Sujet: Roman et Graphisme, que suis-je ? Mar 22 Oct - 12:18
Histoire : Le tout pour le tout
Chapitre 1 :
Spoiler:
Cela faisait une heure que le train roulais, et je commençais en avoir marre d'être seule et assise ici. Mais bon, c'était pour aller trouvé du travail. En effet, je n'avais aucune qualification, sinon mon galop 7. J'avais travaillé un peut en temps que palefrenier dans un petit centre équestre à coté de chez mes parents, chez qui je vivais toujours. Je n'avais pas beaucoup d'argent et mes parents non plus. Ils travaillaient comme fonctionnaire tous les deux, mais bon, on peut pas dire qu'on était très riche. Et ils avaient tout sacrifié pour ma passion : les chevaux. Je leur devais tout, surtout la ou j'allais à présent. Car j'avais trouvé du travail ailleurs, dans un grand haras très connu de chevaux de dressage. J'avais très hâte de travailler la ba, surtout qu'en plus de mon salaire, j'avais gite et couvert. C'est pour cela que mon salaire n'était pas aussi grand que celui que j'avais avant, juste parce que le gite et le couvert était compris dans mon salaire. Bref, je pense que vous m'avez compris. Le train arriva enfin en gare. Je regardai par la fenêtre, puis pris mes valises et sortis du train. Une fois sur le quai, je regardai autour de moi. Quelqu'un devait venir me chercher, mais qui ? J'étais un peut perdue a vrai dire.
J'étais à présent toute seule, assise près de ma valise. Soudain un jeune homme arriva et s'approcha de moi. Je me levai tout de suite par respect. Il se présenta alors à moi :
- Tu es Alexia Dubois ? Moi c'est Pierre Duval, un des palefrenier qui travail au haras. On m'a envoyé te chercher. Tu veux que je t'aide à porter tes valises ?
Je n'avais fait qu'hocher la tête, incapable de dire un mot. J'avais commencer à désespérer, croyant qu'ils ne savaient pas que j'arrivai aujourd'hui, ou qu'ils ne voulaient plus de moi. Mais non en fin de compte. Je suivis donc Pierre jusqu'à la voiture et y déposai mes valises. Puis je pris place coté passager. Il me conduit alors jusqu'au haras. On n'échangea pas un mot, lui concentré sur sa route, et moi préférant regarder le paysage. On arriva alors enfin au haras au bout d'un quart d'heure, voir plus.
Il était composé de grandes et magnifiques bâtisses. Plusieurs magnifiques chevaux traversaient la cours, tenus en main ou monté. Ils étaient vraiment tous beau. J'avais vraiment hâte de m'occuper d'eux. Vraiment. Mais à ce moment la, j'étais loin de me douté de ce qu'il allait m'arriver. Une fois garer, je sortis mes valises et Pierre m'emmena alors dans ma nouvelle chambre. Elle était assez petite, mais j'avais au moins un lit et un placard pour moi. Il y avait un deuxième lit, ou d'autres affaires occupés l'espace. Surement une autre palefrenière qui allait partager ma chambre. J'étais contente, au moins je ne serais pas seule. Je posai rapidement mes affaires avant de rejoindre Pierre qui devait m'emmener aller voir le gérant, non du haras, mais des écuries, celui qui veillait à ce que le travail des palefreniers soit bien fait pour distribuer les tâches aussi. Enfin bref, c'est le second quoi, je ne sais pas comment vous l'appelez vous. Je redoutais cette entrevu car c'est la que tout allez ce jouer pour mon entrée ici. Mais j'étais encore très loin de me douter de ce qui allait se passait ensuite...
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Adhira J. Mukerji
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Sujet: Re: Roman et Graphisme, que suis-je ? Mar 22 Oct - 12:19
Chapitre 2 :
Spoiler:
Je suivais Pierre dans les écuries, regardant et admirant au passage les superbes animaux qui reposaient tranquillement dans leur box. Il y avait beaucoup de bais et de gris. J'avais très envie de m'occuper d'eux dès maintenant. Bon calme toi, il faut d'abord aller voir le chef des écuries. En chemin, Pierre me conseilla alors :
- Fait attention au chef, il est très stricte. Appel le toujours Monsieur et exécute du mieux que tu peux toutes les tâches qu'il te donne.
