Aujourd’hui je vais revoir ma chère amie qui se prénomme Aria, vous savez c’est une petite blonde qui a un sale caractère quand s’y met. Un vrai cochon ! Malgré son caractère, je l’aime beaucoup avec un petit A mais pas le grand A d’amour mais le A d’amitié. C’est une fille qui ne se prend vraiment pas le chou et c’est ce qui est vraiment super. On peut discuter, partir dans des délires sans savoir exactement le pourquoi. Et puis il existe des relations filles garçons sans forcément le mot amoureux qui apparaisse la preuve, avec Aria il n’y aura rien de toute façon je crois que je me serais surement fais tué par mon frère qui n’aurait peut-être pas accepté que je fricote avec elle.

Voilà que ce matin je me suis levé de très bonne humeur, je me prépare comme d’habitude je ne suis pas presser. Je me presse en règle général que quand j’ai natation, en gros tout ce qui touche à l’eau en même temps c’est mon domaine, ma spécialité quoi. Après une bonne douche, je finis par m’habiller toujours dans la simplicité comme tout le temps. Pourquoi faire compliqué quand on peu faire simple ? Certaines personnes prendront la difficulté quand d’autres prennent la facilité. On pourrait faire un long débat sur ce sujet, mais je n’en ai vraiment pas le temps de blablater sur ça. Et puis, tout ce qui me demande de réfléchir je le proscris, je hais la réflexion tout comme la philosophie on me changera pas.

Totalement près, je descends les nombreuses marches des dortoirs bah oui évidement nous sommes au derniers étages tant qu’à faire. Moi j’aurais opté pour que ça soit les filles qui soient en haut, bah oui surtout quand vous voyez fille qui font des régimes sur régimes mais oubliez ça mesdemoiselles, vous devriez préférer faire du sport que de bourrez votre corps de cochonnerie de ce type. Et puis si celle-ci le souhaite, je pourrais devenir leurs coach sportif… n’aller pas croire que c’est pour me les faires non mais plutôt pour rire, m’amuser, prendre du bon temps en « bonne compagnie ».

Une fois en bas des marches, je décide tout de même de passer par le self histoire d’avoir un petit quelque chose dans l’estomac afin que celui-ci ne se mette pas à gargouiller en retrouvaille depuis deux mois de vacances. Voilà un petit casse croute dans le ventre, je me bouge enfin à arriver au parc. J’avais côtoyé le sol de la cours, celui-ci ne m’avait vraiment pas manqué dire que la dernière fois j’ai tout même oublié d’aller nager.

Je m’assois sur un banc du parc, j’observe le paysage de celui-ci. Franchement les paysages que j’ai côtoyés pendant les vacances me manquent. Vraiment différent de celui-ci du Canada, mais je suis tout de même content d’être de retour ici. Je l’attends sagement et tranquillement, je crois qu’on a des choses à ce dire surtout sur cette nouvelle.

Ok, soit! Je crois que je n'aurais peut être pas du lâcher au frère Foster la nouvelle plutôt impressionante. Je ne sais pas où cela nous mènera, Adam et moi. Mais bon, je crois qu'Eliott était un très bon ami, très compréhensif, donc. Mais bon, c'est le frère d'Adam, donc c'est un peu chaud-chaud. Mais bon, on se prend pas la tête, après, ce sont des faits. On va pas mourrir d'un caca qui arrache une larme, comme je viens de créer l'expression..

Ceci dit, nous nous étions donné rendez-vous, Eliott et moi. A vrai dire, cela faisait assez longtemps que je n'avais plus vue sa sale gueule. Cette gueule, d'ahuri innocent qui est un matcho suprêmement gentil et génial. Hein, soyons d'accord je l'adore ce type. C'est un pote hors norme. Ouais, vraiment pour rien au monde je l'échangerais. Enfin, si je peux avoir des macarons en retour, y'aurait plu d'hésitations. Y'a des limites à tout, hein!

Enfin bon, c'est facile de réfléchir étalée comme un cachalot sur son lit, mais l'heure tourne et le temps se diminue avant notre rendez-vous. Faut donc se bouger la graisse, Sky.

