Comme nous avions aucune nouvelle d'Ashley, et que chacun de notre côté on l'avait cherché dans tout l'UE mais rien. Nous avions décidé de partir à sa recherche nous même en ville en espérant trouver des indices. Il y avait déjà une enquête de police qui était en cour, mais on trouvait que ça n'avançait pas vraiment.

Nous étions vraiment que tous les deux à la recherché, pour être amie avec faut savoir lui parler, et être bien placer dans son estime. J'étais repartis dans ma chambre pour prendre quelque chose a me mettre sur le dos. J'étais un peu descendu comme un sauvage.

Je venais de répondre a Damon, puis je descends des dortoirs rapidement. Je marchais vite a fin de le retrouver en ville. Une fois que je fus rentré dans la ville, je décidais de mettre dans un coin assez tranquille. Il fallait qu'on réfléchisse sur l'endroit ou nous allions commencé. On devait retracé son chemin, même si je pense que ça sera très dur.

Quand je repense a mon arrivé, au début avec Ashley c'était pas vraiment ça mais maintenant tout vas mieux. Et puis je suis assez content d'avoir fais la rencontre de Damon. Tu crois que c'est le moment de parler de Damon ! Ouais, mais pour le moment je suis tout seul j'ai bien le droit de pensé a ce que je veux. Certes c'était pas le moment.

La seule personne a avoir vue Ash, c'est Dante et il ne la pas revu depuis. Sa disparition, ne peut pas être a cause de lui ...j'espère. Trouver des indices nous aideraient vraiment. J'attendais Damon, tout en essayant de réfléchir sur ça disparition.

Si on commence par l'hôpital, on pourrait demandé a une infirmière si quelqu'un la vue. Après, j'ai pas vraiment d'idée sur la suite de son chemin. La connaissant, elle aurait pue s’arrêter dans un magasin, elle se serait moqué de quelqu'un qui sait venger ? On pouvait se posé plein de question a son sujet et a son comportement pour trouver une piste.

Je dois rejoindre Charlie en ville. La disparition d'Ashley nous inquiète de plus en plus. Ce n'est pas normal, qu'elle disparaisse comme ça sans prévenir qui que ce soit, et sans même daigner répondre aux sms. Chacun de notre côté, on a vérifié, en vain, si elle n'était pas à tout hasard dans l'université. Le résultat n'étant pas franchement productif, on a donc décidé de se rejoindre en ville afin de poursuivre les recherches à l'extérieur de l'UE. Avec un peu de chances, on sera plus efficaces que ces crétins de policiers dont l'enquête et les interrogatoires n'ont mené à rien.

J'ai encore un coin à vérifier au moment où le rendez-vous avec Charlie s'organise. Ça m'étonnerait qu'elle se soit réfugiée autour du lac qui est près du parc, mais on ne sait jamais. Je vais donc y jeter un œil.

Et comme prévu, toujours pas de Bomond en vue. Je fonce donc en ville pour rejoindre mon ami. Je le retrouve à l'endroit où on s'est donnés rendez-vous une demi-heure plus tôt. Comme prévu, il y est déjà. J'espère ne pas l'avoir trop fait attendre. Ce serait plutôt dommage de partir pour une sortie tous les deux, sur un sentiment de tension. Déjà qu'on n'est pas franchement de très bonne humeur à cause de l'absence d'Ash, alors si en plus j'ai fait attendre le Charlot pendant des plombes, l'après-midi risque de ne pas être une partie de plaisir.

Je pense que l'endroit où l'on a le plus de chances de récolter quelques informations, c'est l'hôpital. Il y a forcément des témoins qui ont vu Ashley sortir du bâtiment quand elle est allée voir Dante. Il faudrait qu'on aille voir là-bas en premier lieu.

- Salut Charlie, t'es prêt ?, je lance à l'égard de mon ami, d'un ton léger afin de détendre un peu l'atmosphère. Je pense qu'on devrait aller voir à l'hosto, t'en penses quoi ?

En attendant tranquille Damon, je consultais mon téléphone portable. Je tentais de la joindre de nouveau, mais a chaque fois, je tombais sur la messagerie. Quand on la retrouvera et qu'elle verra son portable, j'étais certain quelle râlerait.