Je le remerciai pour ce petit avertissement. On était ou ici ? Dans l'armée ? Je croyais être arrivée dans un haras pourtant, pas au Cadre Noir ni à la Garde Républicaine. J'allais tout de même faire ce que Pierre venait de me dire, voulant à tout prix garder ma place car mes parents et moi avions fait beaucoup de sacrifice pour que je vienne ici. Je n'avais pas envie de les décevoir.
On arriva alors au bureau des palefreniers, enfin c'est ce qui était marqué sur la porte, mais je pense que c'est le bureau du chef. Pierre me dit d'attendre dehors et entra. Je l'entendis alors avertir de ma présence le patron. Puis il ressortis et me dis d'entrer, me souhaitant bonne chance. Je lui souris et entrai dans le bureau. Un homme d'âge mur se tenait derrière le bureau. Il me regarda de ses yeux noirs perçant, essayant de lire à travers en moi. Enfin, c'est l'impression que j'avais. Il portait la moustache et ses vêtements était ce qu'il y a de plus classique pour un palefrenier, robustes et sales. Je me tiens alors debout devant lui, attendant sagement qu'il me dise quelque chose, regardant le bureau plutôt que lui, ne pouvant soutenir son regard.
- Et bien jeune fille, comme cela tu veux devenir palefrenière dans notre haras, me dit-il d'une voix grave avec une pointe de sévérité. Il va falloir que tu travail dur si tu veux gagner ton pain, sache le. On n'accepte aucun laisser aller, tout doit être fait au millimètre. Comment appelle-tu et quel âge as-tu ?
- Alexia Dubois, 21 ans, répondis-je d'une voix timide.
- Tu as fait quelconque qualification avant de venir ici ?
- J'ai mon bac, tout mes niveaux d'équitation et j'ai un peut travaillé dans un centre équestre en temps que palefrenière. Mais sinon je n'ai aucun diplôme après le bac.
- Ouai... Bon, je vais te prendre une journée à l'essaie. Si ce soir je ne suis pas convaincu par la qualité de ton travail, tu ne seras pas prise. Aller au boulot. Pierre te dira quoi faire et te surveillera pendant toute la journée.
Je remerciai alors rapidement le chef avec un "Merci Monsieur" puis je sortis du bureau. Je cherchai alors Pierre et le vit un peut plus loin, une brouette à la main. Je le rejoignais donc et le lui demandai :
- On commence par quoi ?
- Pailler les boxes. Va chercher une fourche et une brouette dans la remise, ainsi qu'un balais, tu en auras certainement besoin. Je t'attends dans ces écuries la.
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Adhira J. Mukerji
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Sujet: Re: Roman et Graphisme, que suis-je ? Mar 22 Oct - 12:21
Chapitre 3 :
Spoiler:
Armée d'une fourche, d'un brouette et d'un balais, je rejoins alors Pierre dans les écuries. Il me dit quels boxes étaient à faire et je me mis aussitôt au travail. Pailler un box, à cette époque, je peux vous dire que c'était pénible et fatiguant, car on faisait tout à la fourche et à la brouette. On devait enlever toute la paille souillé, ne gardant que la paille à peut près belle dans le box. On jetait ensuite le fumier sur un gros tas à l'extérieur des écuries. Et une fois que le box était débarrasser de la paille sale, il fallait aller chercher de la paille propre dans la grange et la transporter avec la brouette jusqu'au box. Je peux vous dire que j'ai fais un nombre d'aller et venue incroyable et qu'au bout de 5 boxes, j'en pouvais déjà plus. Mais il fallait continuer, surtout que j'en avais une douzaine à faire. Aller Alex, tu peux le faire ma grande. Je me remotivais à chaque fois car il me fallait ce travail. Une fois les boxes finis, j'avais plus de bras ni de jambe. Mais Pierre me dit qu'il fallait encore faire les cuirs puis rentrer les chevaux qui étaient au paddock. Sans un mot ni une plainte, je le suivis jusque dans la sellerie et nettoyai tout ce qu'il me donnait. Lui aussi graissait brides et selles, assis sur un tabouret juste à coté de moi. Je pus ainsi observer ses traits. C'était un beau garçon tout de même, jeune, surement d'une vingtaine d'année, les cheveux bruns en bataille, les yeux bleu/vert, je ne sais pas trop. Il était lui aussi habillé d'un jean et d'une veste qui ne craint rien tout en étant confortable. Tout comme moi d'ailleurs. Bref, on s'en fiche de son goût vestimentaire. Il commença à parler le premier, me demandant pourquoi j'étais venu ici, comment j'avais connue les chevaux... Je répondais à toutes ses questions, en lui en retournant quelques unes. Il me répondait toujours avec un sourire fatigué.
