, la ferme, imbécile. Je lui souris légèrement. Oh moins, elle sourit. Pas beaucoup mais elle sourit. Tout d'un coup ça remonte un peu le truc, c'est mieux pour l'ambiance, disons.

- C'est pas peu dire.

Je me redresse, appuyant mes coudes sur mes genoux, les mains croisées dans le vide devant moi. On va pas en rester là, quand même. Je veux pas qu'elle parte tout de suite. Oui, bravo, tu t'enfonces tout seul, dis donc ! Tu vas finir avec Scrat, sur le noyau de la Terre. Tsss.

- Et... Spécial en bien ou en mal ?

Spencer.

Il se redresse, affirmant ce que je viens de dire. Son égo ne doit pas savoir s'il doit bien ou mal le prendre puisqu'Alex me pose lui-même la question. "Spécial en bien ou en mal ?" À vrai dire, j'en sais trop rien. Autant lui dire que de dire en bien et d'inventer des tas de sottises que je ne pense pas.

- Juste spécial.

Un sourire taquin est réapparu sur mon visage. Je change facilement d'humeur et fuis pas mal les situations de conflits. J'ai besoin de me changer les idées et de laisser cette discussion plus loin - pour le moment. Je m'y pencherais à nouveau quand j'aurais les idées claires. Pour l'instant, je veux simplement ne plus y penser.

Alex

Je préfère lorsqu'elle est comme ça, Spencer. Au moins, on ne peut pas dire qu'elle reste fixée sur quelque chose bien longtemps. ça pourrait t'arranger, Sanchez. Oui, je sais pas, peut-être. J'espère que ça soit dans tous les cas la même réaction, ça serait facile. Enfin de son côté. Peut-être pas du mien.

- Mmh, ça m'avance pas beaucoup, tu sais ça ?

Mais bon, vu qu'elle sourit, ça ne doit pas être en mal. Enfin je l'espère, tout du moins. Mais je vois pas pourquoi je serais spécial en mal, de toute manière. Ben si, remarque, je suis un abruti, ça peut aider, parfois.

Spencer.

Il semblait septique. La réponse de la jeune fille ne le satisfaisait pas et il lui en fit part. Elle marcha jusqu'à la porte de sortie et posa la main sur la poignée. Une lueur malicieuse brillait dans son regard, qui glissa à nouveau vers Alex. De sa main libre, elle entortilla l'une de ses nombreuses mèches brunes dans son index avant de la libérer.

Et si justement tu avançais par là ? Je pourrais t'en dire un peu plus...

Mais qu'est-ce qu'elle fabriquait ? Elle-même n'en savait rien. Elle souhaitait peut-être retrouver leur relation de départ, celle avec ces flirts constants. Pas celle où ils s'interrogeaient et élucidait les doutes de chacun comme si ils étaient en couple. C'était un jeu dangereux. Un jeu qu'elle aimait malgré tout. Le danger, ça la connaissait.

Alex

A quoi elle joue, là, Spencer la grande gueule ? Je sais pas, mais pour le moment, disons que ça me plait. Je sais pas si elle est souvent sujette à des sautes d'humeur du même genre, mais si c'est le cas, c'est tant mieux. J'aime. T'es vraiment incorrigible, Alex ! Vous étiez en train de discuter et... Oh, fiche-moi la paix, la mère Michèle. Quoi ? J'ai pas perdu de chat.

Je me lève, les yeux restant sur Spencer, ah, j'vais pas la quitter du regard de sitôt, je vous le jure. Je m'approche d'elle, doucement, un léger sourire en coin plaqué sur les lèvres.

- Dis-moi tout, Spencer.

Je l'imite, enroulant une de ses mèches sur mon index, avant de la laisser retomber le long des autres.

Spencer.

