Roman.

Ecoute toujours sa musique et écoute aussi Jennyfer tout en lui tenant la main, pense a Emily toujours et encore. Elle s'est bien foutu de moi surtout quand je lui est dis que j'étais Stérile, j'en ai marre, moi aurais bien aimé plus tard avec des enfants être papa, mais impossible. Pense a autre chose a se sortir ses imbécilité de sa tête même si sa reste assez dure. Regarde Jennyfer et l'embrasse sur le front.

.Bastien.

Sacré Alice ! Après m'avoir embrassé, elle me mit tout de même une claque. Mais j'ai subit pire, comme cette projection au sol d'hier. Au moins, elle c'était défoulé et je la mérité, donc je ne dis rien. Je souris largement après et lui dis :

- J'ai vécu pire, catwomen. La prochaine fois, vise plutôt les tibias avec ton pied, comme tu l'as fait avec Cassie, ça fait plus mal.

Je lui enlevai une mèche qui lui barrais le visage. Saleté de vent, on ne peut même plus discuter tranquillement sans que tu mette ses cheveux en travers de son visage si joli à regarder.

.Bastien.

Non je ne vise pas haut ! Si un petit peut tout de même car elle est loin d'égaler Catwomen en matière de combat. Chacun sa spécialité moi je dis ! Mais je ne regrettai pas du tout ma réflexion, et je souris de plus belle, attendant à être de nouveau handicapé à vie et de devoir rester sur ce banc jusqu'à l'arrivé du samu. Bon, j'exagère un peut la. Mais elle m'embrassa de nouveau et je lui rendis bien son baiser. Elle était tellement belle, mais imprévisible. Soudain, alors que je la regardai, mes yeux furent attirer par deux jeunes gens assis sur un banc non loin. C'était Roman. Il était avec une jeune fille que je ne connaissait pas et ils avaient l'air de bien s'entendre tous les deux. J'en suis ravi pour lui ! Je reposai mes yeux bleus sur Alice et l'embrassai de nouveau avant de lui sourire.

.Bastien.

Gentille, elle ? Elle m'a mis une claque tout à l'heure, non ? C'est plutôt moi le gentil, non ? "Non, toi tu l'as mener en bateau tout à l'heure, et c'était pas du tout gentil, ça." Je t'ai dis de te taire, petite voix dans ma tête. Mais tu as raison, je ne suis pas plus gentil qu'elle. Puis je lui répondis :

- Oui, je suis aussi très chanceux d'être avec toi, car imagine si j'avais été avec Dina ? L'horreur !

Et je le pensai sincèrement maintenant. Au début, je l'avais trouvé sympa comme fille, mais plus maintenant. C'était une petite pétxsse qui passe son temps à ruiner la vie des gens pour son propre compte.

.Bastien.

Elle m'expliqua que tout le monde se faisait avoir par elle. En même temps, c'est une personne qui te met tout de suite à l'aise. Mais quand tu découvre ce qu'elle fait. Très vite, on ne la regarde plus pareille. Elle m'embrassa de nouveau. Décidément, elle ne peut plus s'en passer ! Je rigole. Je lui répondis avec un sourire :

- C'est parce que tous sont des petites natures qui ne réfléchisse pas plus loin que le bout de leur nez, et qui, donc, ne savent pas analyser. Ils ne feront jamais de bons scientifiques tous ces gens !

La dernière phrase, je la dis sur un ton ironique car c'était juste pour plaisanter. Peut être que si, ils deviendront scientifiques, mais on s'en fiche un peut.

.Bastien.

Pour moi, le principal, c'est qu'elle soit heureuse. Même si pour l'instant, je n'arrivai pas toujours à ce qu'elle soit heureuse a cause de gens plus qu'agaçant, on arrivait toujours à se trouver des petits moments sympas comme celui ci ou on peut rigoler ouvertement. Puis soudain, je lui dis :

- Si un jour, je dois être rapatrier en France pour X raisons, tu feras quoi dans ce cas la ? Je sais, c'est un peut bête et sombre comme question, mais ta réaction de tout à l'heure m'a toucher et j'aimerai vraiment savoir ce que tu ferais dans ce cas la.

Roman.