Une fois les cuirs fait, ce qui m'avait un peu reposé, on partit chercher les chevaux dans le paddock. Il y en avait pleins. Il me donna les juments à rattraper ainsi que quelques hongres, m'indiquant lesquels c'était. Je pense qu'il ne voulait pas prendre de risque avec les étalons. J'attrapais un cheval par un cheval, le ramenant dans son box avant d'aller chercher le suivant. Pierre m'indiquait leur nom au fur et à mesure que je les rattrapais pour que je puisse le remettre dans le bon box. Une fois les chevaux rentrés, un cavalier ramena un cheval et me le donna sans se poser de question, me demandant d'en seller un autre. Pierre venait de rentrer son dernier cheval vient à ma rescousse, me disant ou le cheval que j'avais dans les mains aller et aussi qu'il se chargeait de seller l'autre. Je l'en remerciai et ramenai le cheval dans son box. J’ôtais soigneusement le matériel, vérifiant que le cheval ne c'était blessé nul part. Quand Pierre eu finit de seller le cheval, il me rejoint dans le box pour me dire ce qu'il fallait faire une fois le cheval desseller, c'est à dire : lui mettre une petite chemise, lui douchait les membres, les sécher et lui mettre des bandes de repos. Ok c'est partit. Je pris la petite chemise en coton qu'il y avait sur la porte et recouvris le cheval. Puis je lui mis un licol et l'emmenai à la douche. Je pris mon temps pour bien lui doucher les membres avant de ramener le cheval dans les écuries et de lui sécher les membres à l'aide d'une serviette. Pierre m'aidait à m'occuper de lui, me donnant toujours des petits conseils pour que ce soit fait dans les règles de l'art imposé ici. Une fois le cheval bandé et dans son box, je me tournai vers Pierre.
- Et maintenant ?
- Ba la vu qu'il est midi, on va aller manger puis après on doit aller vérifier les clôtures, sortir d'autres chevaux au paddock et préparer un box pour la venu d'un nouveau cheval.
On fit alors tout cela pendant le restant de la journée. Le cheval ne devait arrivé que demain mais c'était toujours mieux de préparer le box la veille. Arrivé le soir, j'étais exténuée. Demain, j'aurais mes résultats car le dirigeant des écuries, le second du propriétaire du haras et qui s'occupait à ce que les palefreniers fassent bien les choses et tout ça... était partit dans l'après midi. Après avoir pris ma douche et une fois sous les couvertures, je m'endormis comme une pierre, tellement fatiguée de cette première journée. Qu'est-ce que ça sera les autres jours ?
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Adhira J. Mukerji
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Sujet: Re: Roman et Graphisme, que suis-je ? Mar 22 Oct - 12:22
Chapitre 4 :
Spoiler:
On frappa à notre porte. J'entendis alors une voix avec un accent du sud dans ma chambre répondre :
- Oui on arrive.
C'était surement ma colocataire. A oui, je l'ai rencontrée hier soir avant d'aller me coucher et je ne l'ai même pas présenté. Elle s'appelle Isabelle et elle est d'origine du sud de la France, d'ou l'accent. Bon, faut que je me lève, j'ai du travail, enfin j'espère. Car le chef avait du partir en urgence hier en fin d'après midi du coup j'avais pus savoir si j'étais prise ou pas. Je m'habillai rapidement, un peut angoissé puis descendis avec Isabelle manger à la salle commune.