Merde. Merde. Merde. Pourquoi il vient ? Pourquoi il s'approche ? Ah oui, je lui ai demandé. Pourquoi j'ai dit ça, alors ? Hein ? Y'a quelqu'un qui peut me dire pourquoi j'ai eu le culot de sortir une chose pareil ? Ashley aurait pu faire la même. Baisser la barre jusqu'au niveau de cette dinde... Vous voulez vous fourrer dans le pétrin ? Spencer Hastings vous donnera de formidables conseils.

Comme moi quelques secondes auparavant, Alex joue avec mes cheveux. Non, ce n'est pas que ça me déplaît, au contraire... C'est juste que je crois que je deviens folle. Ce mec me rend dingue - dans tous les sens du terme.

Heu... J'ai oublié ?

Convaincant. Stupide. Il va vraiment finir par me prendre pour une débile. Si c'est pas déjà le cas, d'ailleurs...

Alex

Elle a oublié ? Haha, tu vois que la mère Michèle elle avait raison ! Elle est débile, ta copine, Alex. Mais vraiment stupide. Je crois qu'elle est réellement atteinte. Alzheimer, à cet age là, c'est vraiment dommage. T'imagine ? Oh, la pauvre... Autant la laisser tomber tout de suite, elle t'oubliera ! Tu seras enfin tranquille et tu pourras retourner voir à droite à gauche, histoire d'arreter de trainer avec des débiles, hein Sanchez.

Comment elle a pu oublier ce qu'elle voulait me dire ? J'suis pas d'accord avec ces sautes d'humeur ci. Je préfère largement comment elle était tout à l'heure, c'est toujours plus amusant. Au moins, la prochaine fois je saurai.

- Ah, tu as oublié ? T'es souvent sujette à des sautes d'humeur pareilles, Spencer ?

Autant etre informé, c'est mieux. Disons que ça peut aider par la suite.

Spencer.

Et merde. Voilà qu'il me prenait pour une débile, maintenant. En même temps, je m'en doutais un peu. Avec des agissements pareils, c'était pas difficile... Je croise les doigts en espérant que personne ne sera au courant de cette discussion. Pas même cette dinde d'Ashley. Je pince les lèvres, vexée malgré moi, étant pourtant la seule responsable de ce comportement étrange et qui ne me ressemblait pas...

En fait, je sais même pas pourquoi j'ai dit ça. J'avais aucune idée particulière. Je voulais juste..., je détourne les yeux, continuant d'une petite voix. Que tu sois plus près.

Ridicule. J'étais parfaitement ridicule. J'étais la première personne à me moquer des filles qui s'accrochent à un homme dès le premier baiser, voir le premier regard. Nous n'avions même pas encore quitté cette pièce que j'étais devenue pire que ces nanas acharnées. Bien sûr qu'il était craquant. Oui, il avait de l'humour. C'est sûr, il était très sympa. En plus, il embrassait bien. Mais moi je n'étais pas une mannequin blonde avec rien dans le cerveau. En bref, je n'étais pas une fille pour lui. Il n'était pas un garçon pour moi. Et il ne le sera jamais. C'était un coureur de jupon. J'étais une fille sérieuse et concentrée. Pas compatible. Tout le monde le sait. Et on a beau dire que les extrêmes s'attirent, il me semble qu'ils ne restent jamais bien longtemps ensemble.

Et puis pourquoi je pensais à tout ça, maintenant ? J'y étais obligée. Je pensais toujours à plein de trucs dans des situations non appropriées. Plus fort que moi. Je baisse la poignée de la porte et pousse celle-ci. J'étais désormais dans le couloir. Celui-ci menait du côté gauche au dortoir filles, du droit au dortoir garçons et en face... à l'extérieur. Ma porte de secours. Je fais quelques pas vers elle. Je la pointe du doigt et adresse un bref regard à Alex.

Je.. Je vais aller dehors.

Sans veste, sans pull, sans chaussures fermées, sans écharpe. Je vais aller dehors toute débraillée.