Au bout d'un moment, je remarquais Damon arrivé, nous étions tous les deux vraiment inquiets. Je savais que j'étais en bonne compagnie, mais c'était pas le moment de pensé à cela.

- Salut Charlie, t'es prêt ?Je pense qu'on devrait aller voir à l'hosto, t'en penses quoi ?

Je l'écoutais attentivement, c'est vrai qu'il fallait voir à l'hôpital. Je lui répondais que j'étais prêt et on se mit tous les deux routes. On marchait tout en scrutant les environs pour trouver le moindre indices qui pourrait nous indiqué ou est Ash.

En arrivant, vers l'hôpital je commençais a sentir mon sang glacé. Cela me rappelais quand même un mauvais souvenir en autre mon passé. Mais, je ne faiblissais pas d'un poil. On rentrai dans celui ci, on avançait vers l'accueil. Je me retournais vers Damon.

-On commence par l'accueil ou on va voir Dante ?

Je regardais l'hôpital, c'est pas un endroit que j'affectionnais beaucoup. A vrai dire, c'est pareil pour tout le monde.

J'aurais vraiment préféré retrouver Ash ici, que dans un endroit ou elle est toute seule et peut-être blesser. Et puis l'enquête de police, n'avançait pas beaucoup. Ils nous avaient interrogé et depuis plus rien. J'observais de nouveau mon portable, c'était stressant de ne plus avoir de nouvelle depuis plusieurs jours

Elle tentait tant bien que mal de se concentrer sur ses écrans d'ordinateur et de téléphone portable. Elle avait prévenu son petit protégé du stratagème mis en place, Owen allait donc se charger d'affaiblir les élèves visés par les SMS qu'elle venait de lancer sur les messageries de quelques élèves de l'UE. Eux, ou d'autres élèves. Ils sont tous dans son collimateur, de toute manière. Il suffit qu'ils aient quelque chose à cacher, une petite faiblesse, un faux pas inacceptable, pour qu'elle s'intéresse de près à eux. Quelques étudiants venaient de recevoir un SMS qui allait certainement très fortement les perturber ; il étaient les premiers, et loin d'être les derniers de la longue liste de noms qu'elle gardait précieusement dans ses dossiers.

Et grâce à l'enlèvement de Miss Bomond, tout le monde allait croire au fait que la brunette pourrait être la fameuse S. Ils auraient de quoi douter, en effet. Une fille qui aime se faire détester par les autres, qui lance des rumeurs sur les élèves pour son égoïste plaisir, et qui effraie par le vent glacial de terreur qu'elle jette à chaque fois qu'elle traverse un couloir : tous les éléments seraient réunis pour croire que c'est elle. Et l'identité de la véritable S n'en serait que plus protégée. Rien qu'à cette idée, elle sourît machiavéliquement.

C'était sans compter sur les hurlements et les plaintes de la contrefaçon de S, qui ne cessait de cracher son offuscation quant à la situation. Attachée à une chaise dans un coin de la pièce, les yeux bandés, elle grommelait encore et toujours, sans épuisement de sa part.

"Vous aurez des représailles de la part mon père ! Je me suis pas changée depuis trois jours, c'est inacceptable de me retenir dans de telles conditions ! Relâchez-moi, c'est ridicule !"

La jeune fille soupira et leva les yeux au ciel. Déjà trois jours qu'elle devait endurer les plaintes incessantes de la Princesse. Elle sentait que ses oreilles allaient finir par saigner et que sa patience allait bientôt atteindre ses limites.

On sonna alors. Elle alla ouvrir après avoir vérifié l'identité de la personne de l'autre côté de la porte dans le judas. Encore cet incapable de Tyler. Elle lui ouvrit, agacée.

- J'espère que ce que tu as à me dire est assez important pour me déranger, parce que je ne suis pas d'humeur.

"Des sources ont aperçu deux amis d'Ashley Bomond en ville il y a quelques minutes. Charlie Desting et Damon Howard. Il semblerait qu'ils soient partis à sa recherche. Ils se dirigent vers l'hôpital." répondit Tyler sur un ton saccadé, la respiration coupée par l'effort de la course.

- Bien. Reste dans les parages, j'aurai besoin de toi dans peu de temps.