Une fois le petit déjeuné pris, on se dirigeait tout de suite vers le bureau du chef, enfin moi je l'appelai comme cela. En réalité, il s'appelait M. Bertignac mais pour moi, l'appeler chef, c'était plus clair dans ma tête. Une fois à son bureau, il donna toutes les tâches à faire au différents palefrenier. Je fus la dernière. Un peut stressé, je ne dis aucun mot. Ses petits yeux perçants me scrutèrent avant de me dire de sa voix grave :
- Bon pour vous, mademoiselle Dubois, Pierre m'a dit que vous pourrez être à la hauteur pour faire partit de chez nous. Donc je vous engage mais sachez que vous êtes sur un siège éjectable à tout moment et que si le travail est mal fait, vous serez directement renvoyée. Bon aller seller Marquis, il doit être monté par une cavalière dans une demi heure.
- Très bien Monsieur, merci monsieur.
Je partis alors en direction des écuries. Vu que je ne savais pas encore ou était les chevaux, je demandai à un autre palefrenier ou était Marquis. Il me l'indiqua rapidement avant de retourner à ses occupations. Bon courage ma petite Alex, des chevaux, tu en as préparé des centaines. Je me dirigeai alors vers le box de Marquis. Je vis alors un somptueux étalon noir au fond du box. A mon approche, il tourna la tête et me regarda. Il était vraiment beau. Je partis ensuite vers la sellerie pour prendre son matériel. Je le trouvai rapidement et le rapportait à son box.
Je décidai alors de le seller dans son box. Je brossai sa robe noire jusqu'à ce qu'elle brille, puis lui cura les sabots. Le cheval, très bien dressé, ne bougea pas d'un millimètre. Une fois tout beau, tout propre, je lui mis alors son tapis blanc de dressage sur le dos avant de posé la selle par dessus et de bien dégaroter. Je sanglais pas trop fort au début, je ressanglerai juste avant qu'il ne parte. Je lui mis aussi ses bandes de travaille blanche aux quatre membres. Puis je lui passai enfin la bride et ajustai la gourmette à l'anneau près. Bon ba voila mon grand, tu es tout prêt. Je ressanglai ensuite pour que la selle ne tourne pas. Sa cavalière arriva enfin et me dit de l'amenai dans la cours. Je le sortis alors de son box et l'emmenai à l'endroit qu'elle m'avait demander. Je lui tiens son cheval le temps qu'elle monte en selle puis m'écartais pour la laisser passer. Je la regardai s'éloigner vers la carrière quand Pierre arriva et me tendit une fourche. Ok j'arrive. Je retournai ensuite vers les écuries. J'aimerai beaucoup pouvoir monter à cheval moi aussi, mais le chef me fait tellement peur que je n'oserai jamais monter sur le dos d'une de ses sublimes créatures.
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Adhira J. Mukerji
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Sujet: Re: Roman et Graphisme, que suis-je ? Mar 22 Oct - 12:23
Chapitre 5 :
Spoiler:
Cette journée avait été épuisante pour moi. Arrivé le soir, je n'en pouvais déjà plus. Toute la journée, ça avait été : nettoyage des boxes, ratissage des carrières de dressage, s'occuper des chevaux, seller, desseller, brosser, doucher, soigner, bander... Enfin je vous dis pas ce que j'ai pus endurer. Alexia par ici, Alexia par la... A croire qu'on me refiler toutes les mauvaises tâches. Pas une seule seconde de répit, hormis la pause déjeuner.
Mais j'avais pus passer pas mal de temps avec Pierre et Isabelle. Je commençais à les apprécier ses deux la. Pierre était toujours gentil avec moi, toujours à m'encourager, à me faire rire et oublier le pénible travail. Isabelle était plutôt assez réserver. Elle aimait que les choses soient bien fait. Enfin, je la comprends, si le chef voit qu'il y a quelque chose de mal fait, il nous traitera comme du poisson pourris.
Je passais beaucoup de temps quand je pensais les chevaux, savourant chaque minute passée avec eux. Cela me reposait aussi. Mais une fois le cheval partit ou soigné, vu que j'avais pris un peu de retard, je devais donc me dépêcher sur les autres tâches. Enfin... Maintenant on est le soir, à table, et ça fait du bien de se reposer, les pieds sous la table.