Je marchais avec Jennyfer qui était contente, mais moi c'était déjà moins le cas. Puis je la lâche et partis m'assoir. Elle me regardait puis vient s'assoir a côté de moi. Elle essayait de me réconforté, avant de la repoussé doucement. Je pris ma tête avec mes mains et ne comprenais toujours pas pourquoi elle était partit. J'en avais marre, j'aurai aimé être heureux avec Emily mais elle avait préféré quelqu'un d'autre. Je regardais Jennyfer et m’excusais de l'avoir repoussé. Je vis plus loin Alice et Bastien qui était vraiment complice tout les deux. Ils avaient beaucoup de chance, moi qui avait toujours dit non aux filles pour trouvé la bonne. Et celle que j'avais trouvé m'avait complètement largué chez moi sur le canapé.

.Bastien.

Whaou, la vache ! Je crois bien que je ne méritais vraiment pas une fille aussi fidèle. Je n'aurais jamais penser que quelqu'un pouvait se mettre dans un tel état a cause de moi, sauf mes parents peut être. C'est tout de même bizarre le pouvoir de l'amour. Je répondis ensuite à sa question :

- Non, juste comme cela. Mais tu te métrais vraiment dans un tel état, juste à cause de moi ? Punaise... Et tu viendrais avec moi en France si je te le demandai ?

.Bastien.

Une mongole... Tu viens de Mongolie ? Non je plaisante. Bien sur que non, elle n'est pas une mongole ma petite Alice. Certes, elle pleure un peut tout le temps et on ne sait pas trop pourquoi, mais, c'est je pense, parce qu'elle à souvent était rejeter... Non en faites, j'en sais rien, et j'arrête de chercher à comprendre, sinon mon mal de tête va revenir plus tôt que prévu à ce rythme la. Mais elle serait prête à venir en France ? Ça serait génial qu'elle vienne avec moi pendant les prochaines vacances, comme cela je lui ferais visiter ma ville natale...

- Il faut que je négocie, mais ça te dirais d'aller en France avec moi la prochaine fois que j'y retourne ?

.Bastien.

Alice était plutôt réservé quant à venir en France, pensant que j'y allais pour voir ma famille plutôt qu'autre chose. Oui, c'était pour voir ma famille, mais rien ne l'empêchait de venir si elle en avait envie, surtout que mes parents sont plutôt cool quand il s'agit d'inviter des amis à la maison. Surtout qu'on à une chambre d'ami en cas de besoin et ma chambre est assez grande pour accueillir un matelas. Je lui répondis :

- Non t'inquiète, j'aime beaucoup ma famille, mais mes parents comprendront certainement si tu viens et se feront une joie de t'accueillir. Le problème va plus être pour les billets. Mais je trouverai une solution.

.Bastien.

Déjà ? Que je temps passe vite ! J'avais hâte d'être dans l'avion moi ! Surtout que Paris l'automne, c'est magnifique, mais toujours aussi bruyant. Et oui, les désavantages de vivre dans une grande ville, c'est qu'il y a beaucoup de bruits, mais on s'y habitue à la fin. Je lui répondis d'un sourire :

- Déjà ? Trop bien. Ça passe vite tout de même, le temps. On aura deux semaines pour visiter Paris... Faut qu'on aille en haut de la Tour Eiffel, ça fait longtemps que je n'y suis pas monter. Et j'irai bien aussi au Palais de la Découverte, il y a pleins de choses à faire la ba... Bon j'arrête avec mes trucs. C'est toi qui choisiras ce que tu voudras faire.

.Bastien.

Une expert : normal je suis parisien depuis tout petit. Bon, il faudrait que j'établisse une liste des monuments à visiter durant les deux semaines à venir et en parler avec Alice. Mais avant tout de chose, il faut que j'en parle à mes parents, c'est tout de même primordial. Bon sinon... A tiens, voila Mikel ! Il me salua et me demanda comment allait ma cheville.

- C'est cool que tu sois la ! Ba ma cheville à quelque peut dégonfler. Mais bon c'est pas encore cela. Mais je devrais vite m'en remettre, sauf si Alice me casse encore quelque chose.

Je jetai à Alice un regard lourd de sous entendu avant de sourire puis de regarder de nouveau Mikel.

- Qu'est-ce que vous avez bien pus encore faire tout les deux ?

- Au rien du tout, on discute juste de nos vacances.

.Bastien.

Alice ironisa en disant que je la faisais passer pour la maison. Je souriais et la regardai. Mais non, je ne te fais pas passer pour la méchante ! Quoi que si, un peut... Non je rigole. Mikel nous regardait l'air de se dire : "ils sont fou tout les deux", ou quelque chose comme cela. Je répondis donc :

- Mais non Alice ! Tu n'es pas la méchante de l'histoire !

C'est plutôt Dina avais-je envie de rajouter, mais je ne le fis pas tout de même.