Enfin les amis d'Ashley venaient la chercher. La jeune fille allait finir par croire que cet instant n'arriverait jamais. Soulagée de ne plus avoir à écouter les plaintes incessantes de son otage pour très longtemps, elle prépara la suite de son plan et appela ainsi l'accueil de l'hôpital.

- Bonjour, je souhaiterais parler à Charlie Desting et Damon Howard s'il vous plait...

Charlie accepte ma proposition d'aller à l'hôpital, et nous nous mettons donc en route. J'apprécie le fait de passer du temps avec Charlie, c'est vraiment sympa. Mais dans d'autres conditions que celles-ci, ç'aurait été idéal. Mieux vaut ne même pas penser à ce qu'il peut se passer avec lui pour le moment. Ce n'est pas pour passer du bon temps ensemble que l'on s'est retrouvés en ville aujourd'hui. Et c'est bien dommage, d'ailleurs.

On arrive alors enfin à l'entrée de l'hôpital. Le bâtiment m'arrache un frisson. Je déteste les hôpitaux. Sauf pour le cas des naissances, on n'y va que très rarement pour de bonnes raisons. Nous n'échappons pas à la règle, malheureusement.

"On commence par l'accueil ou on va voir Dante ?", demande Charlie.

- Plutôt par l'accueil, je pense, je réponds.

Nous nous avançons alors vers l'accueil et nous adressons à une secrétaire. Une blonde, la quarantaine, des lunettes posées sur le bout de son nez. Je décide de prendre la parole.

- Bonjour, je suis Damon Howard et voici Charlie Desting, je nous présente. On recherche une jeune femme aux environs des dix-huit ans je crois, brune, à peu près grande comme ça. Je donne un ordre de grandeur à l'aide de ma main. Elle serait passée il y a trois jours à cet hôpital pour rendre visite à un certain Dante Kunis, est-ce que ça vous dit quelque chose ?

La femme écoute attentivement notre demande, et alors qu'elle est sur le point de nous répondre, elle est interrompue par le téléphone de l'accueil qui sonne.

"Un instant, s'il vous plait." Elle décroche. "Oui allô ? Qui donc ? Euh... Oui, je vous les passe."

Son regard semble se perdre durant la courte conversation qu'elle entretient avec la personne à l'autre bout du fil. Intriguée et hésitante, elle nous tend le combiné, annonçant que la personne veut nous parler. Je jette un regard à Charlie pour exprimer mon incompréhension, attrape le téléphone, et me rapproche de mon ami, collant le combiné à nos deux oreilles afin que nous puissions entendre correctement tous les deux la conversation.

- Allô... ?
"Howard et Desting. Les inséparables. J'ai cru comprendre que vous cherchiez votre petite amie Ashley..." affirme la voix sur un ton énigmatique et malicieux.

A l'arrière, on peut entendre la voix d'Ash qui ne semble pas vivre une partie de plaisir. Ce son m'arrache un frisson de dégoût envers notre interlocutrice qui a l'air de la détenir. Je m'abstiens de répondre. Elle enchaine.

"Ça fait trois jours qu'elle me pousse à bout, votre pote. Si vous ne la récupérez pas maintenant, vous risquez de ne plus la revoir, parce que je risque de faire un carnage si elle continue à me casser les oreilles. Alors venez la chercher dans dix minutes au café en face de l'hôpital, je vous la rends. Mais si vous me faites la surprise de prévenir les flics, c'est bien simple : je la bute. Allez je vous embrasse mes amours, à plus tard."

La personne raccroche. Je reste sous le choc de l'appel quelques instants après avoir rendu le combiné à la secrétaire.

La secrétaire de l'hôpital décrocha. Comme prévu, les deux jeunes hommes étaient juste à côté. Elle sourît alors, et entama la discussion.

- Howard et Desting. Les inséparables. J'ai cru comprendre que vous cherchiez votre petite amie Ashley..., commença-t-elle.

Elle s'attendait à une certaine réponse de la part de ses interlocuteurs. Mais c'est le silence qui suivît à l'autre bout du fil. Elle enchaîna alors, tentant de couvrir les grommellements d'Ashley en arrière-plan.