J'étais assise en bout de table, Isabelle à coté de moi, Pierre en face. Tout les autres palefreniers étaient à notre table. Car, voyez vous, il y a une table pour les palefreniers, une pour les cavaliers, une pour les dirigeants et une supplémentaire ou il n'y avait jamais personne. On ne se mélangeait donc jamais et je n'avais aucun contact avec les cavaliers. Enfin, j'aimerai pas en avoir, car vu comment ils nous traitent, nous les palefreniers... On dirait qu'on est leur chien.
Dans l'après midi, j'avais du seller un hongre bai nommé Fantomas. Le cheval était un peu nerveux et j'avais mis beaucoup de temps pour le seller. Son cavalier était arrivé alors que je venais juste de mettre la selle. Il m'a donc demander sur un ton odieux pourquoi je n'avais pas encore mis la bride. J'allais répliquer quand j'avais croisé le regard de Pierre qui me disait de laisser. J'avais donc obéit et mit tout de suite la bride avant d'emmener le cheval dehors. Pierre m'avait alors expliquer qu'ici, les cavaliers se croient tout permis sur les palefreniers, et qu'il ne fallait pas chercher à leur résister, sinon ils pouvaient aller se plaindre au chef. J'en étais dégoûter, mais je n'avais pas trop le choix. Il allait falloir que je me plie aux règles, comme tous les autres.
Mais j'étais certaine que tout les cavaliers n'étaient pas comme cela, que certains étaient bon envers nous et nous parlaient avec respect. Cependant, je n'en avais pas encore eu l'occasion d'en rencontrer un comme cela. Mais je gardais espoir car je n'avais pas croisé encore tout le monde.
Soudain, le chef des écuries se leva. Tout le monde se tut. Qu'allait-il nous dire ? Oh mon dieux, j'espère que ce n'est pas pour nous annoncé mon renvoie, ou celui de quelqu'un d'autre, ou je ne sais quoi encore... Et si c'est pour aller retravailler, encore moins, sauf si c'est avec les chevaux directement.
- Vous savez que ce soir, il a la séance de reprise de nuit en musique. Nous allons faire cela sous forme de mini concours. Chaque palefrenier sera de pair avec un cavalier et leur sera assigné un cheval. Vous avez deux heures pour, vous les palefreniers, préparer les chevaux, vous les cavaliers, vous préparez et réfléchir à votre reprise et votre musique. Il y aura deux notes : celle de la reprise, et celle de la présentation du cheval. Je veux donc que vous sellez les chevaux comme si on était en concours. Ils doivent être resplendissant. Bon, passons aux trios.
Le chef annonça alors le nom du palefrenier, celui du cavalier, et celui du cheval. Je me retrouvai alors avec une jeune femme, nommé Noémie Levalet, et assigné au cheval Phoenix. J'avais donc deux heures pour embellir Phoenix et qu'il tape dans l'oeil de tout le monde. En chemin pour les écuries, Pierre m'expliqua que ce genre d'exercice était assez courant ici pour garder la compétitivité dans nos rangs et voir ce qu'on valait en situation de stress comme c'est le cas en concours. Car oui, en concours, on marche par trois : le cheval, le cavalier et le groom. Il fallait donc que je montre que je pouvais être un groom digne de ce nom.
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Adhira J. Mukerji
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Sujet: Re: Roman et Graphisme, que suis-je ? Mar 22 Oct - 12:24
Chapitre 6 :
Spoiler:
Je marchai d'un pas décidé vers les écuries. J'avais hâte de montrer ce que je savais faire quand il s'agissait de préparer un cheval pour la compétition. Je savais faire toute sortes de nattes. J'entrai dans les écuries et me dirigeai vers le box du cheval. Il était bai brulé, doté d'une longue crinière noire ondulé, comme sa queue. Typique des pur race espagnol. Bon mon petit Phoenix, allons te faire une beauté. Du blanc ressortirai surement sur sa robe sombre, aux reflets acajou. Je me dirigeai alors vers la sellerie.
Je pris sa selle, sa bride, un tapis blanc, du matériel de pansage, ainsi que du lustrant. Je trouvais aussi dans un bac des bandelettes de tissus blanches. Parfais, pli poil ce qu'il me fallait. Je pris aussi des élastiques à crinière. Aller, en avant pour le box de Phoenix !