Alex

Elle a l'air légèrement perturbé, Spenci-chou. Je sais pas pourquoi, mais j'ai comme l'impression qu'ça s'emmêle, là-dedans. Ce n'est juste qu'une impression, mais... Je me trompe jamais. Sanchez, la modestie. D'accord, rectifions : je ne me trompe que très rarement. T'es impossible, Alejandro. Oh, mais je t'en pose, des questions, moi ?

J'ai failli lui faire répéter la dernière partie de sa réplique, je n'ai presque pas entendu, tout ça parce que la mère Michèle fait que de causer. Super, je deviens dingue, je parle de ma conscience comme si c'était une personne réelle. Internez-moi, je vous en supplie. Bref. Mais finalement, j'ai compris la fin de sa phrase, d'ailleurs, cela me fit sourire.

Je ne dis rien, pour le moment, voyant que Spencer ouvre la porte et fais quelques pas à l'extérieur de la pièce, je hausse un sourire, m'appuyant contre le chambranle de porte. Je la vois fixer la porte, puis la pointer du doigt. C'est à peine si la jeune fille me regarde lorsqu'elle m'adresse à nouveau la parole. Elle veut aller dehors ? Mais elle va avoir froid. Elle est même pas habillée. Enfin, pour aller dehors. Elle va tomber malade, même avec une santé de fer.

- Tu vas attraper du mal Spencer. Pourquoi veux-tu aller dehors ?

Spencer.

Je lève les yeux au ciel. Pourquoi fallait-il qu'il relève ? J'aurais aimé qu'il dise un truc du genre "ok, pas de soucis, moi je vais au self" ou dans sa chambre, à la piscine, dans l'espace, n'importe où mais qu'il s'en aille. Et après ça, une fois qu'il serait parti, je serais allée dans ma chambre. Tout cela n'arrivera pas puisqu'Alex s'était appuyé contre la chambranle de la porte et me regardait, interrogateur.

Je fourre mes mains dans mes poches, ne sachant plus trop quoi répondre. J'allais tout de même pas lui dire que tout ce que je voulais en ce moment précis était soit qu'il me serre très fort contre lui, soit qu'on ne demeure plus dans la même pièce. Ça ferait cruche, quand même. Au point où j'en étais désormais... Oh et puis rien, à faire, qu'il me laisse tranquille.

Je parcours les deux-trois mètres qui me séparait de la porte de sortie et l'ouvre. Un pas dehors. Brrrr, Alex avait peut-être raison, j'allais attraper froid. Je ne me retourne pas. La porte ne s'était pas fermée. Un deuxième pas. Puis un troisième. Je m'arrête là. Quelques élèves courageux bravaient le froid et parlaient à l'extérieur, dans la cour. Quelque chose de froid s'était posé sur le bout de on nez, m'extirpant de mes pensées. Je ne comprends pas tout de suite ce que c'était. Puis un élève crie dans le parc : "Il neige !" En un clin d'oeil, la cour se remplit de plusieurs curieux. On perdait tout 10 ans dans notre tête quand la neige se pointait. Je me surprends à sourire moi-même. Les flocons ne tardèrent pas à envahir ma chevelure brune.

Oubliée l'idée de ne pas me retourner. Je cours presque jusqu'à la porte que j'avais ouverte quelques minutes plus tôt.

Alex, il neige !

Oui, d'accord, je suis une gamine qui s'extasie devant de l'eau glacée. Mais qui n'a jamais été heureux de voir l'herbe, les routes et les toits tout blanc ? Ça a quelque chose de magique, non ? Non ? Ben tant pis.