- Ça fait trois jours qu'elle me pousse à bout, votre pote. Si vous ne la récupérez pas maintenant, vous risquez de ne plus la revoir, parce que je risque de faire un carnage si elle continue à me casser les oreilles. Alors venez la chercher dans dix minutes au café en face de l'hôpital, je vous la rends. Mais si vous me faites la surprise de prévenir les flics, c'est bien simple : je la bute. Allez je vous embrasse mes amours, à plus tard.

Elle raccrocha après ces mots. Elle était soulagée de savoir qu'elle n'entendrait bientôt plus la voix stridente de l'insupportable et têtue Ashley Bomond. Elle s'approcha d'ailleurs du coin de la salle dans lequel la brune était attachée. Pas après pas, le bruit de talons de la jeune fille résonnait sur le sol comme à l'annonce du jugement dernier.

Elle s'approcha tout près d'Ashley et lui chuchota quelques mots à l'oreille.

- J'espère pour toi que tes potes ne vont pas faire de conneries, ça pourrait te coûter cher... Et au fait, n'oublie pas : tu n'as aucune idée de ce qu'il t'est arrivé pendant tout ce temps, d'accord ?

Elle appela ensuite Tyler pour que ce crétin se rende utile. Elle lui ordonna de conduire Ashley jusqu'au café en voiture, en prenant bien soin de couvrir les plaques d'immatriculation pour ne pas se faire repérer.

Ce dernier s'exécuta. Il détacha l'otage sans lui débander les yeux ni les mains, et l'amena jusqu'à la voiture, non sans difficulté. En effet, la brune tentait de se débattre inutilement. Le pauvre jeune homme prit d'ailleurs quelques coups. L'autre fille observa les démarches, jusqu'à ce que la voiture démarre enfin en direction du café. Elle put alors enfin apprécier la douceur du silence.

Avec Damon, nous étions à l’accueil de l’hôpital. Je lui avais demandé s’il voulait qu’on aille voir Dante ou demandé à la secrétaire. Il me répondait : la secrétaire.

Il nous présentait à l’hôtesse d’accueil, peu de temps avant que le téléphone ne sonne. Elle avait l’air assez bizarre dans son regard, elle nous donnait celui-ci. On entendait une voix plutôt désagréable, peu rassurante mais oui c’est cette foutu S. J’étais sur que c’est elle la coupable.

- Howard et Desting. Les inséparables. J'ai cru comprendre que vous cherchiez votre petite amie Ashley... Ça fait trois jours qu'elle me pousse à bout, votre pote. Si vous ne la récupérez pas maintenant, vous risquez de ne plus la revoir, parce que je risque de faire un carnage si elle continue à me casser les oreilles. Alors venez la chercher dans dix minutes au café en face de l'hôpital, je vous la rends. Mais si vous me faites la surprise de prévenir les flics, c'est bien simple : je la bute. Allez je vous embrasse mes amours, à plus tard.

Vous savez qu’Ashley n’a pas sa langue dans sa poche. J’étais vraiment sure qu’elle devait lui tapé sur le système, même moi à sa place je voudrais la tué mais je le ferais pas. J’appréciais cette fille et surtout Damon mais chut !!

Je regardais Damon, j’étais tout de même inquiet. Ce qui m’inquiétait, c’était que l’on soit mené en bateau par cette personne.

-On y va ?

J’attendais pas la réponse de Damon et me mettais en route vers le café. J’avais presque l’envie de courir pour être sur d’arrivé à temps. Je savais très bien que le café était a côté de l’hôpital, mais j’étais vraiment trop inquiet pour elle. J’avais une envie de la serré dans mes bras, même si je pense qu’elle ne sera pas vraiment d’accord.

Une fois le téléphone raccroché, Charlie me regarde, l'air inquiet. Il me demande s'il faut qu'on y aille. Évidemment, qu'il faut. On ne sait pas du tout ce qui nous attend, mais il faut qu'on sorte Ashley de ce pétrin. J'inspire un grand coup afin de remplir l'intégralité de mes poumons d'un air de courage.

- Ouais, faut bien qu'on y aille ouais, je réponds en soupirant.

Je rends son regard à Charlie, lui souris, et le prends dans mes bras pour nous motiver. Et aussi parce que j'en crevais d'envie depuis longtemps. Mais ça, c'est une autre histoire qui n'a rien à faire ici pour le moment ahah.