Je posai tout à coté et commençais par un pansage approfondis, avant de le lustrer complètement mis à part l'endroit de la selle, de la sangle, ainsi que la tête et l'encolure. Une fois que sa robe brillait à la lumière des ampoules qui éclairaient les écuries, je passais à la queue. Je la démêlais complètement, mais ni fit aucune tresse, la laissant telle quelle, juste avec du lustrant pour la rendre la plus soyeuse possible.
Je passais alors à la crinière, le plus compliqué. Je la démêlai alors simplement au peigne puis fis une tresse d'étalon, utilisant alors le ruban blanc et tressant la crinière avec. Cela donnait un certain style. Une fois la crinière tressait avec le ruban, je sellai alors l'étalon. Puis j'attendis la cavalière, passant un coup de chiffon sur le matériel.
La cavalière arriva alors enfin, en tenue. Elle regarda de son oeil critique l'étalon avant de l'emmener sans un mot dans la carrière. Je ne savais pas si, ce que j'avais fait, était à la hauteur de ses espérances. Je la suivis de loin sans un mot, jusqu'à la carrière.
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Adhira J. Mukerji
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Sujet: Re: Roman et Graphisme, que suis-je ? Ven 25 Oct - 22:39
Chapitre 7 :
Spoiler:
Une fois à la carrière, je restai le long de la lice, regardant les cavaliers échauffer leur monture. A vrai dire, j'étais stressée pour Phoenix et sa cavalière, j'aimerai beaucoup qu'ils réussissent. Et ils étaient vraiment magnifique tout les deux. Je regardai les autres : les autres palefreniers avaient eux aussi fait du bon travail en tout cas. La compétition allait être serrée. Enfin, on verra bien.
Vu qu'il faisait nuit, tous les grands spots avaient été allumé. On y voyait parfaitement sur la carrière de détente et sur le carré de dressage. Je contemplais les chevaux lorsque je sentis une présence à coté de moi. je tournai la tête et vit alors Pierre. Pierre ! Il avait donc finit lui aussi de préparer son cheval ? Super, au moins on se tiendra mutuellement compagnie. Car j'aimais pas stresser toute seule, ça faisait flipper. Au moins, je pouvais discuter un peut pour passer le stresse. Pierre me dit qu'on voyait que Phoenix sur la carrière tellement qu'il resplendissait. Je pense que c'était surtout pour me détendre et me faire sourire qu'il me disait cela.
On discuta pendant toute la détente des chevaux. On regarda ensuite les premiers cavaliers passer. Tous offraient un très beau spectacle en tout cas. En même temps, cavaliers et chevaux avaient un niveau national, voir européen, voir si ce n'est plus. J'adorais le travail que tous fournissaient pour ce petit concours interne nocturne. Enfin fut le tour de Phoenix.
La cavalière nous offrit en tout cas un beau spectacle à mon goût. Elle avait choisis une musique douce de film. La reprise qu'elle nous proposa s'effectua tout en douceur et en finesse. L'étalon répondait parfaitement à tous les ordres. Ils étaient juste magnifique à regarder. Je filmai en même temps avec mon téléphone la reprise pour en garder une trace. Je ne la montrerai à personne, évidemment. Elle ne serait rien que pour le bonheur de mes yeux.
Elle termina sa reprise en beauté, et je ne pus m'empêcher de l'applaudir avec quelques autres personnes. On était certes pas beaucoup autour de cette carrière, mais tout le monde applaudissait au moins. C'était ça le principale. Avec Pierre, on regarda la reste des cavaliers passer. Je me disais que pour la cavalière de Phoenix, ça allait être dur car la compétition était serrée. Je me disais au moins que je l'avais pas trop mal préparé et que ça pourrait lui rapporter des points en plus pour la note finale. Enfin, c'est ce que j'espérai.
