Prudence.

J'avais donc guidé Julien jusqu'au parc, car bon, il ne savait pas où il se trouvait. Une fois au parc, je ne savais pas quoi faire, à vrai dire je sais jamais quoi faire ni que dire quand je suis en présence de garçons et c'est bien triste. J'avais les mains un peu tremblante. On dirait que j'allais mourrir, nan sérieux quelle cruche que j'étais par moment.. Je soupirais discrètement et regardais Julien, lui adressant un sourire.

Elle me guida jusqu'au parc. Elle avait l'air complètement stréssé, de la voir timide comme ça me faisait sourire. Une fois dans la cour je partit m'assoir sur un banc et attendis qu'elle me rejoigne.

- Au faite, comment tu t'apelle ?

Prudence.

Le voir sourire me soulageait quand même. Je le vis partir s'asseoir sur un banc, je du comprendre que logiquement je devrais le rejoindre. Une fois que je fu assise, il me demanda mon prénom. Cette question me choqua. On s'était toujours pas échangé les prénoms? Ouille! Bon.. j'espère qu'il n'est pas comme les autres quand je lui rélèverais mon prénom et nom.

- Prudence, Prudence Laurence. Et toi?

Laurence...sa me dit quelque chose mais je ne sais plus quoi, de toute façons je ne suis pas très cultivé, tans pis.

- Jolie nom. Moi c'est Julien.

Je me tourna alors vers elle et lui présenta ma main avec un large sourire.

- Enchanté Mademoiselle Laurence.

Prudence.

Julien réagit donc normalement, donc cela me rassurait et me rendais de meilleure humeur. Il me fit sourire quand il me présenta sa main. Je glissais donc la mienne dans la sienne et lui dis doucement :

- De même.

Je souriais.

Elle paraissait plus décontracté.


- Auriez vous l'amabilité de me faire visiter quelques recoins de cette école ?

Je ne sais pas pourquoi je parlais comme ça mais sa m'amusais, et ça avait l'air de la relaxer.

je me leva et attendu sa réponse tout sourire.

Prudence.

- Auriez vous l'amabilité de me faire visiter quelques recoins de cette école ?

Cela m'amusait comment il parlait, ce qui me fit sourire. Je me levais à mon tour et lui répondis donc.

- Bien sûr. Suivez-moi.

Je commençais à marcher, vers la cours. Une fois que nous étions à la cours, je me tourna vers Julien et lui disais amicalement :

- Là, comme vous avez pu le déduire, se trouve la cours. Et là-bas, l'établissement.

Je trouvais cela amusant qu'elle se prête au jeu. Je continu de la suivre dans la cour.

"- Là, comme vous avez pu le déduire, se trouve la cours. Et là-bas, l'établissement."
Sa phrase me fit rire.

- Ho ! Quel merveille de paysage ! Nous puijâmes continuer la visite ?

J'étais conscient que ma phrase n'était pas français mais je m'en fichait. Je la regarda puis lui accorda un sourire.

- j'apréciâme fort votre compagnie gente demoiselle.

Prudence.

- Mais oui, nous allons de suite la continuer.

Je le regardais et souriais. Alors que je m'apprêtais à continuer de marcher pour lui faire visiter les autres lieux, Julien ajouta qu'il appréciait fort ma compagnie. Cela me toucha et je souris,retenant pour moi tout rougissement.

- C'est tout aussi réciproque, monsieur.

Je lui rendis son sourire.

Elle rougissait quand même légèrement et cela me faisait comme d'habitude sourire. Mon sourire s'agrandis quand elle me dit que c'était réciproque.

- Forte heureusement ma demoiselle, sinon je vous ne vous aurais point cru.

Et oui c'est un peu osé de dire que je ne l'aurais pas cru si elle m'avait dit qu'elle m'appréciait pas, mais qu'est-ce qu'un garçon sans son coté macho ?

Prudence.

- Forte heureusement ma demoiselle, sinon je vous ne vous aurais point cru.


Ha ouai, bon quand même quoi. Je souriais, car ça m'amusait n'empêche. Un petit côté matcho qui sortait, n'est-ce pas Julien? Je le regardais et soupirais gentiment, avant de continuer ma petite marche. Nous entrons dans l'établissement.

- Bon là, t'a la classe maths, puis là-bas c'est celle de Français. Et là c'est le bureau du directeur.

Je souris.

La voir soupirais légèrement me fit rire parce que au fond le but était de l'agacé un peu "ahlala, les garçons tous les même !" ce que cette phrase nous fait rire. bref, je la suivi pour le reste de la visite. je suis rester pas mal de temps sur le bureau du directeur, après tout c'est bien la pièce ou je passe le plus de temps non ?
A la fin elle sourias, je lui souris en retour et la regarda.