Allez, je met de côté ma flemmardise et me lève de mon lit douillet, tant en harmonie avec la température de mon corps. Ce que j'ai froid, putain. C'est horrible quand on se décolle d'un endroit si chaud, si chaleureux. Allez, pas de déprime. J'alla donc vers ma salle de bain et me prépara, assez machinalement. Et, j'enfila un slim, un pull blanc et enfila mes converses avec peine. Trop la flemme. Mais je fus prête en 20 minutes. Pas mal. Je me munis donc, en dernier lieu de mon sac et passa le seuil de la porte.

Je pris le chemin du parc sans tarder, le sourire bête dessiné sur mon visage. Je me sentais contente de retourver Eliott.. argh. Il m'avait manqué. Fuuuh, jamais j'lui dirais ça. Qu'il rêve ! Mais une fois à sa hauteur, dans ma tête ce fut la joie, et sur mes lèvres un sourire aussi mesquin que d'habiude. Je lui dis d'une voix moqueuse mais amusée :

Mais quelle tronche que t'as.

Mais quelle tronche que t'as.

Tiens tiens, c'est surement ma sale pote d'Aria vous savez c'est ma grosse Morue d'amour. Je l'aime beaucoup cette fille mais voilà je vais devoir faire attention à ce que je vais pouvoir dire maintenant. Au pie, mon frère ne me dira rien si je traite sa copine de poisson. Il sait parfaitement qu'on s'apprécie et que c'est notre moyen à nous d'exprimé notre amitiés.

-Parce que tu crois que la tienne est mieux ?!

Je me suis levé en même temps que je lui parlais. Tout en la regardant je m'approche d'elle pour lui dire bonjour à ma façon. Je savais absolument qu'elle ne supporterait pas ce que je vais lui faire. Un petit shampoing à la Eliott. Lui chiffonne les cheveux, afin de lui mettre en vrac.

-Qu'est ce que t'as tête ne ma pas, mais alors pas du tout manquer Miss Levis !

Bien sur je disais le tout avec le sourire, un vrai sourire. Je suis vraiment ravie de la revoir, même si quelque fois sa tête me donne des envies de meurtre, je l'apprécie énormément.

-Alors tes vacances ? Elles se sont bien passées j'espère ?

Si un jour, ils viennent à se séparer, j'aurais deux personnes à ramasser à la petite cuillère. Mais dans tous les cas, je soutiendrais en premier mon frère. Aria est certes une très bonne amie, mais mon frère c'est mon frère. On est uni par le sang, par notre famille, complètement uni. On est soudé. Il faut qu'on se revoit, faut aussi qu'on se parle. Et puis qu'on se raconte nos vacances sachant qu'on était chacun de notre côté.

Je suis quand même plus grand qu'elle, d'environ une dizaine de centimètre. Mais comme dit le diction "tout ce qui est petit est mignon et tout ce qui est grand est charmant". Vous avez quand même pas cru que j'allais dire : "tout ce qui est grand est c*n". Je suis pas comme ça, je suis tout a fais ravissant.

Parce que tu crois que la tienne est mieux ?! me répliquait l'andouille d'Eliott, tout en se levant.

C'est une évidence sale fishtick! Bien sûr que la mienne est mieux. Poôh, contrairement à toi je suis agréable à regarder. Y'a plus de modestie quand j'dois me comparer à toi, vieux crouton mélancolique!

Voilà que je le voyais s'approcher de moi, j'avais une lueur d'espoir que cette fois-ci il n'allait pas m'ébourrifier la tignasse, mais apparemment ce gros con n'a pas fait l'effort de changer ses habitudes. A noter dans ses putains de résolutions 2015! Enflure! Je m'écartais donc de lui, exaspérée, déjà. Je le regardais et marmmonais des injures tout en remettant avec peine mes cheveux normalement.

Qu'est ce que t'as tête ne ma pas, mais alors pas du tout manquer Miss Levis !