Le concours se termina, mais les juges nous dit qu'on aurait les réponses que demain matin, comme toujours me rajouta Pierre au passage. Je ramenai Phoenix à son box, étant mon rôle de m'occuper de lui. Je le dessellai et le dénattai. Puis je lui mis une chemise et des bandes de repos comme tous les soirs pour tous les chevaux. Une fois le cheval préparé pour la nuit, je me disais que je méritai une bonne nuit de sommeil moi aussi. Surtout que je n'arrêtai pas de bailler. Je rassemblai mes affaires et me dirigeai alors vers mon dortoir après avoir vérifier que tout le matériel était à sa place, que la lumière était bien éteinte et que la porte des écuries était bien fermée.
Une fois dans ma chambre, je saluai rapidement Isabelle avant de filer dans la salle de bain pour me changer. Puis je me faufilai sous ma couette. Je repensai à la journée d'aujourd'hui. Je ne savais pas quel cheval Isabelle avait préparé, mais j'espérai juste que nos groupes respectifs auraient une bonne place demain matin. J'avais presque envie de gagner, mais je pense que c'était demander la lune. Je finis par m'endormir finalement, rêvant de victoire.
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Adhira J. Mukerji
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Sujet: Re: Roman et Graphisme, que suis-je ? Ven 1 Nov - 21:30
Histoire de l'école
En cherchant sur internet, à propos de l'école, j'ai trouvé bon nombre d'information fort intéressante :
• L'école est bâtie sur un très ancien château, comme je le pensais. Ce château appartenait à un peuple nordique, d'ou la divination des deux celtes. C'était à l'origine un château fort, dit imprenable. En dessous, il y avait tout un synthème de galerie pour y cacher, stocker toutes sortes de choses, mais aussi pour sortir du château sans être vu, d'ou la galerie qu'on a trouver avec Nolwenn. Maintenant, la plus part de ses souterrains sont effondrés, même si certaines restent encore en bon état. On dénombre actuellement 5 à 6 galeries trouvées par les archéologues. Toutes sont remplies de fresques dédiées aux dieux celtes.
• Le château fût prit tout de même par un autre peuple et fût brûlé. Les rares survivants de l'attaque du château, c'étaient réfugiés e évadés par les galeries. Pendant des années, personnes n'osait aller sur les ruines, prétextant qu'il y avait des fantômes et d'autres esprits. Il fallut attendre le XVIIe siècle pour qu'une personne ose acheter ses terres délaissées et construisent une grande demeure. C'était un aristocrate américain qui avait décidé de vivre au Canada, et le terrain, il l'a acheter pour une boucher de pain, c'est pourquoi il a décidé tout de même, malgré les rumeurs, de s'y installé.
• Il fallut attendre le milieu du XXème siècle pour que cette grande bâtisse soient abandonnée de nouveau par les actuelles propriétaires qui étaient les descendant de l'aristocrate qui l'avait bâti. Pourquoi ? On en sait trop rien. Problème d'entretien peut être, n'ayant plus les moyens pour rénover. La bâtisse fut donc racheter par l'état pour en faire une école de redressement. Dans cette école, on y trouvait principalement des garçons délinquants, mais aussi quelques jeunes filles.
• Ce fut en 1973 qu'il y eu un accident dans l'école de redressement. Une jeune fille nommée Cynthia Lorgea mourut au sein de l'établissement, après c'être reçue une balle en pleine tête de la part d'un de ses camarades qui était perturbé mentalement. On se rendu compte de sa maladie bien après la mort de la jeune Cynthia, âgée alors de 16 ans. On envoya le garçon alors dans un hôpital. Mais une ou deux années après le drame, des événements inquiétant arrivèrent, obligeant l'école de redressement à fermer.
• Elle fût ré-ouverte des années après, en 1989, par un certain Mr Pearl. Il en fit alors une université, l'agrandit et la rénova. Car Mr Pearl était un homme très riche et très puissant au Canada, respectez de tous. De plus, il avait beaucoup d'influence à Montréal qui c'était développer pas loin de l'école, les légendes étant totalement oubliées depuis. On nota alors un accident dans l'école : la disparition d'un garçon nommé Edward Cortes, qui avait, la veille, raconter sous tous les toits qu'il avait vu le fantôme d'une jeune fille, le matin en se réveillant. On a jamais retrouvé le corps, mais l'école ne fut pas fermée pour autant.
Dernière édition par Summer E. Anderson le Lun 9 Juin - 11:24, édité 1 fois
Adhira J. Mukerji
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