- La visite est elle fini chère demoiselle ?

Prudence.

- En parti oui, après à toi de te débrouiller Julien.

disais-je avec un sourire légèrement malicieux. Je regardais autour de moi, puis je reposais mon regard sur Julien, déjà un peu plus confiante. Il était super sympa, je trouvais. Enfin bon, voilà quoi. Bon j'arrête de me faire un monologue, parce que je fais un peu flipper, là!

Son "débrouille toi" avec son air malicieux me fit sourire.

- Ah ouais ? Tu veu vraiment que je me débrouille seul ?

Je lui souris en retour mais d'un air défieur, comme si je la défiais de dire oui et donc de me laissais partir.

Prudence.

Je compris le sens de son regard. Raah.. pas mal intelligent ce Julien. Il ne me laissais pas de choix et m'avais vraiment bien eu! Je le regardais et souriais.

- Heu..non c'est bon, te débrouille pas seul.

Je le regardais à peine, un peu gênée, et fixais le sol, les pomettes virant au rouge.

Ahah, c'était pas bien compliqué. Je la voyais toute rouge la pauvre. Je pris un air faussement étonné.

- ah bon ? mais pourquoi tu ne veu pas que je m'en aille ?

Je lui souriais avec ce sourire malicieux, et ouais, maintenant c'est moi qui le portait ! J'essayais aussi de chercher son regard posé au seul.

Prudence.

- ah bon ? mais pourquoi tu ne veu pas que je m'en aille ?

Je suis un peu dans une situation délicate, mais bon, j'allais bien trouver quelque chose à répondre, bien qu'il n'allait pas être convaincant. Je sentais que Julien cherchait mon regard qui était posé au seul, et je ne pu m'empêcher de regarder Julien. Je lui répondis donc, pas très convaincante;

- Parce que si tu partirais je m'ennuyerais.

Elle veu jouer ? je vais gagner ahah !

Quand elle me regarda enfin je lui sourie et la regarda dans les yeux en reprenant un air malicieux.

- Tu t'ennuierais ? Je peut te trouver d'autre gens sans aucuns problèmes, et puis tu n'a pas l'air très convaincante.

Mon sourire s'agrandissa, je me demande bien se quelle allait trouver.

Prudence.

Je le regardais et lui rendis son sourire. C'est bon, là, il m'avait bloqué et je ne pouvais trouver d'autres alibis de que de dire que j'adorais sa compagnie, mais dire ça, non, j'ai pas assez de confiance en moi. Pourtant je savais que c'était réciproque, c'est ça le pire. Je le regardais à mon tour dans les yeux, et lui dis :

- Oui, mais..c'est mieux avec toi.

Ah j'avais enfin obtenue ce que je voulais, enfin presque... Je continuer de regarder d'un air défieur.

- Ah bon ? et pourquoi ça ?

un grand sourire s'allongea sur mon visage.

Prudence.

Namého, lui il pousse vraiment mes limites! Je le regardais, et à vrai dire moi-même, je ne savais pas pourquoi c'était mieux avec Julien, sérieusement. Peut être parce qu'il était vraiment sympa et attachant. Mais je pourrais pas lui dire cela, jamais,et puis ça fait cruche. Je le regardais, enfin, presque, car j'étais toujours aussi timide avant de répliquer;

- Parce que.. t'es différent des autres et j'aime ça..

Je souris faiblement.

AAh ba enfin. enfin du moins je prenez sa comme un jeu dans lequelle j'avais gagné mais..mais non rien enfaite.

Je la regarda dans les yeux et lui sourie. Je n'avais plus se regard défieur et se sourire maliceux, mais plutot un regard heureux et un sourire idiot.

- vraiment ?

Je connaissais très bien la réponse, mais je la posais quand meme pour voir sa version es choses.

Prudence.

Julien n'avait plus le même, comme satisfait d'enfin avoir la réponse. Vraiment ? Bah oui patate, avais-je envie de dire! Je souriais et ne le quittais pas des yeux, cette fois-ci. Je lui répondis donc, gentiment quand même.

- Mais oui.

Ne rougis pas, Prudence, et bah trop tard j'ai rougis.

Encore un moyen de la mettre au défi, je garda le même regard et le même sourire.

- Tu rougi ?

Prudence.

La question qui tue..

- Je crois, oui..

C'est toujours comme ça avec moi, on dirait une pauvre cruche, sérieusement. Je n'osais presque plus le regarde.