Toi non plus sale merde! Tu viens encore de m'énerver. Je ne laissais donc pas mon soupir de d'énervement se retenir, et je soupirais, encore et encore. Je lui cogna l'épaule amicalement, enfin j'aurais dis, plutôt que je fis une tentative pour lui faire mal, hein.. Bref. J'y arriverais pas, ce grand dadet, là. Haut comme la tour eiffel. Je grommelais toujours, toute seule, boudant.

Alors tes vacances ? Elles se sont bien passées j'espère ?

Tiens, quand même des paroles sensées je dirais. Mes vacances ? A vrai dire, non, elles avaient très mal commencés et je n'ai que me morfondre ensuite. L'histoire avec le péteux de Foster, hein, bien entendu. Mais bien sûr, je n'allais pas dire cela à Eliott, c'est plutôt gênant, puisque c'est son frère et tout. Donc, j'allais me contenter de mentir, comme je l'ai souvent fait dans ma minable vie, avec un sourire véritable.

Elles étaient assez bien. Et toi, vieux machin ?

Elles étaient assez bien. Et toi, vieux machin ?

Je suis sur quelle ne dit pas toute la vérité cette Miss Levis. Mais bon c'est Aria, la grosse larve elle est toujours la à cacher des trucs. J'espère juste qu'ils vont pas se jeter comme des merdes. Je connais mon frère mais aussi Aria. Depuis le temps qu'ils se tournent autours ses deux là. Franchement il était temps.

Mes vacances ? A vrai dire elles ont déchiré, c'était vraiment cool et puis n'oublions pas les fêtes, les filles, les bonnes parties de rigolade.

-Franchement, c'était super. Je me suis bien amusé la bas, entre fêtes, potes, les rigolades, si on me propose d'y retourné je dis oui immédiatement. Qu'est ce que tu as fais ?

Je suis chieur mais pas tout le temps, et puis faut bien que je me repose de temps en temps. Certain le son H24, mais moi je peux pas c'est bien trop fatiguant. Bien sur avec d'autre le suis comme avec ma pote Rob mais je suis pire avec Aria. On se jette des insultes à la tête, alors qu'avec Rob c'est plutôt a chahuter que de s'insulter. Et puis avec mon frère c'est pas pareil.

-Ne crois pas non plus que c'est pas parce que tes la copine à mon frère que je vais être moins avec toi ! Bien au contraire !

Avec mon sourire moqueur, je sais qu'elle va se venger à sa manière la petite. Mais au moins c'est drôle pour moi, peut-être pas pour elle. Elle s'y prend au jeu dans tous les cas.

Franchement, c'était super. Je me suis bien amusé la bas, entre fêtes, potes, les rigolades, si on me propose d'y retourné je dis oui immédiatement. Qu'est ce que tu as fais ?

Ah bah tant mieux le grand con. Au moins, tu sais faire quelque chose, la fête. Enfin, je n'ai pas encore pu jugé, donc. Qu'est-ce que j'ai fais.. En réalité, je me suis morfondue, seule, j'ai mangé des macarons devant mes séries préférées, j'suis sortie me balader, seule, encore une fois, j'ai été m'acheter quelques nouveaux fringues, seule. Toute seule, en fait. J'ai juste vu Adam quelques fois, hahaaa..

Je soupirais et lui répondis donc.

Aha, parce qu'Eliott fait la fête! Moi qui croyait que t'étais un gros coincé du cul, bah, disais-je en me moquant complètement de lui, puis je repris plus sérieusement, enfin j'essayais Bah moi, elles ont trop gérées mes activités, ok? Je suis restée collée dans mon fauteuil avec de la bouffe, j'ai été en centre ville, grande révélation, seule et j'ai vu ton con de frère, voilà. Génial, faut me l'épargner. je lui fis un clin d'oeil.

Ne crois pas non plus que c'est pas parce que tes la copine à mon frère que je vais être moins avec toi ! Bien au contraire !