Invité

"Ce que je venais de faire était débile, je me trouvé complètement absurde, pathétique, stupide... Rester dehors sous se froid aurais était une bonne idées, d'ailleurs j'aurais opté pour le choix de me laisser recouvrir jusqu'à se qu'on me voient plus! Je suis ici pour laisser partir mes ennuies et voici que je vais en avoir encore plus qu'avant. Je ne sais même où je vais ! Depuis tout à l'heure je marche complètement pommé dans cette école !" Voilà ce que je pensais jusqu'à trouver deux grandes portes et une jeune fille qui se trouvé devant. J'avança et Une grande pièce assez chaleureuse s'offrait à moi. "Voilà qui est bien pour se réconforter et se réchauffez je n'ai qu'a m'installer la et... " Mes pensées s'arrêtèrent quand je vis que je risquais de gêner une conversation quelques peu intime entre ces deux personnes par la suite. Moi qui voulais me faire discrète... J'ai envie de creuser un trou de et de m'enterrer dedans ! j'avance discrètement histoire de ne pas me faire voir et ne pas gâcher leur fin de conversation et leurs de joie de fêter la neige, je m'assoie sur un fauteuil et mis mes écouteurs.

Roman.

Voilà déjà un moment que tout le monde savait mon orientation sexuelle et je le vivais très bien. Je connaissais pas grand monde mais tout m'était égal. J'avais rencontré un garçon avec qui je suis sortie quelques jours avant de casser car il y avait pas grand-chose entre nous peut-être que la prochaine fois je trouverais une fille avec qui sortir... Voilà que je marchais dans le couloir qui menait au deuxième salon, j'espérais qu'il n'est pas grand monde pour être tranquille.

J'ouvris la porte et découvris une nouvelle personne qui était la toute seule, je ne la connaissais pas et surtout je ne l'avais jamais vue. Je souriais, mes cheveux étaient comme souvent coiffés un peu en pétard mais j'aimais comme j'étais, je me sentais bien dans ma peau et surtout pourquoi plaire aux autres c'est surtout à nous-mêmes qu'il faut plaire. Une fois dans le salon, je pris quelque chose à boire que je bue d'une traite, avant de venir vers cette demoiselle.

Invité

J'étais dans mes pensées, les yeux toujours rouges. Je me suis toujours demandée pourquoi j'étais comme ça ? Autant je pouvais pleurer et perdre pied sans raisons, et d'un coup être agressive avec quelqu'un sans aucune raisons, juste pour "paraitre" a mon avis. Et si je devenais trop agressive ? J'étais convaincu de devenir comme ma mère et ça jamais je ne le voudrais. Je senti une présence s'aprochait, une vague de peur m'envahie, j'abbesse le plus vite que je pu ma manche pour que cette personne ne voi rien de ce qu'il se trouvé sur mon bras. Je ne pris pas la peine de tourner ma tête.

- Quesque tu fais ici ?!
Et voilà, parler d'un ton agressif et méfieur, c'est plus fort que moi.

Roman.

Je voyais que cette jeune femme était bizarre, elle cachait ses bras comme si elle ne voulait pas que je vois ce qu'elle a. Puis elle ne prit pas la peine de ce retourné pour me parlé sur un ton qui me paraissait agressif, je la regarde. Je pris un ton assez calme mais la fois décontracté pour lui parlé.

-Bah je suis ici pour me détendre quoi comme tout le monde. Sinon moi c'est Roman, comme je t'ai vue toute seule je me suis dis que tu étais nouvelle mais bon apparemment je dois te déranger.

Je n'agressais personne dans mes paroles, j'avais pas envie de me mettre cette personne comme ennemis. Je la regarde, je souriais. Je la dépassais de beaucoup, j'étais assez grand même très grand.

Invité

Se qu'il dit n'est pas forcément faux... Ici c'est pour se détendre, ma question était un peu bête en soit.
Je me tourna pour le dévisager. C'était un jeune homme, plutôt pas mal, il était très..grand. Mais les gens qui parle posément comme ça, sa m'énerve. Comme si il te disait "Relaaax, inspiire, respire." vous savez ces personne qui se prennent au sérieux quand il essay de calmer les gens. il fallait que je cesse d'être comme ça, il ne m'avais rien fait. Mais en même temps, je n'allais pas dire "non reste !" Sa paraitrais bizarre, et même si je n'avais particulièrement pas envie qu'il parte, j'avais trop de fierté pour lui dire qu'il était la bienvenue. Je lui répondu sans sourire.