Nous sortons alors de l'hôpital et nous dirigeons d'un pas précipité vers le café. Il n'est pas très loin, mais je préfère y aller le plus vite possible afin de ne pas être en retard. On ne connait pas les gens qui détiennent Ash, on ne sait pas s'ils sont patients ou non, s'ils ont l'habitude d'être en avance aux rendez-vous ou plutôt très ponctuels, on n'en sait rien. On ne sait même pas s'ils sont plusieurs ou s'il ou elle est seul(e). Donc mieux vaut y aller au plus vite, et attendre si nécessaire. Et surtout, surtout, ne pas appeler la police. On ne sait pas de quoi ils sont capables.

- Bon, nous y voilà, y a plus qu'à attendre maintenant, je lâche une fois arrivés devant le café.

Le ciel commence à s'assombrir, la nuit apparait. Le temps se refroidit un peu, m'arrachant un nouveau frisson. L'ambiance est pesante, j'ai hâte de voir Ashley revenir enfin.

Très surpris de la réaction de mon cher ami Damon, il m’a pris dans ses bras avant de partir au café. C’est vraiment agréable, et si c’est possible je souhaite que ça recommence. Mais bon, nous ne sommes pas dans un bon moment pour pensé à cela.

- Bon, nous y voilà, y a plus qu'à attendre maintenant.

Maintenant, nous devions attendre. L’attente est longue, très très très longue, c’est vraiment horrible de ne pas savoir comment on va la retrouver, encore moins si elle est blessée ou pas. Je finis par m’assoir sur le trottoir en attendant, je ne regardais pas Damon, j’essaie juste de voir qu’elle serait la voiture ou le camion qui la déposera.

Un ciel assombrir, je ne suis pas superstitieux mais on peut croire a un mauvais signe, mauvais présage à vous glacer le sang. Ashley revient nous très vite en bonne santé, c’est tout ce que je voulais. Vous imaginez si elle eu un problème même on est près de l’hôpital.

-C’est extrêmes long !

Je finis par me relever, quand soudain une voiture s’arrête près de nous. Celle-ci a les vitres teintées, elles sont si noires, qu’on ne peut rien voir. La portière s’ouvrit et une personne tombe sur le sol. Très rapidement, ils partirent a toute vitesse en l'abandonnant sur le sol comme une merde. Elle venait d’être balancée sur le béton. C’est une brunette, et même mieux Ashley. Un cri sortis de ma bouche.

-ASHLEY !!

Je me précipite vers elle a fin de voir si elle n’a vraiment rien.

-Tu vas bien ?

Je ne sais pas si j’attends vraiment une réponse de sa part, tellement je suis heureux de la retrouvé. Je pense que c’est pareil pour Damon.

Après quelques interminables minutes d'attente qui me parurent des heures, une voiture aux vitres teintées arrive enfin. La portière s'ouvre, alors même que la voiture ne s'est pas complètement arrêtée, et crache une brunette qui s'affale sur le sol, avant de repartir de plus belle en faisant vrombir le moteur à toute allure. Charlie, qui était jusqu'ici assis sur le trottoir, se relève d'un coup et hurle le prénom d'Ashley. Je me précipite à leur côté pour venir en aide à notre chère amie. Cette dernière se relève non sans difficulté, puisque ses mains sont nouées et que ses yeux sont bandés, la pauvre.

"Espèce de garce mal foutue, c'est pas comme ça qu'on fait descendre une demoiselle !" crie-t-elle en direction de la voiture qui disparait peu à peu de notre champ de vision.

Tandis que Charlie lui demande si elle va bien et qu'elle répond négativement et furieusement, je retire le bandeau qui lui entoure le visage et lui détache les mains. Je ne devrais pas rire, mais la voir gigoter comme une furie sans savoir où regarder était très marrant ahah. Je suis tellement euphorique de la retrouver, que je ne parviens pas à prendre la situation autrement qu'à la légère.

- Bordel Ashley, tu nous as manqué !, je lâche, un énorme sourire encré sur mon visage, avant de la prendre dans mes bras, attrapant Charlie au passage pour un câlin collectif.