Petit con! Toi, tu vas y passer sale enflure. J'ai pas peur de toi, j'ai pas peur de te faire caca dessus malgré que tu sois le frère à mon copain! Ok, rien ne va changer, tas de merde insane. Je soupirais et lui grimaçais. Je m'approchais de lui et lui pris son bras, commençant à faire une brulure indienne de toutes mes forces. J'avais un sourire sadique sur les lèvres.

Tu l'aurais mérité! Tas de merde, va.

Aha, parce qu'Eliott fait la fête! Moi qui croyait que t'étais un gros coincé du cul, bah, Bah moi, elles ont trop gérées mes activités, ok? Je suis restée collée dans mon fauteuil avec de la bouffe, j'ai été en centre ville, grande révélation, seule et j'ai vu ton con de frère, voilà. Génial, faut me l'épargner.

J'écoutais la Aria, avec son ton moqueur. Si j'étais si méchant que ça, elle aurait ravaler sa fierté un bon coups de pompe dans son jolie mais à la fois moche derrière. Je sais pas comment mon frère fais pour la supporter souvent celle la. A peine 5 minutes et j'ai envie de me pendre. Non, c'est pas vrai, vous savez tous qu'Aria je l'apprécie vraiment même si elle a un putain de caractère de cochon. C'est peut-être elle Peggy la cochonne, son caractère, sa tête oui sa tête tout court ressemble à celle de Peggy.

-Chers Aria, je t'emmerde ! Moi en tout cas, j'ai passé de bonne vacance à m'amuser et non à avoir le cul bloquer dans un fauteuil !

Elle m'attrape le bras, cette grosse vache et elle me tourne la peau. Ah mais c'est qu'elle fais mal cette vieille folle. Je la repousse afin qu'elle arrête, mais elle est tenace et ne veut pas me lacher. Alors je lui frotte les cheveux, je sais qu'elle déteste ça.

Tu l'aurais mérité! Tas de merde, va.

-Moi un t'as de merde ?! Tu as surement oublié de te regarder, la petite !

Faut pas croire qu'on se déteste, au contraire on s'apprécie mais à notre façon. C'est vrai que c'est très particulier mais on fait ce qu'on veut. On est des grands enfants maintenant. Et puis tant qu'elle fait pas de mal à mon frère ça va. Parce que la si on me demandais de choisir entre elle et lui, je choisis directe la famille. C'est pas qu'elle peut crever, mais tout presque si ça devient le cas.

Chers Aria, je t'emmerde ! Moi en tout cas, j'ai passé de bonne vacance à m'amuser et non à avoir le cul bloquer dans un fauteuil !

Ahaha, ok, ok. Mais c'est bon, quoi, Eliott, ouais pour une fois que je l'appelle par son prénom, faut pas te la péter comme un bourgeois parce que t'as passé des vacances entre les fêtes et tout, et sûrement aux bras de thons. Franchement, t'es pas le seul crétin à faire ça, hein. Je le regardais, haussant les yeux au ciel et ayant un sourire moqueur, en pouffant de rire par la suite.

Du à la douleur, le Foster II essayait de me repousser, mais en vain. Y'a trop de force en la petite Sky, faut pas coire, ici. Mais j'y avais pas pensé, cette enflure avait encore une main de libre. Et ce gros enfoiré l'utilisa pour à nouveau ébourrifier mes cheveux violemment. Ohoh, tu es condamné Eliott Foster ! Connard, à la con, tu mériterais d'avoir des croutes anales toute ta vie, qui t'arracheraient à chaque fois une larme dès que tu irai aux toilettes.

Moi un t'as de merde ?! Tu as surement oublié de te regarder, la petite !

Je le regardais, et croisais mes bras, parce que je boudais. Je lui fronçais les sourcils et ensuite, j'cracha sur ses jolies petites chaussures. Je fini par le regarder à nouveau, et je souriais malicieusement, fière de mon coup. Je le tapais amicalement. En fait, j'prenais ça comme un concours de celui qui faisait la plus grosse connerie à l'autre. Les bras croisés et l'air provocateur, je lui demanda :

Alors, tu peux faire mieux? Sache que si tu fais mieux, j'ferais encore mieux, pire après. Donc, t'aventures pas là-dedans, Foster le bourgeois.