- Oui je suis nouvelle, et tu ne me dérange pas.

Je rester assez froide, au fond de moi je ne le voulais pas. Mais dans ces moments ce n'est plus moi qui contrôle quoi que se soit. Puis je remit mon écouteur. En réalité j'avais coupé le son pour entendre se qu'il me disait sans le laisser paraitre. Je réajusta ma longue chevelure pour couvrir ma nuque.

Roman.

Tu es tombé sur quoi aujourd'hui un spécimen rare qui est froid tu sais même pas pourquoi. D'accord, allons ne faisons pas attention et continuions dans notre lancé c'est ça Roman ? T'es pas d'accord avec moi ? Si je suis d'accord avec toi mais plus que d'accord, je suis totalement d'accord avec toi. D'un seul coup je la vis remettre son écouteur d'accord de mieux en mieux cette fille c'est bien partis comme ça.

-T'es sur ?

Non Roman non non tu as tout faux, tu aurais pas du lui dire ça et après tu t'étonnes que les gens n'aiment pas ta façon d'être. Eh toi la haut tu me soule okey ! Ouais c'est bon calme toi.

-Sinon je suis Roman et toi ?

J'avais enlever mon sourire, a quoi bon sourire quand la personne en face de vous en a rien faire.

Invité

Même si je ne le regardais pas je voyais bien son attitude du coin de l'œil. Mais voir quelqu'un se présenter sans sourire comme ça, c'était un drôle de mélange, en voyant cela elle ne pu s'empêcher de rire.

Elle reprit ses esprit aussi tôt.

-Désolé c'est la chanson qui est drôle...

Elle remis ses écouteurs qui était tombés.

- Nina. Enfin, je m'appelle Nina.

Roman.

Mais ouais bien sur fous toi moi. Je ne disais pas ce que je pensais pour le moment, j'espère qu'elle pas comme ça avec tout le monde sinon elle risque de bien s'entendre avec les pestes de services. Elle se nomme Nina, je la regarde je savais pas si je devais sourire ou pas. J'opte pour un sourire leger, pas comme le premier qui était plus joyeux.

-Enchantée Nina !

Je trouvais que c'était pas vraiment agréable de parler avec une personne qui préfère écouter sa musique que les gens qui sont en face d'elle

Invité

Bon, t'est plus une gamine Nina ! Enlève sa de tes oreilles !
J'enleva les écouteurs de mes oreilles.

- Sa m'énerve d'écouter de la musique.

T'étais obliger de rajouter se mensonge ?
Pendant que je rangeais mon ipod je m'adressa à lui, je ne pouvais pas lui parler sans rien faire, sa montrerais que je consacre a lui et que j'y tiens, et pourquoi je le ferais ?

- T'est en quel classe ?

Roman.

Tiens donc la demoiselle finit par enlever ses écouteurs ! Quel miracle ! Elle était a la fois désirable mais aussi indésirable dans ses manières d'agir c'est totalement bizarre. Elle rangeait son Ipod quand elle me posait la question de quel classe je suis. Je la regarde avant de lui répondre. J'en profitais pour observé ce qui ce trouvait autours de moi, je préférais largement ce salon la que l'autre. Ici c'était largement plus calme.

-Je suis en dernière année ici et toi ?

Invité

Je n'avais plus rien a faire ! Panique totale, bon tans pis, je me suis calé en boule dans le fauteuils. Je pris une feuille et un style et me mis a griffonner tout et n'importe quoi.

- En deuxième années, enfin je n'ai pas fait ma première année ici.

Je lui répondais tout en regardant ma feuille. Un blanc s'installa.

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